❀ Maxime Samson ❀ Une douce rose aux épines accérées...

Cette histoire commence avec la nuit passionnante de deux personnes qui se partageront drogue, alcool et du sexe dans une chambre d’hôtel miteuse. La jeune femme, à peine âgée de dix-sept ans tombera enceinte de l’amant amérindien qui au final, ne voudra rien savoir de son enfant. Après des paroles très claires à la demoiselle, un avortement où il quitte, dans un éclat de colère, la gamine décide qu’elle garde l’enfant ainsi donc l’homme quitte pour un long moment. Ainsi, donc, la gamine de dix-sept ans, abandonne l’école et décide de trouver du boulot pour commencer à acheter du matériel. Un an plus tard, un petit bébé est né et elle se fait nommer Maxime. Les semaines, les mois et les années s’écoulent ou les hommes se succèdent sans vraiment rester et au bout de cinq ans, apparaît le petit frère de Maxime, Nathan. Si déjà la génitrice travaillait beaucoup, avec une deuxième bouche à nourrir, la mère est beaucoup plus absente. Ils quittent la grande ville de Montréal pour un petit village de la campagne, Saint-Lin Laurentides ou ils passeront une bonne partie de leur enfance.

Encore une fois, le géniteur de ce deuxième bébé n’est pas resté dans le décor, disparaissant dans la brousse comme une gazelle apeurée par le prédateur. C’est donc la grand-mère qui prend la relève. Une grand-mère aimable qui aime ces petits enfants, mais tout comme sa fille (la pomme ne tombe jamais bien loin de l’arbre.) elle n’est pas de nature maternelle et ou très affectueuse. Ils sont donc partiellement élevés dans un environnement sévère et dénués de chaleur humaine. Étrangement, ce deuxième enfant devient le petit garçon à maman et il a la chance de recevoir un peu plus d’affection de Nathalie, sa mère, ceci ne durera pas, mais il connaîtra un peu plus la chaleur humaine que sa sœur aînée. Tandis que la première est loin d’être matériel ou attachée émotionnellement aux jouets (pour le peu qu’elle a pu avoir), le gamin semble porter plus d’importance, ce qui poussera la gamine à lui offrir ses jouets pour pouvoir jouets avec lui.

Subséquemment, les années s’écoulent et la petite fille prend un rôle plus mature pour aide à la maisonnée dans des tâches simples tel que le ménage, la nourriture et le gardiennage du petit frère, permettant à maman de sauver de l’argent. Vers l’âge de huit ans, leur mère fait une rencontre qui changera la vie de leur petite famille. Un homme entrera dans la vie des deux enfants et mariera leur mère pour partager leur vie pendant dix ans. L’homme, attend de bipolarité et de schizophrénie, hautement sur la médication fera office de père et aura la tâche de faire ce que la génitrice semble être incapable de faire, élever ces enfants. Même si en soit, il n’effectue pas un travail médiocre, il n’est pas irréprochable non plus. Il est lourdement dans la consommation du cannabis sous toutes ses formes et occasionnellement l’utilisation de l’amphétamine. Ainsi, la petite famille déjà froide d’affection, sera maintenant remplie de haussement de voix, voire de cri sévère, de frustration incompréhensible et d’attaque physique (qui se veut du contrôle) sur le corps des enfants. Même si Max fait son maximum pour détourner toute l’attention d'elle, son petit frère n’y échappe pas complètement.

Nathalie revit donc une époque de drogue, de travail et d’oubli. L’homme essayera d’inculquer de bonnes habitudes de vie, parfois entre-couper par les éclats de voix, les serrements de bras et des punitions sévères et parfois cruelles. Devant l’absence grandissant de la mère, du silence face au supplice, malgré les demandes d’aide, Maxime se refermera sur elle-même en devenant très protectrice de son jeune frère. Ce qu’elle appelait autrefois maison devient un lieu de besoin basique nécessaire sans plus d’attache. Le simple fait qu’elle revenait à tous les soirs après l’école ou le travail était pour la seule présence de son petit frère. Une nouvelle fois, les années s’écoulent et les jours se ressemblent tous, l’absence de chaleur parentale, éclat de voix, les parents qui paressant sur le sofa sous l’effet de la drogue… Tout ce qui semblait donner le sourire à sa sœur était la présence de son jeune frère.

