La chaleur se fait moins brutale mais la fraicheur reste agréable. Doucement, l'été laisse place à l'automne même si, pour l'instant, les couleurs du paysage restent vives. Les baignades et les promenades au soleil sont toujours d'actualité, tout comme les soirées à la belle étoile. Il fait bon vivre !
Les attendus
InformationsLe forum se déroule à Ottawa, Canada. Nous ne demandons aucun minimum de mots. Nous faisons un recensement mensuel. Avatar réel et doublons nom/prénom interdit.
L’été laisse place à l’automne, on pouvait voir doucement les couleurs prenne leurs nouvelles teintes, un léger vent se levait parfois. Ce week-end était dédié à Cole, c’était un moyen pour William d’apprendre à mieux connaître son fils. Cole est arrivé dans la vie de William, il y a un mois ça été une révélation difficile, car il en découle des mensonges et trahisons. Mais depuis Cole vivait chez sa femme, car le couple traverse une période de transition tout était en bonne voie. D’ici quelque temps, le couple se remettrait ensemble afin de vivre leur amour à domicile et en famille.
Cole était en garde alterné comme sa petite sœur Alice, mais ce week-end, ils allaient être entre père et fils, William avait envie d’apprendre à connaître son fils de 16 ans. Il avait pris ses dispositions avec son travail afin de ne pas être dérangé, mais également avec sa femme, car normalement, Cole aurait dû se trouver avec Charlotte. De ce fait, cela allait aussi être un moment entre mère et fille. C’est un moyen de se partager. Être parents ce n’est pas toujours évident. William était passé chercher son fils vendredi soir de cette manière, Cole pourrait se réveiller dans sa seconde chambre dans l’appartement moderne de son père.
William travaillait beaucoup, mais depuis sa séparation temporaire avec sa femme, il avait appris à quel point les moments en famille était important que le travail pouvait se gérer d’une autre façon. Cette épreuve lui avait ouvert les yeux. Il fessait tout pour éviter le divorce depuis quelque temps Charlotte et lui, ils renouaient en se redécouvaient en douceur par des moments en toute simplicité. Il ne voulait rien brusquer. Charlotte l’avait trahi cependant elle l’avait fait par peur de le perdre, puis le temps s’écoulait William finissait par comprendre en douceur, il commençait à lui pardonner. Il était hors de question que les mensonges du passé détruisent son présent et encore moins son futur. Dans la vie, il faut savoir faire des efforts d’une manière ou d’une autre que contait le plus pour William actuellement ? Sa petite famille, l’amour de sa femme, car ils avaient déjà bien encaissé. Il était temps de prendre leur vie en main afin de vivre pleinement tout ce que la vie pourrait leur donner.
Samedi matin au alentour de 09 h 00, William était déjà réveillé, il s’était levé de manière a préparé le petit-déjeuner. C’est en bas de pyjama avec un t-shirt noir qu’il descend les escaliers du premier étage en partant vers la pièce principale. Il ouvert les volets électriques. Cole devait peut-être dormir encore ou pas. William prépare le jus d’orange pressé, il fait couler le café, tout en prépare des pancakes. On venait de sonner à la porte, c’étaient les viennoiseries. Tout était prêt, il ne manquait plus que son fils, William remontait l’escalier une fois, qui avait rangé son matériel, il arrive devant la porte de la chambre de Cole, il frappait.
-Cole… Tu es réveillé ? Le petit-déjeuner est prêt… Tu viens ?
William attend un peu histoire de voir si son fils lui répondait. S'il non, il n'aurait pas d'autres options de rentrer afin de la réveiller. Le petit-déjeuner allait refroidir ce week-end il n'y a pas de grasse matinée.
Un mois que je vis à Ottawa maintenant, et autant de temps que j’ai fais la connaissance de mon père. A l’origine seul Charlotte avait la responsabilité de m’élever jusqu'à mes dix huit ans. Mon père ne faisait pas partie de l’équation, mais les choses ont changé, il sait que j’existe et il veut faire partie de ma vie. Je le comprends, d’un certain côté moi aussi je désire cela, apprendre à le connaître, essayer de combler seize ans de séparation. Mais une autre partie de me dire que je trahis ma mère.
Mais en un mois, Charlotte et lui ce sont concerté, et la discision fut que pour satisfaire tout le monde je serais en garde alterné, une semaine chez Charlotte et une semaine chez mon père. Pour résultat j’ai deux chambres au style très différent, London chez William. gamer chez Charlotte. Pour cette semaine je suis chez Charlotte, week end y copris et retourne chez mon père que lundi après les cours, on est vendredi, alors que je rentre des cours, je m’affale sur le canapé apparemment bien fatigué. Mais ma logeuse, si je peux dire, me dit qu’il y un changement de programme, je dois préparer mes affaire William vient me chercher, ainsi elle passerait un week entre fille avec Alice et moi seul avec mon père, entre mec. C’est en trainant les pieds que je m’exécute, non pas que je ne veuille pas, mais la fatigue de la journée est bien présente.
Effectivement vers dix neuf heure, mon père était là, sourire aux lèvres Alice radieuse croyant que son papa venait la chercher, quand on lui explique que c’est moi qui vais aller partir avec William, après une moue , la petite partie dans sa chambre revenant avec un dessin, pour que je décore ma chambre la bas, chambre déjà décoré selon mes gout. Pour le repas ce fut rapide, mon père pris un drive dans un fast food très connue. Entre nous je dirais que c’est tendu, maison n’avait pas vraiment eu le temps de savoir qu’elle était les sujet qu’on pouvait aborder sans froissait l’autre.
Une fois à l’appart moderne de mn père, je pris rapidement congé et rejoignit ma chambre. Je connaissais parfaitement les lieux, ce n’est pas la première fois que je viens, comme dit j’avais ma chambre décoré à mes envie. Je ne vouais as me montrer désagréable vis-à-vis de mon père, mais j’étais vraiment fatigué. Je pris une douche, dit bonne nuit et rejoignit ma chambre, malgré la fatigue, je me connecte à une plateforme de streaming, mate un film, envoyé quelque SMS à ma copine et puis je me suis envolé vers le pays des rêves bien au creux dans les bras de Morphée.
Je réveille un peu avant neuf heures. Je m’étire dans mon lit, finalement dans cette chambre j’ai une bonne literie. Puis lentement ma main droite pas sous l’élastique de bas de pyjama, et commence à me faire du bien. C’est alors que mon père frappe à la porte, mais arrivant au point culminant de mon activité, je n’ai nullement envie de lui réponde, une seule chose copte atteindre la jouissance. Puis dans la porte s’ouvre à quelque secondes de l’éjaculation, je vois la stature de William apparaitre posant on regard sur moi dans cette position délicate, en quatrième vitesse je remonte la couverture et lui dit un peu honteux et énervé :
« Mais tu fait quoi ? Je ne t’ai pas dit d’entrée sort de ma chambre »
Je suis super mal à l’aise, jamais plus j’oserais croiser son regard. Pour le coup je n’ai plus vraiment envie d’aller au bout de ma masturbation.
William n’était pas préparé à ce qu’il venait de découvrir en allant réveiller son fils, il était déjà 9 h du matin Cole est un adolescent qui apprécie dormir, William aurait peu le laisser roupiller, mais comme il avait très envie de se retrouver entre père et fils, faut dire que la semaine s’écoule rapidement William est occupé par ses responsabilités professionnelles et Cole a sa vie d’étudiant. Il n’avait pas vraiment planifié le déroulement de la journée. Il voulait que Cole lui fasse découvrir ce qu’il aime. C'était une journée de vadrouille. Il finirait par se préparer après le petit-déjeuner William allait quitter son costard pour une tenue décontracté, il avait déjà préparé ce qu’il allait porter, un jean bleu, t-shirt blanc avec une veste en jean plus une paire de basket.
Il venait de frapper et de pénétrer dans la chambre de son fils, quand William se fige en découvrant que son fils est devenu un jeune homme, ce qui est très gênant étant son père, Cole lui demandait de sortir une chose que William finit en fermant la porte.
-Désolé, le fiston, prend ton temps, rendez-vous en cuisine.
