William avait dû prendre sur lui étant donné qu’il y a peu, il apprenait arrive sur son fils… He oui, il a un fils qui lui avait été dissimulé. Il avait eu beaucoup dé révélation ce soir-là quand il avait été posé sa fille chez sa femme, le couple, c’est séparer quelque temps afin de faire en sorte de sauver leur couple, doucement les choses s’arrangeaient William avait bon espoir de retourner vivre avec sa petite famille, mais voilà que des révélations relance l’éventualité que la séparation se prolonge. William avait été déçu parce que sa femme lui avait dissimulé l’existence de Cole. Ils allaient surmènent attendre encore un peu. Actuellement William, continu de vivre dans son appartement fort moderne et agréable. Ce n’est pas une période évidente autant pour lui, mais également pour sa femme et Cole lui aussi, il se retrouvait loin de sa vie qu’il avait avec sa mère.

Aujourd’hui Alice, vie en alternance une semaine chez sa mère et la seconde chez son père en n'attendant que le couple se remettre ensemble. Alice est en joie d’avoir un grand frère. La cohabitation devrait se dérouler très bien Cole est adorable avec sa petite sœur ça fait plaisir à William de voir que ses enfants s’entendent si bien. Il la vue hier soir. Alice n’allait pas distinguer la souffrance de ses parents, car nous allons tout faire pour. Quant à Cole, nous allions faire tout pour qu’il ne voie rien, c’est un adolescent perspicace alors à nous d’être assez fort. William ne voulait pas que son fils s’inquiète, c’était déjà bien difficile pour lui tout ce chamboulement par chance, il est très intelligent, il voit le bien-être que l’on va lui apporter. Il ne manquera de rien. Il est inscrit au lycée qui se trouve dans notre secteur d’habitation. Il a fait son intégration pour l’instant tout à l’air de bien ce déroulé.

William était déconcerté par ce passé qui était venu sur le présent, il n’avait jamais reçu de nouvelle de Léa, mais ce n’est plus le cas malheureusement jamais il ne pourrait avoir de réponse de sa part. Elle ne lui avait même pas laissé une lettre qui aurait pu lui expliquer ses choix concernant son départ, pourquoi elle avait décidé de lui cacher l’existence de son fils, et encore pourquoi elle ne lui avait pas fait confiance. Il y avait de quoi être bouleversé. Il avait eu beaucoup de mal à retrouver le sommeil au vu de toutes ses interrogations, il se doutait bien qu’il lui faille du temps pour s’en remettre. William prenait sur lui. Il dormait mal, sa vie sexuelle était loin de reprendre vu qu’il ne se voyait pas tromper sa femme, il allait attendre que leur couple se rapproche afin qu’il retrouve la romance de leur intimité. Il désirait toujours sa femme, elle reste sublime, mais leurs esprits étaient en souffrance.

Il se levait épuisé puis il allait courir comme tous les matins quel que soit le temps, il se devait de courir, c'était comme une échappatoire à la confusion de ses pensées. Il rentrait en sueur fatigué, mais plus léger côté de son esprit, il mettait de côté ses pensées difficiles pour qu’il arrive à partir travaillait tout en gérant l’éducation de ses enfants avec sa femme. Il se jetait dans le travail pendant l’absence de ses enfants pour deux raisons, cela l’empêchait de penser au passé et aussi d’avancer son travail pour qu’il passe le plus de temps avec ses enfants.

William était rentré chez lui en partant vers la cuisine où il ouvrait le réfrigérateur, il se penchait et attrapait la bouteille d’eau fraîche buvant beaucoup puis il partait vers les escaliers qui le guidaient vers l’étage où se trouvait la salle de bain, il prit une douche. Il attrapait la serviette afin de se sécher pour en se regardant dans le miroir il vu que sa barbe naissante lui allait bien, il n’allait pas travailler aujourd’hui, il voulait aller voir sa femme, les enfants étant a leur établissement réceptif, c'était le meilleur moment d’aller voir comment allait sa femme la connaissant très bien elle devait aller mal. Il allait en suite vers sa chambre ou il ouvrait son dressing, il optait pour une tenue décontractée à base de jean bleu ni trop foncer ni trop claire, avec une paire de basket cela lui allait bien, il avait besoin d’être avec sa femme, il avait appris de ses erreurs depuis sa vie de couple et sa petite famille restait sa priorité. Il descendait en attrapant le trousseau de clefs avec son portable. Il appelait le bureau afin de ne pas être dérangé de toute la journée et soirée. Puis il sortait de chez lui, il fermait la porte en partant vers l’ascenseur, puis les portes s’entrouvraient in appuyé sur le bouton, puis il quitte l’ascenseur en partant vers le box de sa voiture, il démarrait son véhicule en mettant de la musique.

