Welcome to my world ✧ Jett

Je m’étais quelque peu senti obligé d’accepter l’invitation. Un cousin, que je connaissais plus ou moins, que j’apprenais à connaître depuis un peu moins d’un an, m’avait proposé de venir avec lui à une fête, dans une maison. De qui ? Je ne le savais même pas. À la base, ç’aurait été suffisant pour refuser l’invitation, prétexter que je n’avais pas ma place là. Même que certains pourraient se demander pourquoi j’avais été invité à la base. Moi, je le savais parfaitement; c’était pour me faire sortir de mon appartement. Tout le monde me disait de le faire. De ne pas sortir que pour aller en rééducation ou tenter de trouver un emploi, mais pour voir des gens, échanger. Ma famille me le disait, mon psychologue que j’avais commencé à voir aussi. Et pourtant, je n’avais pas envie. Je n’avais jamais eu une fibre vraiment sociable, et je ne pensais pas que c’était ainsi que ç’allait changer. Mais pour ne pas entendre mon cousin insister sans cesse, j’avais fini par accepter. Malgré tout, ce fut sans trop d’enthousiasme que je me préparai à m’y rendre, mais je savais que je n’avais pas le choix, compte tenu que mon cousin passait me prendre. J’avais beau faire des progrès avec ma jambe, je ne savais pas si j’avais suffisamment confiance en moi pour conduire. Et puis, c’était la première fois que je passerais une soirée entière entourée de gens. Je savais bien que je pourrais très bien prendre un taxi pour rentrer si j’en avais assez - et j’avais averti mon conducteur que c’était une possibilité - mais j’espérais quand même que les choses allaient se dérouler un minimum bien. J’allais faire un effort et tenter d’être un bon public, mais c’était bien difficile de générer quelconque once d’enthousiasme à l’heure actuelle. Le moment venu, je sortis de chez moi, puis j’allai rejoindre mon cousin dans sa voiture. Une vingtaine de minutes après, nous étions devant la fameuse demeure. À notre arrivée, il me présenta vite fait à l’hôte, quelques personnes, et voilà tout. Puis, il partit discuter avec d’autres personnes de sa connaissance alors que moi… Je ne connaissais personne. Pas une surprise, mais une situation quand même inconfortable. Légèrement perdu, trop peu habitué à ce type de rassemblements - je devais être un adolescent quand j’étais allé à une fête, et encore là - je ne sus pas vraiment quoi faire. Observateur, je ne pus que constater que tout le monde semblait avoir un verre à la main. Une évidence ? Je ne pouvais que supposer. Du fait, je me résignai à me rendre à la table où tout le monde semblait trouver le contenu de leur verre. Quelques instants après que j’y sois arrivé - parce que c’était long pour moi en plus - j’entendis une voix, que je crus reconnaître. Mais je me dis que puisque je connaissais personne, ça ne devait pas être pour moi. Et pourtant, si, ce l’était. Obligé, je tournai la tête, et il me fallut une ou deux secondes pour reconnaître… Cette jeune femme qui m’avait aidé dans cette boutique qu’on m’avait suggéré, qui m’avait laissé si sceptique à la base…  « Euh oui… C’est ça… » fut tout ce que fus en mesure de répondre, réalisant que… Je ne connaissais même pas son nom. Je n’avais pas de souvenir qu’elle m’avait dit son prénom, et je n’étais pas retourné à la boutique depuis… Faute de temps, faute d’avoir le courage de faire le détour. Haussant les épaules à son commentaire, je répondis:  « Pour tout vous dire, je ne connais pas vraiment qui que ce soit ici… » Enfin, sauf mon cousin, mais c’était lui qui m’avait poussé à venir. Limite, ça ne comptait pas. Je ne m’éternisai pas, laissant la jeune femme me poser une autre question, toute simple, mais qui me fit comprendre que visiblement, elle se rappelait de mon passage à sa boutique. Étais-je si marquant que ça ? Elle devait voir plein de gens chaque jour… Non ? Je ne cherchai pas à demander, répondant plutôt:  « Euh… Oui ça va… » Je trouvai ma réponse plutôt nulle bien rapidement. Cherchant à me rattraper, je dis:  « Ça va mieux. Ce que vous m’avez proposé aide, merci d’ailleurs. » Je ne dis pas ça seulement pour être poli, mais bien parce que je le pensais. Je ne disais pas que la différence, c’était le jour et la nuit, mais au moins, mon quotidien était un peu plus… supportable. Ne me voyant pas tellement cesser de parler là, je tentai de trouver que dire par la suite, et le mieux que je pus faire, ce fut :  « Et vous… Comment ça va ? » Je me trouvais ridicule, je n’allais pas le nier, mais c’était mieux que rien du tout, n’est-ce pas ?