William venait de surprendre son fils qui se donnait du plaisir d’un coup, il réalisait que Cole avait peut-être une vie sexuelle. Est-ce que son fils avait une relation ? Il a 16 ans, c’est l’âge mince dire qu’il n’avait pas encore eu le temps d’en parler. Un mois s’était écoulé depuis arriver de Cole, en ce lapse de temps son fils pouvait avoir rencontré une jeune fille mais un mois c était court pour arriver à ce stade de disait William pour se rassurer, voilà qu’il se demandait comment il allait aborder le sujet.
Son fils est devenu un homme. William file vers les escaliers puis il descend marche par marche. Il souriait après avoir été surpris de tomber sur l’acte sexuel de son fils. C’était à prévoir qu’un jour cela arriverait, mais William ne pensait pas que c'était pour tout de suite, c’était louper. Le petit-déjeuner risque de se faire dans le silence. William passait devant la radio, il l’allumait histoire de mettre un fond de musique. Puis il voulait attendre son fils, en attendant qu’il déboîte William se préparait un double café corsé, il se fournissait aux « les délices D’Alice » où l’on trouve les meilleures pâtisseries de la ville, et par la même occasion le café très raffiné de diverse arômes. William attrapait une tasse adaptée à la quantité du café qu’il voulait déguster tout en attend de voir son fils descendre les escaliers, il semblait prendre son temps ou il avait honte d’avoir été surpris, j’aurais dû attendre avant d’entrer, mais comme il n’avait pas répondu William était entré. La pleine de café, il la portait à ses lèvres.
Durant ce temps, William s’assurait qu’il ne manquait rien sur la table. Son téléphone, qui n’était pas loin de lui, se mit à sonner William décroche afin de discuter avec son frère Liam. La communication durait 10 minutes. Il avait dit à Liam qu’il passait le week-end avec son fils. Il en était très content William ne parlait pas de l’incident qui devait de se produire ce matin.
Après une bonne douche bien chaude, je rejoins mon père en bas dans la cuisine. Je ne croise pas le regard de William, la situation et vraiment bizarre, en regardant la table avec tout ce qui est proposé pour le petit déjeuner, j’oublie momentanément ce qui vient de se passer, et le malaise qui plane. Je m’assoie sans dire un mot, ne relevant pas les yeux, et me serre ce que je désire et plonge mon regard au fond de ma boisson chaude. Pour un début de week-end j’ai connue mieux.
Je sais que je ne vais pas pouvoir me caché derrière ma tasse de chocolat chaud toutes la journée et avoir à affronter le regard de mo père. Puis quelques chose me revient en mémoire, il était adolescent quand il à mit ma mère enceinte, donc il est un peu mal placés pour me faire la morale si c’est intention :
« Tu n’a rien à me dire, super si tu garde le silence… c’est quoi le programme ? »
Mieux vaut éviter le sujet sensible, même si je sais pertinemment que je vais y avoir droit. Je conçois que de son côté c’est un peu perturbant, gênant et pas simple, qu’il se rassure on est dans le même cas, après c’est un garçon lui aussi, il devrait comprendre qu’a mon âge s sont déjà commune on va dire. Autant en profité de se petit déjeune pour crevé l’abcès :
« Tu veux en parler, de ce qui vient de se passer. Je te demande juste d’oublier la discussion sur les garçons et les filles… c’est plus la peine. J’ai une copine »
J’aurai put ajouter que je ne suis plus vierge, mais je ne veux pas être à l’origine d’une possible crise cardiaque. Pourquoi est il entré aussi, il devait bien se douter que si je ne lui dit pas entré c’est que j’ai une bonne raison. Il pouvait parler à travers là porte ou a peine l’ouvrir sans regarder, pas l’ouvrir en grand et entré d’un pas déterminer dans a chambre, le concept d’intimité il ne connaît pas.
Après un moment William buvait son café en réfléchissant que sa vie de père s’était fait attendre. Mais maintenant la vie de père s’avancer bien rapidement. Cole a pris sa place de fils en s’intégrant dans sa famille, oui, nous formions notre tribu. La vie n’était pas facile chaque jour, mais nous n’avons pas à nous plaindre. Ma femme et moi, nous avons tout organisé pour le bien-être de nos enfants. J’avais aussi besoin de régler cette situation au sein de notre couple. De manière a que nous allons de l’avant ensemble face au imprévu de la vie.
Puis Cole se pointait dans la cuisine le petit-déjeuner était étaler. Au départ, nous restâmes silencieux. Mon fils évitait mon regard. La conversation ne venait pas franchement, William ne voulait pas revenir sur le sujet, mais un père doit toute de même être au courant de la vie de son fils. William était un homme patient même s’il fut un temps, il ne l’avait pas été. Cole brisait le silence.
- Je suis désolé pour tout à l’heure cela ne se reproduira pas. Je voudrais que l’on passe du temps ensemble, nous pourrions faire ce que tu apprécies ? Que souhaites-tu faire ? J’aimerais apprendre à te connaître faut dire que entre tes cours et ton sport et mes journées de travail, on a peut de temps ce week-end est le bienvenu.
- Je ne mettais pas rendu compte que tu étais devenu un homme mon fils. Je me doute bien que tu n’as pas besoin de conseil actuellement, mais n’oublie pas que si un jour le besoin s’en fait ressentir, je suis là pour toi fiston. Alors tu as une petite copine ? Dit-il en attrapant un croissant entre ses doigts.
- Elle ne nomme comment ?
William prit en suite un jus d’orange pressé en profitant de ce moment avec son fils. Il avait envie de connaître son fils. Il évitait d’être envahissant tout en cherchant à apprendre sur la vie de jeune homme. Une fois, le petit-déjeuner entreprit tout en discutant tous deux finissant de finir de manger et de boire. William rangeait tout en débarrassant. Il éteignait la radio en attrapant sa veste.
J'avais écouté toutes les paroles de mon père, sans l'interrompre. Mangeant viennoiseries sur viennoiseries. J'évite sciemment de répondre à la question de mon père concernant ma copine. Une fois le petit déjeuner fini, pendant que William remet tout en place, je pars me brosser les dents, en me regardant dans le miroir, je me demande si je dois lui dire comment se nomme ma copine et si j'j'ai envie de ce genre de conversations avec lui. Mais aussi lui mentir en lui disant que je suis encore vierge, ou le laisser connaître cette vérité qui semble le troubler au vu de ses paroles ? Et où trouver la réponse à mes questions. Mais voilà que j'ai déjà fini. Je le rejoins en bas.
Il me propose de sortir, je suis ok' mais avant je tiens à éclaircir un point :
" Moi aussi j'ai envie d'apprendre à te connaître. Je ne sais pas si on peut rattraper seize ans de séparation… mais ma copine a le nom que lui ont donné ses parents. On peut parler de tout ce que tu veux, mais pas de ma copine."
J'en parle sans problème avec Nathan. Mais lui c’est un ami. Assurément mon meilleur ami. Là il s'agit de mon père et je ne vois lui parler de la vie privée, c'est hyper gênant:
" Je te la présenterai un jour… la veille de notre mariage, si ça arrive ou à la naissance de nos enfants, papy"
J'éclate de rire. Je crois que c'est la première fois que je ris en sa présence. Faut dire que jusqu'à présent, nos discussions ne prêtent pas à rire:
" On va où. Ottawa c'est ta ville. Les hauts lieux touristiques, j'j'ai déjà fait avec Ju… euh ma copine"
Je peste silencieusement contre moi, j'ai failli vendre la mèche. Oh et puis tant pis :
" Ma copine ce nomme June, June Haynes, je pense que tu as du la voir au moins une fois, elle venue me chercher pour bosser un exposé, tu arrivé quand nous on partait."
Mais ce jour-là, j'avais assuré à mon père que ce n'était qu'une camarade, juste mon binôme. Rien de plus. Pourtant c'est ce jour-là que j'ai perdu mon pucelage. Quand je pense que je me pensé être plus sérieux que mon père a ce niveau là, à son époque comme maintenant, les filles nous font toujours tout er la tête.