Il ne tardait pas à arriver vu qu’ils n’habitent pas si loin l’un de l’autre ce choix avait été fait afin de rester à bonne distance, mais aussi au alentour de l’école de leur fille Alice puis au moindre souci ou problème dans les deux sens, ils pouvaient se retrouver. Il n’avait pas prévenu Charlotte qu’il passait pourquoi ? Il n’en savait rien. Il voulait la voir sans les enfants parce qu’il se doutait bien qu’elle dût être mal, il connaît la sensation de cette douleur. Il était monté, l’habitation se trouve juste au-dessus de la boutique qu’elle avait reprise en main ce qui était normal, c’est une affaire familiale. Ils devaient aussi discuter de Cole et son avenir, William voulait que son fils apprenne à le connaître, il voulait une garde alterner dans les mêmes conditions que pour leur fille Alice.

Quand la porte s’ouvre, il lorgne sa femme elle porte une tenue de sport les cheveux vaguement attachés, il note tout de suite qu’elle a dû pleurer son visage ne montre elle n'a pas bonne mine ce qui devait être dû aux conséquences de ses choix du passé.

«  Oui, c’est bien moi… Merci » Il pénétrait dans son habitation une fois invitée. Il lui sourit en retour au sien. « Tu n’as pas à t’excuser » Sa femme lui demandait s’il voulait boire un verre de Whisky « Je veux bien boire un café » Vu l’heure, il optait pour une boisson chaude. « C’est gentil d’avoir remontré une bouteille de Whisky, j’en boirais peut-être un verre plus tard.»

C’était tout de même difficile de vivre séparerez sa petite famille, William avait tout fait afin que doucement, il se reproche de sa femme, ce dernier événement venait d’exploser, ce qui chagrinait son esprit. Il avait du mal à trouver le sommeil, c était comme si à chaque fois qu’ils étaient sur le point d’arriver au bout, quelques choses venaient de tout réduire à néant. Il avait l’esprit surchargé de mécontentement envers la vie. Il n’allait pas pour autant baisser les bras. Il tenait à sa femme et a sa petite famille. Il voulait arranger les choses avec Charlotte, il prenait sur lui de manière à soutenir sa femme du mieux qu’il puise. William était ravi de passer un moment avec sa femme. L’amour se devait de vaincre la difficulté même si cela était certainement compliqué.

Il était en compagnie de sa femme. Charlotte venait de lui tendre la tasse de café, William la mercerisait tout en tendant sa main afin de prendre la tasse en effleurent les doigts de sa femme, cela fessait bien longtemps qu’ils ne s’étaient pas retrouvé tous les deux seuls. Il ressentait ce manque chaque jour et chaque nuit. Il aimait la regarder.

« Merci… Non, je ne trouve pas cela idiot du tout. … Comment te portes-tu ? »

William est assis sur le canapé, il portait la tasse à ses lèvres. Avant de la reposer. Il s’inquiétait pour sa femme si la situation était difficile pour lui, elle t’était également pour sa femme. Que la vie pouvait être si compliqué de nos jours, il était rare de vivre des moments de bonheur sans qu’il n'y aille une tempête juste derrière. William recherchait le regard de sa femme malheureusement elle n’affrontait pas son regard qui était calme.

« Je suis ravie que Cole et notre petite Alice s’entende bien, je les tout de suite détecter, j’avoue que cela me rassure. »  

William connaissait bien sa femme, toutes ses manières parlaient pour elle. Cela lui brisait le cœur de la voir en souffrance, il ne supportait pas de la voir ainsi. La proposition de sa femme était très gentille, elle voulait que Cole et lui rattrape le temps perdu, mais William ne voulait pas changer toute leur organisation.