C’est en secondaire trois, qu’elle découvre qu’elle a un TDAH, alias, trouble du Déficit de l’attention sans Hyperactivité. Ce qui voulait tout simplement dire que les années passées allaient être misérable pour la demoiselle. À cause du manque d’encadrement titulaire et parental, elle se retrouvera à redoubler et son manque d’attention sera perçu du mauvais œil. Elle sera finalement envoyée dans une classe dite ‘’spéciale’’ qui en fait regroupait les délinquants et ceux qui avait de la difficultés, rajoutant encore plus de problème à ses études. En plus d’endurer les indisciplinées de sa classe, elle se retrouve à passer son temps à la bibliothèque, n’aidant en rien son apparence de rejets et faisant reculer les personnes ‘’normales’’ ou ‘’populaire’’. Cependant, Maxime n’avait que faire de leur amitié, tout ce qui l’intéressait réellement était les livres qui lui permettaient de s’échapper de l’enfer de l’intimidation, du rejet et de la maison. Tout ce qu’elle désirait était son coton ouaté préféré, son walkman à CD, sa musique qui lui crachait des sons aux oreilles et des livres de lecture.

Vers 16 ans, l’âge légal pour avoir un vrai travail, autre que des boulot payer sous la table à prix médiocre, elle abandonne l’école et trouve un métier à temps pleins que lui est permit avec son secondaire 4. Ses parents de l’époque semblent ne rien voir de dérangeant dans cette action et acceptant avec plaisir l’argent supplémentaire qui allait servir pour les épiceries et les dépenses quotidiennes de la maison. Ce fut également dans cette tranche d’âge, elle commença à imiter la signature de sa génitrice et à ce présenté aux réunions parents-élèves de son petit frère. Nathalie et sa fille se ressemblaient tellement, que Maxime n’avait aucune misère à ce faire passer pour elle. Elle n’avait qu’à enfiler des vêtements d’adultes et du maquillage et la voilà devenue maman d’un gamin de douze ou treize ans. Autant plus qu’elle avait son permis de conduire depuis la fin de ses seize ans… Sans oublier que la meilleure excuse était qu’elle l’avait eu très jeune… Ce fut également Maxime qui encadra son frère dans ses études et dans les frais monétaires scolaires de son frère, elle voulait s’assurer qu’au moins l’un d’entre eux termine son secondaire et aille un meilleur futur. Pendant ce temps, elle finit par comprendre que les rares amis qu’elle, c’était fait au secondaire, ne l’utilisait que pour venir voir son paternel qui leur offrait une discussion sans tabou et drogue au passage. Elle en devient donc à ressentir du dégoût pour lui et pour ces personnes qui finalement l’avait utilisé à leur avantage pour avoir de la drogue ou avoir quelqu’un pour surveiller leur petit frère et sœur pendant qu’ils s’offraient une puff de drogue avec leurs vrais amis.

Tel un fruit trop mûr et oublié, elle aurait dû surir, être corrompu par les élans néfastes de son entourage, de son environnement et pourtant le tout eu l’effet contraire. Elle en vient à avoir une haine pour la drogue, l’alcool, et même la cigarette qui semblait être le quotidien des autres. Elle voyait à tous les jours, dans sa propre ‘’maison’’ les conséquences sur ses deux parents, elle voyait les changements de caractères des gens sous les différents résultats et elle se promit de ne jamais se laisser détériorer par tout ceci et qu’elle devait à tout prix protéger son petit frère. Et tout ceci fut doublement renforcé la journée ou son beau-père sous l’effet de la drogue décida de s’introduire la nuit dans sa chambre pour quémander de l’affection. Les excuses étaient qu’elle était si belle, si mature physiquement, qu’elle ressemblait tellement à sa mère… Tout ceci était la faute de Nathalie qui ne lui offrait plus autant d’amour et d’attention, que tout ce qu’il voulait était de l’affection… Cette nuit fut la première et la dernière fois ou elle se retrouva complètement seule avec lui. Elle installa une barrure sur sa porte et sinon elle dormait à l’extérieur. Ils ne reparlèrent pas de cette fatidique nuit, que ce soit par peur, honte ou oublier dû à la drogue.