William était ravi d’être avec son fils. Le petit-déjeuner s’était fait tout simplement une fois tout ranger, il était prêt à se consacrer à son fils qui venait de quitter la cuisine en direction certainement de la salle de bain. Puis Cole était revenu avec l’intention d’éclaircir un point de ce fait, William fut très attentif que voulait lui dire son fils ? Le meilleur moyen était de l’écouter chose que William fessait tout le temps. Il était très heureux d’entendre que son fils voulait autant que lui ce rapprochement le mieux apprendre à se connaître. Il avait entièrement raison jamais, ils ne pourraient récupérer ses années de perdu, mais on pouvait faire de son mieux pour chaque moment présent de la vie.
« Je suis tout à fait en accord avec toi, les années perdues ne pourront pas être récupérées profitons du coup de chaque moment que l’on peut partager. »
Cole resta très vague au premier abord concernant le prénom de sa petite copine cela me fessait quelque chose d’apprendre que mon fils était en couple il n’avait que seize ans mais s’il se réfère à lui cela était tout à fait normal lui aussi était déjà amoureux à cet âge. Ce qui le fit se rappeler de lui à son âge, il était déjà actif sexuellement donc il fallait que son fils soit prudent qu’il se protège, mais comment lui dire ? Devait-il lui en parler ? Du moins juste lui dire qu’il était d’accord il ne demanderait plus rien sur sa petite copine, mais qu’il devait faire attention.
« Très bien fiston, on évite de parler de te petite copine, j’espère que vous protéger avant que Cole vienne à dire quelque chose, je ne reviendrais pas sur le sujet mais j’avais besoin de te le dire, ne le prends pas mal, j’ai confiance en toi, tu es très intelligent Cole. De nous jour la vie peut vite basculer. »
C’était tout de même son rôle de père d’avertir son fils qu’il soit prudent. Il espérait que Cole ne le prenne pas de travers. Entre l’avoir surpris ce matin, puis apprendre qu’il a une petite copine et maintenant de lui parler de se protéger, cela pouvait faire beaucoup. William était un père qui voulait le meilleur pour son fils qu’il aime. Heureusement qu’il n’en était plus à boire son café, car en écoutant son fils, il aurait pu recracher tout car il venait de parler de mariage.
« Très bien fiston tu me la présentera le jour où tu le voudras, mais question mariage et être papy, je pense que c’est trop tôt ? »
William avait une expression déconcerter et son fils riait de bon cœur, William venait de comprendre que cela n’était qu’une blague, il put souffler rassurer, C était la première fois que William pouvait voir son fils rire, cela le fit sourire.
« Si tu as déjà visité la ville, on peut aller faire ce que tu aimes, je suis ravi que l’on soit ensemble. »
Son fils avait gafté le prénom et nom de la jeune fille, il se mit à réfléchir cherchant dans ses souvenirs puis il revu le jour où elle était venue étudier avec son fils.
« Je m’en souviens » Dit Il avec un sourire.« Vous avez l'air de bien vous entendre, je comprends mieux pourquoi. »
On venait de se mettre d’accord pour ne pas parler de ma copine, mais sa dernière remarque me pique la curiosité, de quoi il comprend, sur le fait qu’on s’entend bien June et moi. De ce que je sais de nous on est très différent. Mais il avait raison on s’entend très bien si seulement il savait à quel point, mais hors d questions de lui confirmé que je suis sexuellement actif. De mon côté hors de question de ne pas intervenir dans la vie amoureuse de mon père :
« Et toi avec Charlotte tu attend quoi pour ...vous remettre ensemble. Je suis peut être jeune, ais pas aveugle, j’ai bien vu comment vous vous regardez, ok elle t’a caché une vérité importante, mais vous perdez des moments précieux, et tu est bien placé pour savoir que ce qui est perdue ne se rattrape pas »
J’espère qu’il comprend bien mes paroles. Il reproche à Charlotte et ma mère de nous avoir volés seize ans, mais lui refait le schéma, en volant à Charlotte et lui-même des années heureuses. Mais bon ce week end entre nous n’as pas pour but, de parler de nos relation amoureuse. Ayant vu les plus grands sites touristique d’Ottawa, avec mon père j’avais envie de voir quelques chose de spéciale :
« Ou est-ce que maman à vécu et toi, j’aimerais voir vos maisons »
Je sais très bien que ma mère à eu une vie bien différente ici de celle que j’ai connu à Londres, je regarde furtivement mon père, il ne sait pas pourquoi je tient à voir ces lieux, il ne connait rien de ma vie londonienne, la pauvreté extrême ans laquelle ma mère et moi avons vécu, la misère qui nous collé à la peau, obligé de faire le poubelle infesté de rat pour pouvoir quelque chose à manger, de la colère vers les supermarché qui jetait des denrées encore mangeable qui recouvrais d’eau de javel pour qu’on ne puisse pas les prendre, ce cette faim qui te vrille le ventre. Mais je ne lui révèle pas cela, il en veut tellement à maman, j en veux qui li en veuille encore plus de la vie que j’ai eu.
La route qui sépare de là où il vit aujourd’hui à celle où ma mère avant n’est pas très longue, j’ai du mal à imaginer ma mère dans ce décors de famille heureuse à mille lieux de ce qu’on à connu à Londres :
« Mes grand parents sont il encore vie ? Vivent-ils toujours aussi ? Et pourquoi n’ont-ils pas voulu de maman et moi ? Comment sont-ils ? Avec toi gentils ou méchant ? »
Je sais qu’il y qu’une petit chance pour qu’il est les réponses à mes questions, mais je me devais de les posé, n’étant pas au courant pour ma chance, il ne peut pas répondre, ce qui est bien dommage tout aurais put être différent.
Tout en accord, on se décidait à quitter l’appartement William avait appeler sa femme ce matin pour prendre des nouvelles de sa petite princesse, mais aussi de sa femme, il avait tendance à ce souci des personnes qu’il aime. Comme il vivait à distance cela était important d’être là même s’il ne vivrait pas avec sa femme. Un jour, prochainement, le couple retrouverait sa complicité tout allait entrer dans l’ordre des choses. Il venait d’apprendre que son fils avait une petite copine cela le fessait sourire. C'était bien, il s’était bien intégré sur bien des points. Puis Cole voulait savoir pourquoi Charlotte et moi cela n’avançait pas. C'était plus compliqué qu’il ne paraissait. William avait très envie de se remettre avec sa femme, mais la jeune femme n’était pas prête comme William ne voulait pas forcer les choses, il patientait tout simplement en la soutenant, car Charlotte n’allait vraiment pas bien. Les enfants n’étaient pas au courant. Au point qu’elle avait besoin de consulter un praticien du domaine qui pourrait l’aider, nous avions un rendez-vous.
« J’attends qu’elle soit prête Cole, ce n’est pas si évidant sache que j’aime Charlotte, nous finirons par surmonter ce barrage qui nous empêche de vivre pleinement notre amour, ne t’en fais pas. Tu es jeune et perspicace cela ne vient pas que de la vérité te concernant Charlotte est comment dire perdu dans ses ressentiments si tu veux le seul moyen de l’aider est de lui laisser du temps, je ne veux pas la bousculer, cela pourrait l’étouffer, on ne finirait pas s’éloigner. Être un adule cela engrange quelque complexité. Nous avons vécu de moment formidable même extra, mais d’autres instants sont si durs à traverser. On s’aime toujours, de mon point de vue, c’est notre force, laissons le temps au temps. J’ai fortement hâte que notre couple reprend comme avant que l’on forme une famille au même domicile. Je le souhaite de tout mon cœur. Je me dois de respecter Charlotte, elle a besoin de se retrouver elle-même avant. Je fais tout de mon côté pour éviter de perdre des moments précieux, oui, je suis bien placé pour me rendre compte que la vie est précieuse qu’il faut la vivre pleinement. Charlotte, c’est que je l’aime plus que tout, elle est consciente que je suis à ses côtés dans les bons moments et encore plus quand elle ne va pas bien. »
William répondait avec franchise à son fils, il était content de ces échanges, c était aussi un moyen d’apprendre à se connaître. Les révélations du passé avaient engrangé quelques soucis entre lui et sa femme, mais William était quelqu’un de bien, un père attentionné, et un homme qui aimait sa femme à un tel point qu’il pardonnait le choix que Charlotte avait fait il y a bien longtemps.