« Je préférerais ne pas les séparer, je pense que cela est parfait si nous gardons notre organisation, de cette manière, ils seront toujours ensemble. Par contre si cela ne te dérange pas, j’aimerais prends Cole pour l’ un week-end de tiens afin d’apprendre a mieux le connaître, de cette manière, nous ferons un week-end entre père et fils et toi avec notre fille. Tu en penses quoi ? On pourrait aussi se faire un moment familial de temps à autre ? Ou une sortie ?  »

Le temps s’écoulait, pendant qu’ils discutaient ensemble calmement après avoir bien réfléchi à leur situation. Il s’était décalé en contournant la table passe, il se mettait à la hauteur de sa femme fléchis sur ses jambes. En relevant le visage de sa femme de manière que leurs yeux se fixent.

« Je m’inquiète pour toi, tu ne dois pas t’en vouloir ce qui est fait est fait, nous devons trouver le moyen de donner a Cole tout ce dont il a besoin ensemble.»  

Avant de poursuivre leur échange verbal durant cette conversation William voulait s'excuser auprès de sa femme. Il n'aurait jamais dû être si en colère, il s'était laissé emporter par la révélation. Son esprit avait fulminé aujourd'hui, il s'en voulait d'avoir été dure avec Charlotte.

« Je tenais à m'excuser pour mon emportement face à la révélation de l'autre jour. Je n'aurais pas dû. Tu as fait ce choix parce que tu m'aimais, mais aussi par amitié avec Léa. »

Ce moment ensemble était le bienvenue William en avait besoin Charlotte était la femme de sa vie, il avait peur de la perdre de nos jours rien n’est certain puis le temps s’écoulait cela lui semblait être long il ne se rappel plus la dernière fois que le couple avait retrouvé sa complicité amoureuse ce qui lui fessait craindre de la perdre puis il y a les choix du passé qui s’immisce dans le présent ce qui complique l’avenir. Il voyait bien que sa femme n’allait pas bien, mais cela était de circonstance au vu des événements.

« Je trouve aussi qu’il est souhaitable de laisse Cole et notre fille construire leur lien de fratrie, cela me rassure autant que toi puis il n’y a pas meilleur moyen que de vivre ensemble.»

Cela lui rappelait que lui, il n’avait pas eu ce lien avec son frère Liam du moins durant une certaine période de l’adolescence, une rivalité s’était installer. Depuis les choses, s’étaient arrangé, Liam et lui avait apprit à renouer en laissant derrière eux le passé, c’est souvent la meilleure chose à faire, mais ils avaient tout de même tout mis à plat avant ce qui leur avait permis de tourner la page. Aujourd’hui, les deux frères s’entendaient bien. William écoutait sa femme qui était favorable à sa demande de faire un week-end avec son fils cela allait être un rapprochement jamais ils ne pourraient rattraper seize ans de la vie qu’ils auraient dû avoir à être eux.

« J’espère qu’il sera content, c’est un adolescent peut-être qu’il ne voudra pas passer un week-end complet avec moi les jeunes ont mieux à faire, mais je garde espoir. Nous devons au moins faire de notre mieux pour créer ce lien père en fils en dehors de nos activités de la semaine. Je pense qu'un week-end est une option intéressante pour nous deux puis notre princesse sera très contente d’être avec toi. Alice est très intelligente pour son âge, elle comprendra tout en appréciant vos deux jours entre filles. Nous avons de la chance d’avoir notre princesse, elle est le fruit de notre amour.»



William est un homme très occupé, mais depuis longtemps, il a appris que la vie faut impérativement la vivre pleinement et être là pour ceux que l’on aime malgré un emploi du temps surcharger sa vie de famille est sa priorité, tout le reste pu attendre. Il avait envie de faire des sorties en famille, d’où l’idée de le proposer à sa femme qui venait d’approuver comme leur fille Alice voulait se rendre au zoo, c’était l’occasion de lui faire plaisir tout en passent une sortie en famille. Comme le ferai, n’importe quelle famille, le faite qu’il vivait séparer de sa femme n’était pas une situation agréable cela avait été décidé afin d’amélioré leur vie face au tracas qu’ils avaient à ce moment.

« Si notre princesse souhaite aller au zoo, nous avons notre sortie en famille, il me tarde d’y être, j’aime comme nous sommes tout les quartes en dehors de cet appartement. » Dit-il avec le sourire.