Les années continuèrent à s’écouler et quand elle arriva vers l’âge des dix-huit ans, Nathalie laissa tomber la bombe qui détruira encore plus la vie de la famille, elle divorçait leur figure paternel. Sans le désirer, elle se retrouva à faire le tampon entre les adultes qui se faisaient la gueule et son petit frère parce qu’elle ne voulait pas qu’il souffre. Finalement, il y eut un peu de quiétude dans la maisonnée, mais ce fut une tranquillité éphémère qui fut rapidement dérangée par la venue d’une créature aussi pourrit et profiteuse que la précédente. À l’âge de dix-huit ans, vivant à moitié dans son véhicule, elle aurait très bien pu quitter la maison, mais elle ne voulait pas abandonner son petit frère. Cet homme, encore plus dans la drogue et la paresse que le précédent, arrive dans la maison en la considérant sienne sans même débourser le moindre somme d’argent. Il utilisait et prenait tout ce qu’il désirait, sans se soucier des émotions qu’il allait déclencher chez les autres. À ses yeux, le simple fait qu’il soit présent dans un lieu, tout lui devait respect et tout lui appartenait. Il était tout simplement un être abjecte, mais Maxime était tenace pour son frère. Toutefois, quatre ans plus tard, quand elle avait vingt-deux ans, il dépassa les bornes en levant la main sur son frère et l’envoya balader dans un mur, tellement le coup fut rapide.

Maxime vu rouge et attrapa une batte de baseball qui était cachée dans le garde-robe du passage. Les mots volèrent bas, les menaces éclatées et que Maxime cherchait le soutient de sa maternelle face à la situation, elle comprit qu’elle n’aurait jamais d’aide de cette femme qui semblait se complaire dans cette vie de soumission. Quand l’homme fit un mouvement menaçant pour s’approcher d’elle et lui arracher la batte de baseball, elle frappa. Le bois entra en contact avec les côtes du profiteur et ils entendirent tout le craquement sonore d’un os de briser. Voyant toujours rouge, elle allait frapper à nouveau quand la voix de sa mère s’éleva et déclara qu’elle était bannie de la maison. Et encore une fois dans sa misérable vie Maxime se sentit trahie et c’était nulle autre que sa propre mère… À partir de cet instant, la boule anxieuse qu’elle était venait de décider que plus personne n’allait lui faire mal comme cette femme venait de le faire. En moins de trente minutes, elle et son frère firent des sacs de voyage et quittèrent la maison. Quand Nathalie essaya de l’arrêter d’entraîner son fils, ce dernier lui annonça en pleine face qu’elle n’était pas sa mère et Maxime la menaça d’aller voir la police et de lui parler de tous les méfaits qu’elle avait fait dans les dernières années si elle osait faire quoi que ce soit.