« Charlotte et moi, nous nous sommes expliquées après une reflétions, j’ai pardonné à Charlotte parce qu’elle l'a fait par amour. Concernant ta mère, j’aurais aimé la revoir mais malheureusement ce n’est pas possible, jamais je n’aurais une explication qui sorte de sa bouche. Les choses sont celles qu’elles sont, on ne peut changer le passé, mais on peut vivre le présent avec attention avec ceux que l’on affectionne. Nous irons nous recueillir auprès de ta mère aux prochaines vacances scolaire si tu veux bien ? »
Ensuite, Cole demandait s’il pouvait lui montrer ou habitait sa mère, ainsi de voir ou elle habitait ce qui pouvait se comprendre. William n’avait aucune objection. Il était tout à fait normal qu’il veuille en connaître davantage sur la vie de sa mère avant Londres.
« Nous pouvons aller y faire un tour. »
Ils avaient maintenant quitté l’appartement et la résidence en partant vers le parking se dirigent vers la voiture qu’il déverrouillait puis une fois derrière le volant et les portières claqués, William démarrait en prenant la direction vers le quartier ou vivait sa mère. Les parents de ta mère ne sont plus de ce monde. Ce qui était vrai, le père de Léa est mort d’un accident de voiture et sa mère est décédée d’un cancer.
« Ton grand-père du côté de ta mère est décédé d’un accident de voiture il y a dix ans, quant à ta grand-mère elle est morte d’un cancer… Je suis désolé de t’apprendre ces tristes nouvelles. »
Il conduisait dans le silence après avoir révélé à son fils, qu’il ne pourrait pas faire la connaissance de ses grands-parents du côté de sa mère. Au bout d’un moment, William immobilisait son véhicule puis il regardait son fils. Il était vraiment désolé de lui apprendre tel mauvaise nouvelle. Il lui restait ses grands-parents de son côté. William avait un lien avec Liam son frère, mais aussi avec sa mère qui avait tout fait pour lui par contre avec son père l’entente n'était pas au beau fixe.
« Nous sommes arrivées, ils habitaient ici. »
William sortis de la voiture en regardant la réaction de son fils. Les souvenirs remontaient à la surface. Il se revoyait avec Léa rentrant de leur entraînement. La mère de Léa était adorable par contre le père était désagréable. On devait faire avec. Léa était souriante, elle adorait que l'on soit ensemble. On se retrouvait aussi avec notre groupe d'amis dès que l'on le pouvait. Il fixait la maison avec plein de sensation qui défilait aux souvenirs qui lui revenaient en plaine face.
« Je ne sais pas pourquoi ils ont rejeté ta mère, et pourquoi ils n’ont pas fait en sorte de te voir ni de vous aider. Tes grands m’ont apprécié durant un temps, puis quand ta mère est partie, ils m'ont tourné le dos… Je n’étais pas le beau-fils idéal étant donné que j’étais un sportif pour eux, cela n’était pas un métier.»
J'assimilé les paroles de mon père. Donc côté maternelle, je n'ai plus de grands-parents. Il n'y avait plus personne. Je détournais le regard de cette maison qui gardera à jamais le secret sur la jeunesse de ma mère. Ma grand-mère et ma mère sont mortes de la même maladie. Quelle ironie. Une fois de retour dans la voiture, je pose une question à mon paternel :
" Combien de temps ? Tu as dit que mon grand-père est mort il y a dix ans. Mais grand mère, ça fait combien de temps"
J'ai envie de savoir, non, j'ai besoin de savoir. Certes ce n'est pas vital. Mais pour moi c'est très important. Avait-elle vécu après mon grand père, où elle était morte avant:
" Un gendre sportif ça ne le fait pas ? Alors qu'aurait il pensé d'un petit fils Chearleader ? Après tout c'est un sport de filles. Pour beaucoup on est forcément gay, pourtant je peut assurer du contraire"
Je pense à June, elle ne peut que confirmer mes dires. Mais je ne veux pas me lancer dans ce genre de conversation avec lui. Il reste mon père est ça peut être gênant de parler de certains sujets. Alors qu’on roule vers notre prochaine destination, à savoir où avait eu lieu leur premier rendez-vous, je lui demande des informations le concernant lui et donc moi :
« Tu me parle de ma mère ou de mes grand parents maternel, mais de ton côté, ils sont encore vivant, si oui ils sont sur Ottawa ? Tu as des frères ou sœurs ? »
En demande cela, je me rends compte que je sais vraiment peu de chose sur mon père. J’ai envie d’en savoir plus sur lui. Si j’ai de la famille j’aimerais bien la connaître, je pense que cela est normal, je le regarde avec attention attendant d’en savoir un peu plus sur ma famille. J’ai envie de les rencontrer, ils font tout autant parti de mon passé…
Tout en conduisant William répondait aux interrogations. Sans quitter la route des yeux. Il n’avait pas de bon souvenir avec les parents de Léa. Ils étaient jeunes amoureux, d’un âge ou ils avaient plus envie de s’amuser que de penser au futur. À chaque fois qu’William devait faire face aux parents de Léa, il fallait s’armer de patient pour qu’ils puissent se retrouver.
« Oui ton grand-père est mort d’un accident de voiture cela fait dix ans, ta grand-mère est décèdes, il y a six ans d’un cancer du pancréas. Ton grand-père s’appelait Hector, il n’avait pas vraiment accepté que l’on se fréquente pour lui, on ne pouvait pas vivre d’un sport, sa fille mettait mieux. »
« Ton grand-père s’il était encore de ce monde, il aurait tout fait pour te faire changer ton choix, il avait de préjuger sur bien des points et ta grand-mère Maryse, elle aurait suivi le point de vue de son mari, il était dur avec elle, et ta mère. »
Le père de Léa, n’aurait pas accepté que son fils soit Chearleader, il aurait tout de suite dit que c'était un sport de fille et certainement qu’il aurait catalogué son petit-fils de gay, il aurait un comportement que je n’aurais pas accepté. William s’aurait opposé à lui en défendant son fils. Ils étaient très catholiques.
« Tu as un oncle qui se nomme Liam, nous avons toujours été en rivalité. Mon frère était l’enfant adoré de ton grand-père, parce que ton oncle était très sérieux, studieux, et qu’il n’était pas sportif. Il vit aux États-Unis, il est devenu avocat. Nous avons gardé le contact. Notre entente, c’est amélioré avec l’âge. Mes parents ont déménagé, ils vivent à Montréal. Ton grand-père se nomme Jack, il est architecte et ta grand-mère s’appelle Amélia est médecin généraliste. Ils seront contents de faire ta connaissance. »
Il immobilisait la voiture afin d’en sortir, il se retrouvait face à la maison ou sa mère avait vécu. On pouvait voir une famille y vivre. William et son père ne s’entendaient pas vraiment bien t’en que William était sportif, il l’avait toujours rabaissé, il n’avait pas non plus accepté Léa, quand il la fréquentait.
Puis bien plus tard quand William avait eu un changement de carrière, il a commencé à voir son fils autrement, William parle à son père, mais il ne peut oublier les mots qui lui avaient envoyé à plusieurs reprises durant son adolescence, a toujours à valoriser son frère comme si William n’arriverait à rien dans la vie. William n'a pas eu un lien important avec son père, il en na souffert. Il s’était juré qu’un jour, il serait père à son tour, qu’il ne ferrait pas les erreurs de son père. Il ne priverait pas son enfant d’amour , attention, il serait là en étant présent aussi chaque moment a son importance.
William répondait à toutes mes interrogations. Il me raconte tout. Il ne me cache rien. Evidemment j’écoute avidement toutes ses réponses en apprenant à connaître ses membres de famille que je ne rencontrerais jamais. Apparemment entre mes grands maternels, ma mère et mon père la bonne entente n’est pas de mise. Ce qui me fait réfléchir si au final, de ne jamais pas les connaitre n’est pas une bonne chose. Je ne voyais pas en quoi le fait d’être sportif soit un problème. Je n’ai jamais pensé à ce que je ferais dans l’avenir, si je serais même encore Cheerleader l’année prochaine, mais le sport, n’est pas incompatible avec le fait d’être une personne bien. Mais je ne dit rien assimilant ses paroles.