Il désirait vivre normalement sa vie de famille, mais aussi de couple, il était temps aussi de faire le point. Il voulait lui en parler, mais en voyant qu’elle n’était pas en pleine forme, il s’abstenu.

« Tu as entièrement raison nous ferrons de notre mieux de manière a que nous soyons tous les quatre heureux même si cela n’est pas toujours évident. J’ai également confiance en nous» Dit-il avec sincérité en s’approchant de sa femme et en l’enlacent avec tendresse. Puis il savourait ce moment de douceur gardant sa femme contre lui, son cœur battait fort. William lui murmura.


« Je t’aime mon amour.» En suite, il relâchait l’étreinte qu’il avait avec sa femme en l’embrassant avec douceur, puis il se reculait en caressent le visage de Charlotte. J’aimerais passer cette journée avec toi comme nous le fessons avant, j’ai pris ma journée.

Que voulait William ? Il espérait retrouver sa femme comme elle était avant que le travail les sépares. Ce qui était normal cela fessait maintenant des mois qu’ils vivaient séparer, la complicité qui les unissait lui manquait énormément, la solitude s’était installer. Il n’arrivait pas à vraiment sortir avec ses amis, car il pensait à tout ce qui avait vécu avec sa femme, il y avait tellement de délicieux moments, les fou rires, plus le charme de s’aimer dans l’amusement autant que dans la séduction. Tous ces moments n’étant plus d’actualité, il avait peur de ne plus renouer avec l’être aimer. Est-ce que leur couple était voué à s’effacer au fur et à mesure que le temps s’écoule ? Il ne voulait pas perdre sa femme. Il ressentait se fausser l’engouffré. C'était une sensation comme s’il perdait le contrôle de sa vie. Actuellement, le couple avait laissé place à la vie de famille, le bien-être des enfants étaient le principal, mais à force que s’oublier au fur et à mesure du temps, il se devait de tout faire pour faire comprendre à son amour qu’ils n’y avait pas que les enfants et le travaille, il fallait impérativement penser à leur couple même s’ils vivaient sépare, cela n’allait pas devoir continuer sur cette pente. Lui-même était préoccupé par leur échange concernant le passé, il y avait de quoi, mais William ne voulait pas que l’on se focalise sur ce qui avait été fait, parce qu’il voyait bien qu’ils souffrent tous les deux, il n’appréciait pas voir sa femme en souffrance, il allait devoir faire le nécessaire afin de l’aider, mais comment ? William allait passer la journée avec elle peut-être que Charlotte se confirait à lui, du moins il espérait qu’elle aurait assez confiance en lui.

« Nous allons traverser cette épreuve ensemble, il est hors de question que l’on laisse le passé détruire notre vie. Alice et Cole seront soudés avec ce lien fraternel. »

En ce moment, ce qui inquiétait William s’était la tristesse qu’il pouvait lire sur le regard de sa femme qui était dévoré par la culpabilité de son choix, elle le vivait très mal.

« Tu as entièrement raison si Cole ne veut pas cela se fera une prochaine fois. Je me revoir en lui, il est sportif et bien plus studieux de son père… Oui notre fille est plus qu'intelligente à son âge sa perception des choses sont incroyable.»

William aimait voir ses enfants s’entendre, cela était une chance. Cole savait faire la part de chose. Il acceptait sa petite sœur avec le sourire. Sa nouvelle vie lui allait bien, nous fessons tout pour. Il voulait impérativement le bonheur de son fils, de sa fille et de sa femme, le meilleur moyen était de savourer chaque instant, même si parfois cela pouvait se compliquer.

« Oui, nous le ferons le week-end qui suit ainsi on sera tout ensemble cela nous laisse le temps de leur annoncer. Je pense que ça va être génial d’être ensemble. Le zoo puis le restaurant, on pourrait faire une balade au centre-ville, on ira se manger quelque douce. On verra par la suite. »

Il souriait à sa femme, car il était très content d’être avec elle, que tous les deux. Il aimait la voir sourire. Il voyait bien que sa femme avait besoin de soutien, d’aide. Il était heureux qu’elle l’aime toujours. Il écoutait attentivement, c'était important.