À partir de ce moment-là, le seul contact qu’ils gardèrent fut avec la grand-mère. Maxime s’arrangea avec une autre famille qui connaissait très bien les deux enfants. Le plus vieux de leurs quatre enfants était le meilleur ami de son frère et elle avait à plusieurs reprises servi de gardienne pour leurs enfants. Tandis qu’ils offraient une chambre à Nathan, en échange, elle payait un certain montant d'argent le temps qu’elle se trouve un petit appartement. Comme de fait, à peine quelques mois plus tard, elle réussit à décrocher un petit trois et demi dans le coin de Grenville. Elle voulait mettre de plus de distance entre eux et sa famille toxique, les loyers étaient minimes et elle avait déjà trouver un boulot plus payant. Ils ne restèrent pas à Grenville que deux ans avant de finalement déménager à Ottawa pour se rapprocher de l’université. Tous deux se jettent dans les études à l’école des sciences infirmières, mais avec des domaine très différent. Jusqu’à l’âge de vingt-quatre ans, ou elle, décroche un DEP en santé, assistance et soins infirmiers, elle fera plusieurs boulots en chaîne de production, dans la restauration et dans le service à la clientèle, ce qui forgera et développera une sensibilité aiguisée et une adaptation du contact humain, ce qui lui permettra mieux de comprendre comment fonctionne les émotions chez les humains en reconnaissant quand ils sont passionnés ou nerveux. Maintenant, elle voulait faire quelque chose de plus gratifiant, prendre soin des gens, ce ne serait pas si différent qu’avec son frère non ? C’était bien la seule chose qu’elle réussissait à bien faire. Maxime avait un point très positif, elle était manuelle et apprenait très rapidement en le pratiquant directement, elle pouvait donc assimiler rapidement une matière tant qu’elle pouvait l’apprendre avec ses mains avec un minimaux de techniques.

Jusqu’à ces vingt-huit ans ou elle fera un nouveau changement de carrière, elle dégote un poste d’infirmière axillaire à l’urgence d’un dès l’hôpital d’Ottawa, dans le coin de Riverview parc. Son frère maintenant assez vieux et maintenant en couple avec une demoiselle depuis plus de 2 ans, il avait décidé d’aménager avec celle-ci, laissant sa sœur être elle-même… Chose plutôt difficile quand elle avait passé plus de quinze ans à s’occuper de quelqu’un. Elle jette son dévolu dans le travail, enchaînant les heures de travail pour prendre soin de ceux qui avait besoin d’attention. Elle adore son métier et ce qu’elle fait, elle ne craint pas le sang et trouve une certaine fascination dans les actions des gens, surtout ceux qui semble être souffrants et qui ne l’admets pas. Dans ses quatre ans de ‘’naissance’’ personnelle, elle se découvre une passion pour les plantes, la cuisine, le thé, le miel, le café. Elle redécouvre le plaisir de la lecture et la musique. Durant cette période, elle fait la rencontre d’un jeune homme de trois ans plus jeune qu’elle. Amenée à l’urgence à la suite d’une blessure de couteau, elle est celle qui prend soin de lui le temps qu’il reste. Étrangement, elle s’est pris d’affection pour cette âme tourmentée. Ils ont échangé des paroles, des numéros de téléphones et devant l’aversion du jeune homme face à l’hôpital, elle lui a fait promettre de prendre contact avec elle s’il avait besoin de soin. 

De fils en aiguise, le jeune homme gagne son petit cœur, réussissant à faire ce que plusieurs avaient essayer de faire. Il serait menti de dire que Maxine n’avait pas eux de petit copain ou copine, elle en avait bien eu quelques-uns quand le manque d’affection était le plus pressant, mais il ne restait jamais assez longtemps pour réellement voir la vraie personne derrière et il se révélait être eux aussi des déceptions. Aux yeux de l’autre moitié, qu’ils soient féminins ou masculins, elle était souvent trop passive, indépendante, solitaire ou encore trop travaillante pour garder un petit copain. Ainsi, donc, la notion de ‘’chum’’ permanant se perdit quand elle fit la rencontre que de junkie blond. Malgré son addiction sévère et ses plaisirs personnelles dangereux, il démontra une personnalité intéressante et malgré tout respectueuse de sa personne. La parole facile du délinquant, les sourires taquins et le touché délicat, fascineront la demoiselle qui malgré elle jettera son dévolu sur lui sans pour autant faire les premiers.