Puis il me parle de sa famille, je ne trouve pas que c’est franchement mieux. Mes grands parents paternel son toujours de ce monde et vivent pas si loin que ça, et j’ai même un oncle. Selon ce que je comprends, ils seraient contents de faire ma connaissance. On s’arrête devant une maison. Mais je n’y prête que peu d’attention en fait :
« J’aimerais savoir où à eu lieu votre premier rendez vous. »
Je tourne les talons et remonte en voiture. En regardant le décore défiler qui nous conduit vers ce lieu que je veux voir. Sans le regarder, me yeux rivé sur le décor extérieur que je vois sans vraiment m’y intéresser, lui posant une question qui m’intrigue :
« Ton père préféré Liam, parce qu’il n’était pas sportif ? Que va-t-il penser de moi ? »
Je repose mon regard sur lui. C’est la première fois que je vois avec précision mon père de profil. En le voyant à contre jour, ne voyant en fait que le contour de son visage, je comprends mieux les paroles de mère, comme quoi je lui faisais penser à mon William. J’avoue que là, la ressemblance est plus nette. Je vois qu’on arrive en vue d’un endroit, le lieu de leur premier véritable rendez-vous.
Étant père aujourd’hui de Cole, il se devait de lui donner toute attention surtout de répondre à toutes les questions du passé. C’est ainsi que cette journée se déroulait Cole avait besoin de connaître la vie que nous avions eu sa mère et moi à l’époque. William n’allait pas contre il pensait qu’il était important de répondre à son fils, c’est aussi une marque de confiance quand un père s’ouvre à son fils. Cole pourrait peu être voir plus claire sur les difficultés qu’avait du ressentir sa mère et son père à cette époque l’amour et s’aimer, c’est simple, mais les à-côtés était dur pour ce jeune couple. La vérité qu’elle soit bon ou pas devait être divulguer ainsi la vie pourrait reprendre sa place sent toujours revenir sur le passé, Cole allait peut-être se concentrer sur son présent et son avenir une fois qu’il avait su comment sa mère et lui avait vécu leur amour, qui s’était brisé d’un abandon bien cruel, du jour au lendemain William se retrouvait sent Léa, aucun explication comment voulez vous vivre un amour brisé autrement que dans l’incertitude, sans un mot ni une explication Léa était partie sans laisser la moindre chance qu’ils s’expliquent jamais.. Léa n’était plus là donc jamais il n’aurait la vérité. Ce qui compte plus que tout a ses yeux son fils Cole, Léa n’est plus de se monde, mais elle peut être sur d’une chose William aime son fils même s’il ne sait pas vraiment comment lui montrer, il fera tout pour que Cole ne manque de rien, William veut que son fils aille la confiance en lui, il veut ce lien père et fils.
William voyait bien que son fils devait ressentir une déception, il s’attendait peut-être à que ses grands-parents soient présent ou du moins faire leur rencontre la vie en avait décidés autrement. Il voulait voir mes parents et son oncle cela se ferait sans souci. Voilà que son fils lui pose la question sur leur premier rencard.
- Nous nous sommes rejoins au abord du petit lac, c’est un coin assez calme entourer de verdure d’arbre, on avait finit notre entraînement sportif, on c’est éclipser du groupe d’ami, on avait le chic pour filer sans que cela se remarqueDit-il avec un sourire en coin…- On s'est baigné dans l’amusement, il fessait très chaud ta mère était magnifique, on riait de bon cœur, puis de l’amusement nous nous sommes embrasser de là notre relation a vraiment commencer. On est resté tard sur place, on avait préparé un truc à manger sans oublier de quoi boire. La nature est un lieu qui est promis à se laisser aller.
Il n'oubliait pas que son fils avait une petite amie, il se demandait si de nos jours, les choses étaient comme auparavant.
- Tu veux que l’on aille sur place ? Tu te rendras compte que c’est vraiment un lieu fort naturel. Ton oncle était un étudiant très studieux, je pense qu’il devait certainement apprécier le sport sauf que cela n’était pas l’une de ses priorités. Liam ne te jugera pas, il est devenu plus sympathique avec le temps. Il serait content de te voir. Il n’a pas eu d’enfant.
Tout en discutant derrière le volant William conduisait son fils vers le lieu où ils avaient partagé de très beaux moments en amoureux avec sa mère au bout d’un moment, il immobilisait son véhicule. Puis il se tournait son visage vers son fils.
- Nous sommes presque arrivées… Nous allons devoir finir à pied.
Tout en marchant William regardait son fils de temps à autre à bien voir le lieu n'était pas si éloigner de chez sa mère. Ce qui lui permettait de ne part arriver trop en retard.
En l'écoutant parler de son passé, je me rends compte que le fait d'être sportif, pour lui, ne fut pas facile. Mais je ne comprends pas pourquoi cela. Je ne pensais pas que le fait d'être sportif pouvait nuire aux liens familiaux, surtout entre frères. Le fait de rencontrer mon oncle Liam ne me rassure pas. Mais mon père me dit qu'il n'y aucune inquiétude à avoir. Il a changé. Après m'avoir dit tout ça, il veut me montrer un lac, si j'ai bien compris, c'est le lieu de leur premier baiser. Mais est ce la que je fus conçu. Malheureusement on va devoir marcher, impossible de rejoindre la rive en voiture. Je vois bien que de temps en temps il me regarde. Je me demande à quoi il pense.
Alors qu'on approche du lac, on entend du bruit caractéristique, ce qui me fait stopper net. Nous sommes cachés par quelques arbres et arbustes. Devant nous un couple de jeunes gens, de mon âge, se font du bien à deux. En y regardant un peu plus précisément, je constate que je l'ai connais. En effet ils sont dans ma classe, tout doucement je dis avec étonnement :
" Quoi ? Max et Luka sont ensembles ? Au lycée c'est… la guerre entre eux "
Je ne comprends plus rien à leur petit jeu. Qui plus ai, Max sort avec Kelly et de ce que je sais ils sont très actif. Je regarde mon père, va t'il intervenir ? Attendre qu'ils partent ? Ou repartir et revenir une prochaine fois ? Je lui transmets cette dernière information. Je me demande comment je vais faire pour les regarder dans les yeux, sachant ce que je vois en ce moment même. Mon père doit croire que mon trouble vient du fait que je vois deux garçons le faire ensemble :
" Ton coin n'est plus si secret que ça, et à mon avis ils ne sont pas les premiers ou la première fois qu'ils viennent ici, pour… Enfin tu vois"
Je le regarde avec un regard espiègle et plein de malice:
" Toi aussi tu profité des lieux pour… Je fus créé ici ?"
William était pensif faut dire qu’il y avait de quoi, il revenait sur les moments de bonheur de son passé jusqu’à Léa l’abandonne, il avait été heureux, puis tout s’était brisé. William espère que son fils, n’aura jamais à subir une telle séparation.
On se retrouvait dans notre coin préféré, c’était là notre point de rencontre pour nos rencards intimes. Mais pas qu'ils leur arrivaient de se baigner de s’amuser tranquillement rêvant de leur avenir ensemble, se promettre de s’aimer toute la vie. Ils étaient jeunes, parfois, ils restaient enlacer allongés a lorgner le ciel. À cette époque, notre lieu était aussi fréquenté sur une des rives, mais pas sur notre coin de cette manière, ils étaient vraiment paisiblement, oui, ils s’étaient envoyé en l’air sur place pas qu’une fois.
Tout en marchant, ils arrivent presque sur le lieu que William voulait montrer à son fils par sa demande, il voulait savoir du coup William acceptait de répondre à ses envies concernant sa mère et lui. Que Cole se fige, William ouvre les yeux afin de comprendre. Voilà qu’ils se retrouvaient à espionner deux jeunes gens de l’âge de son fils en train de s’envoyer en l’air, les bruits étaient explicite. Bien que de nos jours, les gens s’épanouissaient à l’ abri des regards, nous étions derrière des buissons, c'était vraiment gênant.
- Tu sembles les connaître ? Max et Luka ne sont pas ensemble ?