« Je ne t’en veux pas… Tu peux prendre ton temps. Tu me manques énormément mon amour. Je voudrais t’aider, mais comment ? Si tu veux consulter ? Je pourrais venir avec toi ? Je veux que tu comprennes bien que je suis là pour toi. »


Il essuyait de son pouce la larme qui s’écoulait sur la joue de sa femme. Puis elle changeait de sujet. Elle ne voulait pas approfondir son mal-être. William respectait sa femme si Charlotte ne souhaitait pas développer, il attendrait. Au moins, elle savait que son mari était présent là tout de suite, met aussi demain et les jours qui allaient suivre.

« Oui, si tu veux, nous pouvons sortir, on peut partir en direction du parc, nous serons plus au calme que dans les ruelles de la ville, en plus la verdure le petit lac avec ses bans, le carde est sympa, mais si tu veux aller autre part je te suis, on pourrait envisager de déjeuner ensuite en ville avant de revenir ici c’est comme tu veux, j’ai pris ma journée pour être avec toi, le travaille attendra demain, j’avais très envie d’être avec toi.»

Que dire de la vie ? Il y a toujours des moments où tout est bousculé, quand l’accumulation est surchargée, c’est plus compliqué. William est un homme fort. Il était un battant dans la vie, son parcours pouvait en témoigner. Il ferrait tout ce qu’il faudrait pour sauver son couple, mais également d’offrir une belle vie de famille à ses enfants. Charlotte allait mal. Il était là à ses côtes.

La vie les mettait face à la complexité du mal-être de sa femme, il est bien difficile de comprendre, c’est bouleversant de se sentir impuissant. William avait bien réfléchi, le passé ne devrait pas détruit son bonheur actuel. Leur couple subissait encore une épreuve qu’ils aillant le devoir affronté cette vague d’incertitude ensemble. Il écoutait sa femme en prenant conscience que la décision du passé même prise pour bien avait foutu un bordel dans sa vie de couple, et surtout cela avait affecter Charlotte profondément l’amour est toujours là, c’est la seule chose que William est sur c’est d’aimer sa femme malgré, les mensonges, et la trahison. Sa femme n’allait vraiment pas bien. Il fallait l’aider, c'était important pour sa petite famille. Il aimait voir ce petit sourire se dessiner. Les enfants étaient nos forces, ils étaient des parents très attentionnés. William sourit à son tour, sa femme lui indiquait que c'était une question de concentration.

« Tout à fait, de temps en temps, si nous pouvons faire une sortie en famille, cela ne peut que nous faire du bien.»

William en avait besoin de ses moments tout les quartes, s’était un moyen de vivre avec sa famille maintenant qu’il avait son fils avec lui sa petite famille était au complet. Il espérait qu’il n’y avait plus de secret entre eux.Charlotte ne savait plus ce qu’elle pouvait ressentir ce qui alarmait William, elle n’allait vraiment pas bien. Une consultation avec un spécialiste serait peut-être le mieux afin d’aider sa femme qui était perdue, elle s’en voulait surment de lui avoir menti et surtout de lui avoir dissimulé l’existence de son fils aujourd'hui avec de la réflexion William n’en voulait plus à Charlotte, certes, il avait été très en colère sur le moment ce qui est tout à fait compréhensible. Une thérapie, serait bien tout allait dépendre de sa femme qui ne savait pas si oui ou non elle était partante. William lui avait soumis l’idée maintenant si elle acceptait l’éventualité de consulter, il s’était proposé d’aller avec elle, il serait tout ce qui était en son pouvoir pour l’aider parce qu’il aime sa femme.

« Je pense qu’une personne extérieure pourrait nous être bénéfique, je suis trop impliqué pour savoir comment t’aider, mais nous pouvons compter l’un sur l’autre actuellement, Charlotte, tu as besoin de te retrouver, et faire face au passé pour revenir au présent, tu sais ce qui est fait, fut fait avec une attention importante de l’époque même si j’aurais souhaité que tu m’en parles, toute cette histoire ne détruira pas notre couple, c’est une brèche que nous pouvons colmater ensemble. »

Il enlaçait avec tendresse sa femme qui avait sa voix tremblante, elle était l'about, il était urgent de tournée cette page du passé par contre cela allait certainement prendre du temps pour que sa femme se retrouve elle-même. Charlotte le remerciait de lui avoir pardonné.