Ainsi, donc, naquit une étrange relation de sentiments mélangés ou deux personnalités complètement contraire s’attirent et se comble avec leur simple présence. V, de son surnom amicalement donnée par Max, devient la seconde personne la plus proche de la demoiselle. Pour un œil extérieur, ils agissent comme un vieux couple et pourtant, ils n’ont jamais franchi l’étape du rendez-vous romantique et du baiser, mais à leur manière, ils se sont mutuellement conquis. Toutefois, cette relation magique ne dure pas, V doit quitter pour des raisons personnelles et qui était Maxime pour le retenir ? À la surprise de Max, ils gardèrent contact, discutant quand l’horaire de V le lui permettait. Les années s’écoulèrent à nouveau, et même si les coups de fils s’éloignaient entre eux, quand ils discutaient, leur complexité était toujours la même, taquine et amicale.

Sous le sentiment de la solitude, elle adopte deux Sphynx, communément appelés Beerus et Whis. Les deux frères chats offriront une animation intéressante et affectueuse qui comblera le peu de solitude qui l’habite. Elle recommence vaguement à rencontrer des gens sans pour autant courir après, souvent des collègues de travail temporaire ou des ami(s) ‘’d’amis’’ qui voulaient absolument lui présenter quelqu’un. Maintenant, vingt-huit an et elle devient mélancolique face aux conditions de travail des infirmières ou de tous ceux qui travaille dans le domaine de la santé. Elle en vient à la conclusion que ce n’est plus le genre de métier qu’elle veut faire. Non pas qu’elle ne veut pas continuer à prendre soin des gens, elle a toujours cette passion, mais plutôt le fait qu’elle ne peut pas prendre le temps avec un patient, que tout doit être rapide et qu’un finale les patients deviennent des numéro. Après avoir confié ses doutes et ses craintes à une amie qu’elle considère proche et où elles semblent bien s’entendent et passer du temps entre amies, elle se tourne donc vers la Massothérapie, qui lui est présentée sur un plateau d’or de la part de son amie pratiquante.

Donc, après un an de d’étude, de préparation et d’installation, elle devient Massothérapeute à la maison. Elle a dégoté un bel duplex de 1125 pi2 à louer sur Av Bédard, du côté du RCMP National Cemetery, un coin tranquille en soit. La petite maison, dispendieuse, mais bien située, possède 3 chambres, une salle de bain, un grand espace pour la cuisine, salle à manger et salon. Une cours suffisamment grande pour accueillir un coin de feu et un gros jardin. Ainsi, donc, la plus grande des chambres sera convertie en salle de massage qui accueillera ses clients. Une autre sera sa propre chambre et la dernière la chambre d’ami pour accueillir son frère et sa copine ou les rares autres personne qui pouvaient passer la nuit. Maintenant, à trente-trois ans, elle est toujours au même endroit, confortablement installée et sa clientèle de client bien faite aussi. L’histoire continue donc à partir d’ici…

➤ J'adore tes idées et je suis impatiente que nous puissions les mettre en place ! Il nous faudra un petit RP ! J'aime aussi beaucoup ta petite poupette que je suis impatiente de voir évoluer parmi nous.

➤ Voilà tu as passé l'étape la plus difficile : celle de la présentation ! Tu peux maintenant poster sur le forum mais avant encore un peu de boulot ! D'abord nous te demandons d'aller au Bottin des métiers pour nous dire ce qui te fait gagner de l'argent.

Tu devras ensuite te loger et mettre un toit sur ta tête alors viens nous indiquer ça dans le Bottin des logements.

Après tout ça, tu pourras créer ta fiche de liens et de rp, te faire un petit Instagram si tu le souhaites. Et tu pourras aussi gérer tes appels et tes sms sur le sujet du téléphone.

➤ Si tu es pressé de débuter le rp, tu peux aller t'inscrire à la loterie des rps ou bien aller consulter les demandes de rps et rps libres, ou bien ouvrir toi-même ton propre rp libre !

➤ Tu peux aussi créer des scénarios pour t'aider à faire vivre ton personnage ! A toi de voir ce que tu préfères pour ton petit chouchou. N'hésite pas à nous rejoindre sur le discord du forum et de rejoindre notre petite communauté et papoter avec les autres joueurs.

Nous te rappelons que si tu as des questions, le staff sera toujours là pour y répondre. Sur ce nous te souhaitons un bon séjour parmi nous et amuse-toi.