C'était William qui ne comprenait vraiment rien.
- Ils ne sont pas ensemble d’habitude ? On va peut-être éviter de les déranger ?
William reculait, il y avait de quoi troublé son fils.
-Effectivement, depuis mon époque, il y a dû avoir du passage. Ce n'était pratiquement pas fréquenter ce côté de la rive.
Il espérait sérieusement qu’ils décident de partir au pire William n’avait qu'à parler plus fort ce qui les ferait rebrousser leur moment.
- Attend un peu, vu ton âge et ta date de naissance, tu as été normalement conçu au mois de juin, il fessait beau, C était sûrement à la fête du début d’été. On fêtait la fin des cours, du coup on était avec tous, puis on avait prévu de filer, ta mère devait partir cet été pour les vacances chez une de ses tantes, on allait devoir attendre la fin août pour se revoir... Tu n’as pas été conçu ici.
En montant le volume de sa voix, il y eu l’effet escompte, les deux garçons firent une pause, gardant la position tournant la tête vers nous, mais étant caché parla végétation, ils ne pouvaient nos voir. Mais au lieu de stopper leurs ébats, ils reprirent de plus bel, apparemment ne pas du tout déranger par d’éventuels voyeurs. Je me demande comment je vais pouvoir leur parler en les regardant dans les yeux sachant ce que font tout les deux quand ils on du temps libre. Je commence déjà à détourner le regard en rebroussant le chemin, faisant comprendre à mon père que je préfère quitter les lieux. Une fois de retour dans la voiture assis j’e donne des éclaircissements à mon père :
« Max à une copine, avec qui si on en croit ce qu’il dit dans les vestiaires, ils couchent ensemble, régulièrement, limite homophobe. Il ne s’aime pas Luka et Max, ils sont toujours entrain de se faire la guerre, mais là j’y comprends plus rien. Ils couchent ensemble »
Les canadiens sont compliqué dans leur relations. Il suffit de voir comment June ma aborder. Bon j’avoue que ça ne m’a pas dérangé. Mais c’est bizarre. Me ressaisissant, je me tourne vers mon père les joue un peu rosée, même si ca reste des mecs, les deux sont quand même bien fait. Mais une autre question me vient à l’esprit :
« Je suis content d’apprendre que j’ai était conçu ailleurs, enfin je crois. Dans ce cas ça c’est fait où ? Chez toi ou chez maman ? »
Ca fait quand même bizarre, de parler de ma conception avec mon père. Parler relation sexuelle avec ses parents c’est un peu gênant, alors je prends un ton détaché. J’espère que William va respecter ma demande de ne pas parler de ma vie sexuel, il sait que je suis actif de ce coté là et c’est déjà beaucoup :
« Tu compte me présenter ta famille bientôt, tu va leur dire avant enfin, comment va se passer la chose, je devrais leur apporter un cadeau, mais je suis fauché donc… »
J’avoue que j’ai vraiment envie de faire leur connaissance rapidement, mais en même je stress, je sais pas comment cela va se passer et comment il considérer maman :
« Les parents de maman ne t’aimer pas, mais ta famille, vis à vis de votre relation, d’elle ou de son départ, c’était comment ? Tu es sur qu’ils vont m’accepter, vraiment sur ? »
Nous avons fait un demi-tour. Il était hors de question de rester sur place cela était vraiment très gênant déjà que ce matin, il avait surpris son fils dans un moment intime. Ils arrivaient près de la voiture. Il la déverrouillait puis chacun reprit sa place, William derrière le volant quand son fils lui répondait. Elle était bonne cela Max était censé sortir avec une jeune femme, mais là, il était en pleins ébats avec un autre camarade de son fils.
- On dirait qu’il a une double vie, il se fait passer pour un hétérosexuel alors qu’il est bisexuel, cela lui permet de cacher sa véritable orientation sexuelle de cette manière ça n'éveille pas les soupçons.
Bien vite, on changeait de sujet Cole était curieux, il voulait vraiment savoir où il avait été conçu. William avait dû faire appel à ses souvenirs, cela remontait très loin. William se tournait vers son fils tout en restant assis.
- ce jour-là, mes parents et mon frère sont partis, ton grand-père avait obtenu un week-end à la montagne. Ce qui nous a été bénéfique, on avait la maison que pour nous, mon père voulait que je vienne avec eux, mais personnellement, il est hors de question de louper la fête.
William m’entrait pas dans le détail de ce beau week-end d’été ou Léa et lui avaient bien profité de l’absence de sa famille, sans adulte, il était plus facile de vivre pleinement ses envies. Léa prenait la pilule normalement et lui se protégeait avec l’utilisation du préservatif normalement elle n’aurait pas du tomber enceinte du moins cela n’était pas prévu en plus William ne l’avait jamais su, il lui avait fallu 16 ans pour découvrir l’existence de son fils.
- Bien sûr que je compte te présenter à la famille, je vais tout simplement leur dire la vérité. Si tu veux leur apporter quelque chose, on ira ensemble au magasin puis tu vas recevoir de l’argent de poche chaque semaine. Si tu veux travailler un peu durant les vacances scolaires, je peux te trouver un poste à l’hôtel.
Cole n’allait manquer de rien, bien entendu, il aurait de quoi vivre, mais William tenait que son fils puis travailler un peu, c’est enrichissant puis ça permettrait à Cole de gérer son budget. Ce qui lui ferait avoir une petite indépendance, mais cela allait dépendre de lui.
- Effectivement, les parents de ta mère ne m’appréciaient pas, notre relation ne convenait à personne, on s’en fichait complètement. Je pense qu’elle a dû se retrouver face à ses parents, qui refusaient notre relation vu notre âge, en plus elle est tombé enceinte Léa a fait le choix de partir. Mes parents ont évolué avec le temps, ils vont accepter leur petit-fils, j’en suis persuadé mon père garde un caractère dure, ton oncle saura te mettre à l’aise. Je serais là avec toi. Où allons-nous maintenant ? Vu l’heure, tu veux aller manger un morceau ?
Il répond à toutes mes interrogations. Mais j’avoue que ça fait beaucoup d’infos à digérer. Mais il ne fait que combler mes lacunes familial, en même pour le moment il est bien le seul à pouvoir de me parler de ma vie d’avant. Je me sens obliger de lui répondre si i pose des questions sur mes seize première année de ma vie. Pour le moment peu savent exactement ce que fut ma vie londonienne, peut être ma vie passait ne l’intéresse pas se concentrant uniquement sur ma vie présente.
Il me propose de trouver un emploi à l’hôtel si je veux pour me faire un peu d’argent pendant les vacances scolaire, je ne suis pas contre il m’arrive d’aider Charlotte à la pâtisserie en faisant des livraisons, ou servant les clients quand la queue se forme. Je le regarde, ses yeux ne quitte pas une seconde la route, la circulation se fait plus dense à l’approche du centre ville :
« Quel genre de travaille, je n’ai aucune connaissance du fonctionnement d’un hôtel ? »
J’espère qu’il n’y voit pas un rejet de sa proposition, ais juste une simple question. Pour acheter quelque chose pour sa famille je ne suis pas contre, mais c’est qui der choisir quoi ramener, e les connaissant pas, je ne veux pas faire d’impair, imaginons, j’achète des chocolats et ils sont allergique au lactose ou qu’ils aiment as, non il va falloir qui m’aide, il me parle de sa mère et de son frère, mais très peu de son père :
« Et ton père tu va me le présenter aussi, tu es vraiment sûr qu’il ne va pas se moquer de moi parce que suis Chearleader, certains le font déjà au lycée »
Je lui fais un petit sourire franc. Et regardant les premiers bâtiments du centre ville. Je chasse les moqueries de mon esprits, me concentrant sur se dernier préposition, je ne me suis rien mit sus la dent depuis le petit déjeuner et e commence à avoir faim :
« Oh oui, j’ai les crocs, euh une faim de loup, tu m’emmène où, encore un lieu inconnu venant tout droit de ton passé ? »
William avait répondu avec franchise sur tous les points, son fils allait faire la rencontre de la famille, il faudrait juste attendre un peu le temps que William explique toute l’histoire. Ce qui n’allait pas être évident connaissant son père et comme ils ne s’entendraient pas, même si il y avait eu des efforts, William n’oublie pas les paroles douloureuses que son père avait prononcées à son encontre. William pouvait comprendre la curiosité de son fils, c’est pour cela qu’il lui répondait toujours, mais il ne savait pas vraiment comment si prendre pour lui demander quel avait été sa vie, ce n’est pas évident peut-être que William avait aussi des craintes son fils avait certainement vécu difficilement avec sa mère qui l’aimait, William l’avait déduit des échanges qu’il y avait eu depuis son arrivée. Tout en conduisant et en gardant les yeux river sur sa conduite William répondait à son fils concernant l’éventualité de prendre un poste dans le complexe hôtelier.