« Je suis là pour toi… Je ferai plus si je peux en attendant nous allons sortir un peu cela nous ferra du bien en plus nous avons du temps au vu de l’heure, nous avons jusqu’au moment d’aller chercher notre fille, Cole sort du lycée vers 17 h 30 si j’ai bien son emploi du temps en tête... Oui, c’est une très bonne idée…Le petit restaurant ou nous avons beaucoup de petite moment avec notre petite princesse qui n’était qu’un petit bébé. »

Une balade leur ferait du bien, sa femme se changerait les idées en sa compagnie. William aimait-tellement être avec elle. Tout instant qu'il pouvait être avec sa femme, il le vivait, la situation fessait qu'ils se retrouvaient, William savourait cette journée avec sa femme même si la situation était délicate au vu de l’état d’esprit de sa femme.

« Je t'avoue que j'aime l’entendre, dit-il avec un sourire, tout à fait sorti nous ferra du bien. Nous sommes des parents, mais essayons de ne pas nous oublier en chemin. »

Elle le remercia durant ce petit moment de tendresse, sentant sa femme l’enserre s’était un doux moment entre deux personnes qui s’aiment qui sont face à la vie compliquée. William savait qu’il avait bien fait de venir, Charlotte en avait besoin de lui, il avait su mettre son travail de côté. Il avait beaucoup appris depuis leur séparation. Que c'était bon d’être enlacé avec la personne que l’on aime si fort que l’on franchirait toutes les murailles de difficulté. En entendant me merci en réponse William déposait un baiser sur la tête de sa femme ne pouvant atteindre ses lèvres. Lui murmurant… « Je suis content d’être là avec toi, je serais toujours là pour toi mon amour. »

William était là avec sa femme que ce soit dans les bons moments, mais aussi quand cela pouvait se corser. Après ce petit moment de réconfort, il était temps de sortir de l’appartement afin de prendre ce bol d’air frais. Le couple se délaissait de cette étreinte de douceur afin de se préparer à sortir William allait chercher sa veste en jean, il attendait sa femme. Puis je couple quittait l’appartement.

Il avait réconforté sa femme qui venait accepter de voir un professionnel ce qui était une très bonne chose, doucement sûrement surtout qu’un patient ne peut être aider s’il ne fait pas le premier pas. Charlotte était en accord avec lui sur le faite qu’ils s’étaient oubliés en chemin. Charlotte et William allaient faire ce qu’il était nécessaire pour que sa femme revienne à elle, pour cela, elle devait travailler tout ça avec un psychologue, une fois qu’elle arrivera à se soigner ou du moins a trouver tout ce qui la mette dans cet état doucement la ou les solutions viendraient et William était et resterait à ses côtes, puis peut-être qu’il y avait bien plus, leur couple traversait énormément de passage difficile cette thérapie pourrait aussi les aides. Quand Charlotte avait évoqué le remerciement William lui avait dit qu’elle n’avait pas besoin, elle aurait fait de même pour lui. Ce doux moment de confidence leur avait fait du bien, tenir sa femme contre lui sentir son souffle contre son cou, William qui l’avait contre lui la gardait précieusement contre lui, il s’avait qu’elle laissait couler quelques larmes contre sa chemise en jean, il lui caressait le dos.

« Je comprends mon cœur, même si ça été dur, aujourd’hui, je te pardonne alors n'y pense plus, nous allons y arriver parce que l’on s’aime. »


William ne voulait plus revenir sur le passé même s’il s’avait que en consultation le sujet allait être évoqué. Il y ferait face avec sa femme en plus de la soutenir de toutes ses forces. Charlotte reprit du courage bien prêt à sortir de l’appartement avec lui. Du coup, cette journée leur était dédiée. Du coup, cette journée leur était dédiée. William relâchait son étreinte afin qu’elle puisse aussi prendre sa veste, elle était belle quand elle lui souriait, il adorait la voir porter ce sourire. Ils étaient fin prêt pour partir, c’est ainsi qu’ils quittaient l’appartement en discutant d’un sujet plus réjouissant, la boutique de sa femme, fonctionnait très bien cela allait faire un an qu’elle avait reprit le flambeau. Il se mit à réfléchir avec sa femme sur ce qu’il pouvait réaliser pour fête cet événement.