Est-ce que mon interlocutrice avait lu dans mes pensées ? Ou bien s’était-elle rendu compte qu’elle ne s’était jamais présentée à moi à cet instant où elle m’avait demandé de confirmer mon identité ? La personne rationnelle que j’étais n’aurait pas cru à la première option il y a de cela quelques semaines, mais avec ce que j’avais vécu dans cette boutique, je ne savais pas vraiment ce que je pouvais croire ou non. Là, je ne fis que tenter de ne pas trop me questionner, acquiesçant seulement avec un sourire timide, essayant tant bien que mal d’être rassurant, même si je ne savais pas tellement comment faire dans cette situation. Heureusement, le sujet changea rapidement, et j’avouai à Abigail que je ne connaissais personne. Apparemment, c’était pareil pour elle. Ça se voulait rassurant, mais contrairement à moi, elle, elle semblait avoir envie de faire de nouvelles connaissances. Je ne répondis pas, parce que moi, ce n’était pas vraiment mon cas. Je n’allais pas changer d’idée, mais je ne voulais pas non plus passer pour un terrible entêté. Enfin… Plus entêté que j’avais pu l’être lorsque je l’avais rencontrée dans sa boutique. Je repris la parole que pour lui répondre qu’au moins, j’allais mieux, un peu mieux depuis mon passage, lui retournant la question. Alors que je prononçais ces mots, je crus voir que son visage était en train de changer. Pourquoi ? Je ne savais pas. Il fallait dire que je n’étais pas très perspicace dans ce genre de situation. Puis, avant que je puisse lui demander si elle était certaine, elle s’excusa et partit. À la quantité de gens qu’il y avait, je ne savais où. Je demeurai un peu perturbé, mais, aussi quelque peu inquiet. Allait-elle bien ? Je n’avais pas été en mesure de voir quoi que ce soit. Laissé à moi-même, me sentant quelque peu idiot, je regardai autour. Je vis mon cousin, plus loin, en train de discuter, déjà en train d’avoir l’air de s’amuser. Puis, je regardai les autres personnes présentes, toutes occupées à échanger avec d’autres personnes. Tout de suite, je ne me sentais pas nécessairement confortable, comme je m’y en attendais. Que pouvais-je faire alors ? Ça faisait quoi, dix minutes que j’étais arrivé ? Soupirant peut-être un peu trop fortement, je vis où je pourrais m’asseoir, pour voir que toutes les places à proximité étaient prises. J’en vins à la conclusion que peut-être prendre un recul, pour ne pas paniquer, ne pas me frustrer, serait le mieux. Quittant l’endroit où je me trouvais - finalement, certains pourraient dire - je décidai de me diriger vers l’extérieur. Pourquoi ? Peut-être pour avoir un peu d’air frais, de ne pas me sentir pris autour de plein d’inconnus. Puis, ce fut lorsque j’arrivai dehors que je vis Abigail, assise, presque recroquevillée sur elle-même. Un peu inconfortable, je ne sus pas vraiment quoi faire. Qui étais-je pour tenter de la rassurer ? Personne, un client à ses yeux, rien de plus. Et pourtant, je ne me voyais pas tant la laisser là, comme si je ne l’avais pas vue. N’étant pas physiquement capable de m’accroupir pour être présent, mais pas trop envahissant, je dus faire fi de mon orgueil, puis difficilement - et avec tous les appuis que je pouvais utiliser - je m’assied à côté d’elle, sans être trop près, et je demandai:  « Est-ce… Est-ce que ça va… ? », me sentant maladroit, et encore une fois quelque peu idiot, ne sachant pas trop comment je pourrais faire autrement.