- Il y a plusieurs postes à proposer, nous prenons des étudiants régulièrement, tu peux poster dans l’administration, ou as l’accueil bien entendu, tu ne seras pas seul, il te faut, répondre donc au téléphone, prendre les réservations, transmettre les cartes magnétiques des chambres et des suites, c’est moins dur que gérer les bagages, après nous avons la partie du restaurant et des boutiques, ou les livraisons des clients, ou apporter les petits-déjeuners, déjeuner ou dîner. Il y a aussi la partie rangement nettoyage qui est moins amusante. Tu peux varier aussi afin de voir vraiment quel poste te conviendrait mieux, c’est à toi de voir. Ton grand-père se devra de ne pas se moquer ou il aura a fait à moi. Les gens ont des préjugés, pas nous. On va déjeuner ou tu voudras si l’on regarde bien où nous sommes cela ne manque pas de restaurant, à l’époque nous n’avons pas beaucoup de moyen, du coup tous les étudiants se retrouvait au resto le plus abordable, on y mangeait bien.
C’est ainsi que Cole et son père s’était arrêter pour déjeuner, la voiture s’était immobiliser, ils venaient de quitter l’habitacle, en marchant vers le restaurant qui semblait avoir survécu, au temps, il avait été rafraichi, l’on pouvait y voir des jeunes, et des moins jeunes. Cole et son père pénétraient à l’intérieur, avant de se diriger vers une table libre, une serveuse ne tardait pas à venir prendre leur commande.
-Que veux-tu prendre fiston ?
Cole fit son choix puis ce fut le tour de William. Qui avait opté pour une salade composée, un burger et des frites avec une bière. Une fois que la serveuse s’était éloigné, William lorgnait son fils, il lui demanderait après le repas comment avait été sa vie à Londres avec sa mère, mais pas pour l’instant rien ne devait perturber ce déjeuner entre fils et père.
A écouter mon père parler, j’ai vraiment l’impression qu’il a envie que travaille dans son hôtel. C’est sympa de vouloir m’aider de cette sorte, mais de mon côté je dois réfléchir, j’ai les cours, mes entraînements de Cheerleader, et j’ai aussi] une copine et j’ai envie de passer du temps avec elle, sans être crevée. Mais pour l’heure j’ai le ventre vide, ce n’est pas top pour réfléchir.
Mon père m’emmena dans un lieu sorti tout droit de son passé. Il clair que au vu de l’architecture que le bâtiment avait déjà de nombreuses années derrière lui, même si il avait était repas et les aménagements remis au goût du jour. Le lieu m’importé peu du moment qu’on pouvait y manger. Sa commande me surpris, je ne pensais William se genre d’homme à manger des hamburgers, je le voyais comme un homme mangeait que des plat un peu plus raffiné. Malgré que ce qu’i avait commandé et les odeurs s’échappant de la cuisine faisait gargouillé on ventre, je me résous à prendre une salade, je suis Chearleader je dois faire attention à ma silhouette et mon poids.
En attendant notre commande, je regarde tout autour de moi ce lieu que mon père à dû bien connaître, donc c’est ici que ors soirée romantique avait eu lieu :
« Tu emmenais emmené maman mangé ici ? J’ai une autre conception de lieu romantique pour un repas. Par contre ce qui m’étonne, c’est que quand tu étais jeune, c’est à dire l’antiquité, ce genre d’endroit existé déjà »
Je pose sur l’homme face à moi un regard amusé, espiègle et taquin, je savais ce que j’avais dit, je ne voulais pas le vexé mais rire un peu, c’est mon père, forcément pour moi il est vieux, même si je sais que c’est faux, mais ça m’amuse. Je n’avais pas raté le fait que mon père me regardait sans rien dire, il avait une autre pensé à tête, alors je le regarde plus fixement et je lui dis :
« Quoi, il y a un problème ? Me dit que tu as al pris ma remarque sur l’antiquité ? »
Il lorgnait son fils qui voulait en découvrir le plus sur la période ou Léa et lui s'aiment, ils étaient si jeunes si amoureux. C'était le bon vieux temps. William en garde de très bon souvenir du moins, jusqu'à l'abandon ce qui fut une période plus que difficile à accepter.
Il était là avec son fils qui est un jeune homme. Il était partagé entre les souvenirs et tout ce qu'il avait loupé avec lui. William n'était pas un homme compliqué. Il était là à discuter avec Cole. Ce week-end entre père et fils était un moyen de rattraper un peu le temps perdu. Même s'il était impossible de vraiment récupérer tout ce temps, William était très content de partager tous ses moments avec son fils.
« Tu sais à l'époque l'on ne cherchait pas forcément la romance ce qui comptait à nos yeux, c'était de vivre chaque instant avec intensité. Ta mère n'était pas une jeune femme compliquée. On s'est aimé vraiment. Ce lieu a été maintenu par une personne qui ne voulait pas voir le passé disparaître complétement. »
Le fait d'entendre son fils, le taquiné qu'il était une antiquité le renvoyait à un délire avec Léa. Un amusement au musée, ou ils avaient bien rigolé. Chaque moment avec Léa durant le temps où ils sortaient ensemble, c'était top. Bien vite, il revient à la réalité son fils s'interrogeait sur la tête qu'il devrait faire.
« Non, il n'y a aucun problème... Tu sais pour un vieux ... Je me trouve encore bien... Dit-il avec un clin d'œil. Quelle est ta conception de la romance ? Je suis bien curieux de découvrir cette partie de toi fiston. »
Son fils était amusé taquin ce qui le fessait sourire, le mot antiquité ... Mon Dieu ! Je vous jure les jeunes. William se sentait encore bien pour son âge certes, sa vie était compliquée, mais physiquement, il gardait un charme qui fonctionnait encore bien. La serveuse revenait avec l'entrée qu'ils allaient commencer a manger tout en poursuivant leur échange.
Sa mère n'était pas une femme compliquée, ce n'est pas une grande découverte. Aussi, loin, que remontent mes souvenirs, maman avait une formidable capacité d'adaptation ? Entendre William parler de ma mère comment elle, il me donne presque l'impression qu'il ne me parle pas de la femme qui m'a élevé. Deux facettes si différentes, je pense que la pauvreté et la rue a dû avoir sur ma mère des effets.
" La romance… Je ne sais pas trop."
Je hausse les épaules, je n'ai jamais réfléchi à tout cela. On va dire, que j'avais eu d'autres préoccupations dans ma vie, la romance n'était pas ce qui nous ferait manger :
" Tu sais la romance, tout le monde n'y a pas accès."
Tout en mangeant mon entrée, je regardais dehors, mais ce que je voyais se trouvait bien au de là du décor de la vie, ni même à cet instant précis. Comment peut-il ne serait-ce qu'imaginer ce que fut ma vie à Londres ?
Je ne serai pas celui qui en parlera le premier, je répondrai à ces questions, mais ça doit venir de lui. Déjà qu'il en veut à maman pour ces seize années, quand il saura tout de mon ancienne vie, sa colère risque de monter d'un cran :
" Tu en veux à une morte qui ne peut pas se défendre, pour ne t'avoir rien dit pour moi, tu penses un jour réussir à lui pardonner et à comprendre ses raisons."