«  Tu pourrais réaliser des petites assortiments de coloré le petit format et les couleurs attire les petits et les grands en jouant sur des boites spéciales pour l’événement. Avec une annotation surprise sur chaque boite à découvrir ? »

«  La création d’un sachet gourmant ? Ou des pâtisseries trop l’œil ? Ou des biscuits personnalisés avec un message ? Kit gâteau Surprise Cœur ? Des confiseries avec des bocaux ? Et pour les gâteaux en part individuel, on garde les barquettes que l’on peut changer de couleur pour ce jour ? Ou des sablés avec notation ? »

«  Ta boutique de pâtisserie décorée de couleur pastelle légèrement ou pas ? Des gourmandises, et sucreries ? Je ne suis pas vraiment dans mon domaine, je reste un gourmand. »


Ils marchaient tout en discutant bien vite il se retrouvait au parc où l’on pouvait sortit de ruelle bétonner, les arbres, plus les fleurs de saison, on pouvait entendre les oiseaux, c était bien plus calme de plus le parc ruisselait de coin ou l’on pouvait se détendre, un coin d’eau, des bans et bien autre. Ils avaient changé de sujet tout en marchant William souriait sa femme lui rappellent a quel point il est gourmand, Il adorait toutes ses douceur quelle réalisait à la boutique, Il passait de temps en temps, il prenait souvent sa dose de caféine, tout en prenant une pâtisserie, ce qui lui permettait aussi de voir sa femme.

William avait pris le temps de bien cogiter sur son passé. Léa et lui s'étaient finis depuis longtemps, elle n'était plus de ce monde, le pourquoi allait rester sans réponse. Quant à sa femme qui lui avait menti à bien y réfléchir, c'était par amitié avec Léa et par amour envers lui de toute manière, on ne pouvait revenir en arrière. Puis il ne supportait pas de voir sa femme souffrir cela n'était pas bon pour elle ni pour nos enfants. Après l'incompréhension, la colère, son résonnement l'avait amener à pardonner à la femme de sa vie même si leur vie n'était pas évidente, il était important de faire le bon choix, pour lui s'était de pardonner, il avait un très bon cœur, il voulait que le passé parte pour qu'ils puissent vivre le présent c'est essentielle a leur bien être. Aimer, c'est aussi savoir faire au mieux. Il n'y avait pas de moyen de récupérer tout ce temps qu'il avait perdu avec son fils, mais William allait tout faire pour être un bon père attentif, aimant et à l'écoute. Cette décision s'était fait après mure réflexion, William avait eu besoin de temps, aujourd'hui il pardonnait à sa femme. Il se doutait bien que pour Charlotte les choses allaient être bien plus compliqué, elle s'en voulait énormément, avec une thérapie tout irait au mieux dans quelque temps, William en était persuader ou du moins il l'espérait du fond du cœur, ses enfants, c'était si important de leur donner un foyer aimant.

« J'ai mûrement réfléchi en prenant du temps, j'en suis arrivé que te pardonner était le mieux à faire, nous avons encore tellement à vivre, nos enfants ont besoin de nous, je suis et serais à tes côtes. »

Cette journée était la bienvenue, le couple en avait besoin, Charlotte n'allait pas bien, William connaissait sa femme d'où avoir annulé sa journée de travail pour être avec elle, il avait bien changé, le travaille venait en second plan le plus important était sa femme et ses enfants. Il était persuadé qu'ensemble, ils affronteront mieux cette étape compliquée de leur vie. L'union fait la force Charlotte avait besoin du soutien de son mari. Ils mirent à discuter Charlotte demandait un coup de pouce à son mari histoire de discuter et de mélanger leurs idées, William venait de lui soumettre ce qui lui était passer a l'esprit. Il ne manquait pas d'idée, il arborait un sourire en discutant avec sa femme.
William souriait en regardant sa femme, il aimait la voir sourire son enthousiasme lui allait bien. Il lui avait donné quelques idées qui lui étaient passées quand elle lui avait demandé son avis, il ne doutait pas qu'elle allait garder bien précieusement dans un coin de son esprit sa femme à une excellente mémoire.

« Je plaide coupable... J'avoue que je suis très gourmand.»