Quand Abigail releva la tête, je ne pus m’empêcher de voir ses yeux rougis et gonflés par les larmes, ce qui ne me disait rien de rassurant. Et pourtant, elle était là, à me sourire, me disant qu’elle allait mieux. Était-ce simplement pour faire bonne figure devant moi, compte tenu que nous ne connaissions que peu ? Je ne saurais pas le dire, je ne savais pas si je devais insister non plus, ne voulant pas jeter un froid non plus, déjà que, je ne pouvais pas le nier, j’étais un peu inconfortable dans cette situation. J’étais conscient que c’était moi qui s’était mis dans cette situation pour le coup, en sortant, en venant m’asseoir non loin d’elle et en lui demandant si ça allait, mais je n’étais pas certain que c’était approprié que j’aille plus loin, que je lui demande plus d’explications. Au final, je n’eus pas l’occasion de dire quoi que ce soit qu’elle reprit la parole, s’excusant, disant que cela ne lui arrivait pas souvent. Instinctivement, je fronçai légèrement les sourcils. Qu’est-ce qui arrivait ? Était-ce en lien avec ce qu’elle faisait, aux services qu’elle offrait dans sa boutique ? Je ne saurais pas les nommer et encore moins les expliquer. Décidément, je n’étais ps au bout de mes incompréhensions, puisque la jeune femme vint à me poser les questions à laquelle je ne m’attendais pas vraiment. En fait, m’attendais-je à quelque chose ? Non. J’avais beau l’avoir rencontrée une fois, j’avais compris que je devais apprendre à ne pas me faire des attentes. Ce n’était pas facile pour moi, pour qui la vie a été presqu’entièrement calculée, du début à la fin. Mais ma vie calculée, c’était terminé. Ça ne voulait pas dire que je lâchais pas prise complètement sur tout dans ma vie. Mais pour certaines choses, comme cette situation, j’apprenais à ne pas complètement me refermer non plus. En revanche, ce n’était pas pour autant que j’avais quelque chose de pertinent à offrir. Baissant le regard, je dis:  « Non… Pas du tout en fait…. » En fait, je ne savais rien sur l’histoire des lieux, mais en fait, je ne savais rien sur les lieux, tout court. Comme par crainte qu’elle vienne à me poser des questions, j’ajoutai:  « Je ne suis pas d’ici, pour tout vous dire. Je suis arrivé il y a quelques mois tout au plus… » Plus précisément après mon accident, qui avait fait en sorte que j’avais terminé ma carrière abruptement. Mais ça, je ne le précisai pas. C’était si rare que je parlais de ma personne et de ma vie, moi-même j’en étais quelque peu perturbé.  « Je ne crois pas que je peux vraiment vous aider sur ça, désolé. » terminais-je plutôt avec un petit haussement d’épaules, un sourire désolé, ne sachant pas vraiment quoi ajouter d’autre.