Raisons que je lui ai déjà dites. C'était par amour que son ancienne petite amie était parti, pour qu'il ne gâche pas son potentiel et qu'il puisse se réaliser, chose impossible avec une famille à charge. S'il savait seulement qu'elle a sacrifié son bonheur pour lui et pour Charlotte :
" Et justement, pour toi et Charlotte vous pensez vous remettre ensemble rapidement, non parce que là, franchement vous gâcher de précieux moments"
Je vois comment ils se regardent. Ses claires qu'ils aiment toujours, alors ils jouent à quoi ? Franchement, je n'y connais pas grand-chose à la romance, mais je ne suis pas aveugle.
Cole n'était peut-être pas romance qui sait. Il ne semblait pas vraiment en connaître davantage.
« Tu sais la romance, tout le monde n'y a pas accès." Dit-Cole... Disons que la romance n'est pas une priorité quand on s'aime. Parfois il y en n'a un peu. »
William voulait apprendre à mieux connaître son fils, il était nécessaire qu'il puisse connaître son passé, toutes ces années sans qu'il sache qu'il avait un fils. Seize années de vie ce n'est pas rien... Il se doutait bien que la vie n'avait pas dû être simple pour Léa sur Londres.
« Je pense avoir le droit de lui en vouloir Cole, j'aurais aimé comprendre tout simplement, je n'aurais jamais la vérité, je ne suis pas un monstre, je saurais faire la part des choses, je souffre aussi de ce choix. J'ai bien compris qu'elle l'avait fait par amour et pour ma carrière professionnel. Il me faut du temps, j'ai besoin d'aller me recueillir auprès de ta mère, on ne peut pas effacer la douleur d'un claquement de doigts. Je sais qu'elle te manque, que tu l'aimes ce qui est normal. Je suis désolé si tu me vois de cette manière. »
William ne montrait ni à son fils, ni a sa femme la tristesse de la douleur qu'il pouvait ressentir, lui seul pouvait faire ses choix, il devrait faire son deuil. Il devrait faire face au passé pour aller de l'avant, c'était très facile de le dire et moins de le faire. Il avait l'impression que son fils lui en voulait de ne pas réagir comme il le souhaitait. Les ressentiments ne se commende pas, sa se vie, comme il déboîte. Il devrait faire face au passé pour aller de l'avant, c'était très facile de le dire et moins de le faire.
« J'ai besoin de temps Cole, je suis le seul à pouvoir faire cette démarche, je vis ce ressentiment à ma manière et toi a la tienne, non souffre différaient, le temps estompa ce que j'éprouve. Je te demande de respecter mon ressentir, ainsi qui le bouleverse. J'ai bien compris que ta mère, c'est sacrifié pour mon bonheur, je l'ai bien assimilé... Je lui pardonnerais Cole.... Oui, Charlotte et moi, nous allons nous remettre ensemble, mais tout doit venir de Charlotte, elle ne va pas bien en ce moment, je ne peux pas la bousculer... Effectivement, nous perdons de moment précieux moments. Ne t'en fais pas pour nous fiston.»
Charlotte traversait une période difficile elle s'en voulait de cette décision prise par le passé, puis William l'aimait toujours, il ne pouvait pas dire à son fils, que sa femme était perdu dans ses sentiments, le couple de William avait traverser de dure moment auparavant le problème venait du travail, aujourd'hui ils devraient faire face au passé. Il aimait sa femme de tout son cœur, il savait aussi attendre le bon moment, de plus, il fessait tout pour que leur couple se remette, il avait hâte de revenir vivre avec eux. Il avait fini de manger, William ancrait son regard dans celui de son fils.
« Il est temps que tu me parles de ta vie, de tout petit à la séparation avec ta mère. »
" Il est temps que tu me parles de ta vie, de tout petit à la séparation avec ta mère. »
Pourquoi a-t- il dit cette phrase ? On parlait de son ressenti vis à vis à ce que ma mère a fait, il voulait se recueillir sur sa tombe, prendre son mal en patience en attendant que Charlotte aille mieux, je lui dis alors :
" Maman n'a pas de tombe. Je ne savais que Charlotte était malade ?"
Du haut de mes seize ans, c'est ce que je comprends. Charlotte a un grave problème de santé. Je ressens une boule se former dans mon estomac car je ne veux pas la perdre. Alors que j'allais lui demander si elle allait mourir, il sorti la phrase que je redoute.
Je ne me sens pas bien d'un coup, j'ai la gorge sèche, il me prend de court. La sueur qui perle sur le front me tombe dans les yeux. Je tremble faiblement et je me sens comme un lapin pris dans les phares d'une voiture :
" Je… J'ai… Tu… je ne veux pas en parler !"
Je sors en courant du restaurant. Pour stopper quelques mètres plus loin. Hurlant aux chutes d'eau :
" Tu avais promis de toujours être là…"
Je m'écroule au sol en pleurant et en répétant inlassablement, ces mêmes mots" Tu avais promis". Ma mère me manque terriblement bien plus, que je n'ose l'avouer, tout dire à mon père c'est risqué qu'il me voie différemment et je ne le veux pas. Londrès ne fut pas une partie de plaisir, mais je ne fus pas malheureux. Je senti mon père à côtés de moi, je pleure dans ses bras un moment, on va s'asseoir sur un banc une fois mes larmes sèche :
« Je ne te vois pas comme un monstre. Loin de là. Fais moi une promesse quand je t'aurais tout dit, ton regard sur moi ne changera pas et que je pourrais rester ici avec Charlotte et toi à Ottawa ? Promet et je dis tout"
Je ne regarde pas mon père, mon esprit fait remonter à la surface, les souvenirs de Londres et ses bons et ses mauvais jours
William ne s'attendait pas à ce que son fils venait de lui révéler, sa mère était enterrée sans avoir une tombe. Bon sang ! Comment c'était possible, elle avait de la famille, comment tout cela était possible, elle était morte toute seule avec Cole à son côté, personne n'avait su qu'elle était malade, Léa n'avait pas renoué avec ses parents ? Il ne supportait pas la vérité qui lui arrivait en pleine face, Léa avait eu une vie très difficile, jamais, elle n'avait demandé d'aide, ni de soutiens, c'était inconcevable. Il allait faire le nécessaire pour que Léa puisse avoir une pierre tombale, il allait ensuite aller se recueillir, c'était très important.
« Je vais lui en mettre une, nous irons la voir si tu veux bien ? Un week-end sur Londres père et fils ? Qu'en penses-tu ? Charlotte n'est pas vraiment malade, c'est plus qu'elle se sent perdue dans ses sentiments, elle a besoin de prendre son temps. Ne t'inquiète pas, je suis avec elle, je la soutiens de toutes mes forces.»
D'un coup, son fils semble être mal, William vient de se mettre à côté de lui et l'enlace pour le rassurer. Cole ne va pas bien. D'un coup, il quitte la table en partant en courant du restaurant, instinctivement William part derrière son fils. Il court derrière son fils, il se fige en lorgnant son fils qui hurle à sa mère qu'elle lui avait promis qu'elle serait toujours là pour lui. Cole s'effondre au sol en pleurant, ce qui brise le cœur de William de voir dans l'état qu'est son fils… C'est bouleversant, William vient de se laisser aller au sol en enlaçant son fils qui est en souffrance. William rassure son fils par l'enlacement. Comment avait-il pu passer à côté chagrin douloureux de son fils ? Il s'en voulait terriblement.
« Je suis là fiston… Je suis désolé.»
William se relève avec Cole pour s'asseoir sur un banc. En continuant de le soutenir dans cette épreuve douloureuse. Il voyait bien que Cole avait beaucoup de mal avec le passé, mais il valait mieux poursuivre, une fois qu'il s'ouvrirait à son père, il pourrait aller mieux. William était conscient qu'il n'allait pas apprécier ce que son fils allait lui révéler. Encore plus en l'entendant de ne pas se séparer de lui, chose qui n'arriverait jamais. William aimait son fils, il était impensable de l'abandonner. Un point le rassurait, son fils ne le voyait pas comme un monstre.
« Je te promets… Je ne changerai pas, tu es mon fils Cole, quoique ta vie ait pu être, je ne te jugerai pas. Je sais que c'est dur pour toi de te confier à moi, jamais, je ne t'abandonnerais. Tu resteras avec Charlotte et moi, ta petite sœur t'adore.»
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