Il appréciait de savourer de bons plats autant que des pâtisseries, mais il tenait à garde un corps correctement bien battis, d'où faire du sport, c'était important de ne pas se laisser aller sur ce point.

« Je ne doute pas un instant. Les couleurs festives ... Je vois parfaitement bien, c'est une excellente idée. Une fois installer ça devrait bien rendre.»

La balade au parc était déjà passée, le temps s'écoulait rapidement quand l'on est avec une personne que l'on aime. Charlotte et William s'accordaient bien peu de temps ensemble sans les enfants. Ils avançaient en direction du café tout en poursuivant leurs échanges.

« L'hôtel fonctionne encore mieux que nos prévisions, nous sommes débordées de réservation, le standing plait beaucoup, nous arrivons à contenter tout le monde, l'hôtellerie est très rentable, ainsi que la restauration, nous avons apporter quelques aménagement important qui nous avantages sur diffèrent clients, nous ne voulons pas qu'une clientèle aisée, nous avons fait en sorte d'avoir a disposition, des chambres et suite a des prix compétitif, ce qui permette de voir arriver des familles de tout budget c'est bénéfique de ne pas faire de sélection dans notre accueil et réservation, autant que dans la restaurations, nous avons diversifier les différents menu. On ne veut pas exclure les gens à petit moyen. L'hôtel apporte du bien-être avec la piscine et les massages, hammam, après, c'est en fonction de la demande de nos clients. »

« Avec du temps, tu finiras par te pardonner, le commencement pourrait se faire avec une personne de l'extérieur qui pourra t'écouter sans te juger, ni prendre parti. Le processus prendra le temps qu'il faudra, je serais à tes côtes. »

William avait une vie bien compliquée, c'était une chose certaine. Il avait la carrure pour y faire face t'en qu'il aurait sa femme et ses enfants, il pourrait tout affronter. Doucement, la conversation se dirigeait vers du vécu plus réjouissant. Elle avait raison, cette séduction l'avait fait chavirer, Charlotte était une jeune femme délicieusement séduisante, elle savait faire de très bonnes pâtisseries, comme il était gourmand, tout s'était fait naturellement entre eux, elle avait été là quand il en avait le plus besoin.

« Tout à fait, j'étais sous ton charme puis tu as vite compris que j'étais un gourmand. » Il esquissait un sourire séducteur « le charme a opéré le résultat, nous avons une petite princesse qui nous comble de bonheur. » Il la lorgnait en souriant, ces souvenirs lui revient a l'esprit.

« Pour toi, j'aurais toujours du temps, dis-moi vers quelle heure a tu besoin de mon aide ? Je viendrais te rejoindre. »

William avait évolué avait le temps, il avait compris bien des choses depuis sa séparation avec sa femme maintenant l'important était Charlotte et ses enfants, le travail passait après, il lui avait fallu du temps pour comprendre, sa situation professionnelle lui permettait aujourd'hui d'être plus attentif aux personnes qu'il aime. Sa femme, venait de s'exprimer sur son travail, cela le rendait fier qu'elle puisse admirer sa détermination.

« Merci mon amour, je suis ravi que tu sois contente pour cette détermination qui m'a permis d'en être là aujourd'hui, j'aurais dû procéder autrement.» Il aurait du faire autrement, il aurait pu y arriver sans que cela les sépares, il était désolé d'avoir pris ce chemin vu le mal qu'il avait produit, c'est un point que il regrettait tellement d'avoir été trop ambitieux. « J'ai beaucoup travaillé pour en arriver là, oui, personne ne pensait que je pourrais en faire quelque chose d'aussi imposant, ça m'a demander énormément d'implication.»

Il avait un serrement au cœur, cette période les avait séparées chacun avait son projet professionnel. La vie n'est jamais si évidente. C'était lui le fautif, William en était conscient depuis le couple vivait séparément, Charlotte avec les enfants et lui dans son appartement qui n'était pas très éloigné pour le bien-être des enfants. Quand son couple reviendrait à lui ? Une question à laquelle il n'avait pas de réponse.

« J'aimerais que l'on se retrouve toi et moi Charlotte, de ton côté, tu envisages cette possibilité ? Si l'on pensait un peu à nous ? On ne peut pas revenir en arrière, mais on peut vivre pleinement notre vie de couple et familiale ? »