Avant que je puisse dire quoi que ce soit à la jeune femme, celle-ci fut interrompue par une personne, visiblement une de ses amies, au vu des affinités qu’elles semblaient entretenir. Bien rapidement, je sentis que je n’avais pas nécessairement ma place. Cependant, je ne pouvais pas juste m’éloigner et partir pour mettre fin à la conversation. Je n’étais pas le plus sociable des individus, mais il n’en demeurait pas moins que je savais un minimum vivre et là, ça ne se faisait tout simplement pas. Un peu gêné, j’attendis, en retrait, ne m’attendant pas à être sollicité. Enfin, c’était là un grand mot, puisque la jeune femme ne fit que se présenter. Tout ce que je fis, ce fut de prendre la main qu’elle me tendit, la serrer de façon courtoise, puis me présenter à mon tour, d’un simple :  « Jett. » L’interaction ne fut pas plus longue et visiblement, n’avait pas besoin de l’être davantage. Ce fut davantage ma première interlocutrice qui s’en occupa, lui posant la même question qu’elle m’avait posée précédemment. Mais de ce que je compris, elle obtint une réponse pas mal plus pertinente que la mienne. Rien de surprenant, je n’étais pas trop difficile à battre de ce côté. Les laissant terminer leur conversation, je ne sus pas si Abigail voudrait repartir avec son amie ou non. Si c’était le cas, ce serait tout à fait légitime. Mais non, ce ne fut pas ce qu’elle fit. Elle revint à ma rencontre, passant un commentaire sur son amie, auquel je répondis avec un petit sourire à la fois amusé, à la fois poli. Rapidement, elle changea le sujet, me demandant une question un peu plus… personnelle. Pour tout dire, je ne m’y en attendais pas vraiment. Pas qu’elle n’était pas légitime, mais parce qu’on se connaissait si peu… Enfin, je choisis de ne pas faire de cas avec la question, mais je ne savais pas si j’étais prêt à être complètement transparent. C’était normal, je supposais. Haussant les épaules, je répondis:  « J’avais besoin de changer d’air. J’ai un peu de famille ici donc c’est pour ça que j’ai choisi de m’y installer. » C’était vrai. Par contre, je n’étais pas entré dans les détails du pourquoi je n’avais pas voulu rentrer là où mes parents se trouvaient, ce qui aurait été le plus simple, le plus naturel à faire. Je jugeais que ça, c’était peut-être trop personnel, et si ça se trouvait, même pas pertinent pour cette discussion.  « C’est mon cousin qui m’a emmené ici d’ailleurs. Il pensait que me faire sortir pourrait me changer les idées. » Avait-il raison ? Je ne saurais pas le dire. Pour être honnête, je serais du genre à lui dire que non, mais la présence de la jeune femme venait changer lentement, mais sûrement ma façon de penser. Que me faudrait-il pour l’admettre ? Je ne saurais pas le dire, je n’en étais pas là, pas encore en tout cas.

J’acceptai le commentaire avec un sourire poli. Pour tout dire, je ne savais pas vraiment quoi penser de la ville, de ce qu’elle offrait. Pas que j’étais fermé d’esprit à ce point là - je ne l’étais pas sur tout, quand même - mais parce que je n’avais pas vraiment eu le temps d’explorer quoi que ce soit, mise à part l’hôpital, le centre de rééducation, et voilà tout. Je n’avais pas tenté de trouver un boulot, faute d’être suffisamment fonctionnel à mon avis pour le faire. Bref, au vu de mon ignorance, j’avais eu ce que je pensais être la seule réaction que je pouvais avoir. Puis, pour ne pas laisser la discussion mourir comme ça, sans faire d’effort, j’avais fait cette précision concernant mon cousin. Honnêtement, je ne pensais pas qu’Abigail irait jusqu’à chercher un lien. Comment devais-je lui présenter ? Je n’étais pas tant habitué à faire ça. Après tout, tout ce que j’avais connu, c’était l’armée, et disons que mon nom de famille était suffisant pour que les gens comprennent de quelle famille je venais, qui était mon père, qui était mon grand-père même à quelques occasions. Regardant autour, un peu gêné de laisser un silence planer, ce fut à tout hasard que je vis mon cousin. Je le pointai à mon interlocutrice, et je lui dis:  « Tu vois le mec qui fait un shot, là-bas ? C’est lui. » Après, libre à elle de voir si elle le connaissait ou pas. Ce n’était pas comme si je pouvais tant la guider.  « Je le connais plus ou moins, pour tout t’avouer. Nous n’étions pas les plus proches auparavant. » Et à le voir agir, nous n’avions pas tellement de points en commun, mais je m’abstins de passer un tel commentaire. Puis, avant que je puisse ajouter quelque chose, la jeune femme s’excusa. Mais de quoi ? De poser des questions ? De s’intéresser à ma personne, ce que peu de gens avaient fait depuis un bon moment maintenant ? Bon, je n’allais pas le nier, ce n’était pas dans mes habitudes, de m’ouvrir, de parler ainsi de ma personne, mais ça changeait et pour le moment ça demeurait… passable. Haussant donc les épaules, je dis:  « Non, ne vous en faites pas. » Suite à mon propos, je grimaçai un peu, pris d’un élancement dans ma jambe. Sur une pointe un peu ironique, j’ajoutai:  « Ce n’est pas comme si je pouvais aller très loin… » sans vraiment réfléchir à ce que j’avais dit pour le coup, et n’y pensant pas plus, alors que je tentai de déplier, puis replier ma jambe, afin de faire disparaître cette douleur qui n’était pas la bienvenue.

J’haussai les épaules lorsque la jeune femme constata que mon cousin et moi n’avions pas grand-chose en commun. Honnêtement, elle ne m’apprenait pas quelque chose de nouveau. Ça ne faisait pas longtemps que j’étais ici, je ne le connaissais pas vraiment. Et je n’étais pas venu pour tenter de connecter davantage avec lui, mais plutôt pour ne pas passer pour celui qui ne voulait rien faire. Donc pour moi, ce n’était pas un complexe, ce constat, et je n’allais pas en faire grand-chose. Honnêtement, ce n’était même pas une priorité à ce point. Rester assis ainsi, mélanger avec le stress qui venait avec le fait de me retrouver avec autant de gens, dans une situation qui ne me ressemblait pas, qui ne me mettait pas à l’aise du tout, cela ne venait pas m’aider. Abigail sembla le sentir que je ne me sentais pas bien. Mais pour tout dire, je ne m’y en attendais pas vraiment. Je me surpris même à sursauter légèrement et me montrer quelque peu confus. Puis, j’eus un petit sourire un peu timide quand je compris finalement, comme si je venais de me rappeler des circonstances de notre première rencontre. Sa proposition était plus que sympathique, mais je ne savais pas si c’était ça qui allait m’aider le plus en ce moment, et encore moins le fait de boire quelque chose. Sans parler du fait que mon orgueil ne saurait accepter que quelqu’un fasse cela à ma place. Je savais que je devais apprendre à laisser aller, mais ce n’était pas toujours facile, et ce l’était encore moins en ce moment. Ne pouvant me contenter de secouer la tête pour répondre par la négative, je cherchai une réponse, puis je finis par dire:  « Pour tout dire, je pense qu’une des seules choses qui pourraient me faire aller mieux, c’est rentrer chez moi. » Je réalisai qu’après avoir tenu ces propos que ce que je venais de dire était probablement insultant pour la jeune femme. Trop tard, c’était dit.  « Oh je… Je suis désolé… C’est pas ce que… » Je soupirai pour moi-même, m’en voulant de ne pas trouver les mots. Je pris donc quelques secondes pour m’ajuster de nouveau, puis je dis finalement:  « C’est pas du tout mon truc, ce genre de soirée, mais ta compagnie ne m’importune pas. Bien au contraire. » Était-ce suffisant pour rattraper la chose ? Je ne savais pas, je me sentais vraiment stupide et j’avais cette impression affreuse d’avoir tout gâché. J’osais vraiment espérer que ce n’était pas le cas, même si je ne pouvais pas faire grand-chose pour le coup.