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Max Davenport
Max Davenport
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# Ven 27 Oct - 16:09
UNE FETE MEMORABLE

 Il y a quelques années, tu disais adieu au monde des études. Tu n'avais pourtant pas le diplôme, tant convoité, voulu et désiré en poche. Tu ne serais jamais habillé de la toge noire, ni à mettre ce chapeau si singulier, ni même monter sur l'estrade et signer la main au directeur et au doyen, arborant fièrement un bout de papier si spécial, une sorte de sésame. Tu avais pourtant eu ce diplôme en faisant une de validation des acquis. En même temps, quand tu es PDG d'une multinationale, étant la dixième fortune mondiale, et l'un des empires financiers les plus prospères Canadiens, te refuser ce papier serait absolument incohérent. 

 
En parlant de diplôme, le tien est accroché au mur de ton bureau encadré et en bonne place, juste à côté de celui de ta défunte tante Claire, qui t'a légué les rennes de " Tech industry". Vu le dernier bilan comptable, ce fut un choix judicieux. Donc, pour toi, tout ce qui a un lien, de loin ou de près avec le monde universitaire ne te concerne en rien. Enfin ça, c'est sans compter sur Tyler. 
 
Jeune homme du même âge que toi. Ayant une joie de vie à toute épreuve, aimant tellement faire la fête, que malgré ses études finies, il continue à fréquenter les jeunes étudiants afin d'être invités à des soirées, le pire c'est que sa marche. Et le comble, c'est que bien que tu dises non, il a réussi à t'y faire y aller, sous prétexte que vous allez rester ensemble, tu rêves, à peine la porte de la maison passée, qu'il t'abandonne au profit d'un groupe bien éméché. 
 
Maintenant, que tu es là, tu ne vas pas repartir de suite. Tu te fais aborder par une fille, dont l'haleine dégage une forte odeur d'alcool à des kilomètres à la ronde. Une autre tout à fait lucide se colle à toi dans une danse lente et très suggestive, alors tu t'éclipses et sors dans le jardin, prendre un peu d'air frais et lèves tes yeux vers la voûte céleste qui se pare de ses joyaux brillants, pour ton plaisir, mais tu n'es pas seul :
 
" Passionné d'astronomie, ou la question est de savoir si nous sommes vraiment seules ?"              
" Un peu des deux, je dirais"     
" Rick Alberman. La fête, c'est à l'intérieur. Tu es chez moi et mes colocs."        
" Oui, je sais, j'avais besoin d'air frais, je me présente Max Dave."
 
 Oui, tu tais, ta véritable identité, ne serait-ce qu'une heure, tu veux vivre comme n'importe qui, et oublié ce qu'implique d'être qui tu es, alors tu en profites :
 
" On va lancer un jeu avec un de mes colocs, mais il nous faut des joueurs, le jeu de la bouteille, tu connais ?
 
Tu éclates de rire, évidemment que tu connais, ça fait un millénaire que tu n'y as plus joué et pourtant, tu suis ton nouvel ami à l'intérieur. Prêt à jouer à ce jeu ou aux règles sont très simples :
 
Un groupe de personnes s'assit en cercle, autour d'une table, ou par terre, comme ici. Un joueur s'empare d'une bouteille, et la fait tourner au centre. Quand la bouteille s'immobilise, cette dernière désigne une personne, qui va pendant sept minutes, être dans un placard, avec celui qui a fait tourner la bouteille. Durant ces minutes, ils font ce qu'ils veulent, discuter, se regarder dans le blanc des yeux, jouer aux cartes… Mais bien souvent, ils s'embrassent. Ce jeu est connu aussi sous le nom de sept minutes au paradis. Les relations sexuelles sont possibles mais rares.
 
Tu prends place dans le cercle formé au sol et dévisages chaque participant, jusqu'à bloquer sur un fort séduisant jeune homme, tu souris, car tu le reconnais :
 
" Tiens, mais c'est Chase Marshall, et oui je sais qui tu es "                                    
" Vous vous connaissez tous les deux ?"
Demande Rick
" En quelques sortes, toujours sans détourner le regard, mais pas intimement"  
 
Tu ne le quittes pas des yeux. Une étincelle traverse ton regard qui se veut intense, brûlant d'une ardente lueur qui se traduit par une simple phrase : * on ne joue plus, voici le bon, le moment et le bon endroit *
 

Tu t'empares de la bouteille et la fait tournoyer. 

Chase Marschall
Chase Marschall
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# Sam 2 Déc - 15:23
UNE FÊTE MÉMORABLE


« T'es jeune, profites, tant qu'il en est encore temps ! Croque la vie à pleines dents ! » Ça, c'est le jargon typique que toute petites gens vont te lancer, lorsque tu es en âge, justement, de faire les quatre cents coups, qui te permettent de te lâcher ! Comme si tu avais carte blanche, comme qui dirait ! Oui… C'est pas faux, quand on y songe… Si tu ne le fais maintenant, quand est-ce que tu pourrais réellement le faire, autrement ? Attention, pour ta part, tu ne parles pas de te lâcher dans les conneries, les sports extrêmes, dangereux… Ou a songé à t'amuser, dans le sens totalement défoncé, déchiré, et autres excès de violences et profondes débilités ! Bien au contraire ! Toi, t'es le genre de gars qui sait prendre la vie du bon côté, savourer les choses simplistes… Savoir être un autre Chase Marschall, que celui du quotidien… C'est-à-dire : sympa, fiable, honnête, mais un brin timide… Non, comme en cette folle soirée, parait d'effluves d'alcool, de cotillons… De convives, qui venaient à tire-larigot… Une folle soirée, qui revêtait diverses promesses dorées, de rires cristallins, tu n'allais rester ce petit garçonnet, tout innocent, si sage ! Certes, tu resterais digne, responsable… Et sans goûter, toucher à une once de ce fort breuvage, mais ce soir, c'était aussi la tienne ! Quoi qu'il en coûte, tu allais en profiter ! Tu t'en faisais la promesse ! Au diable les sermons, les remontrances, les quelques médisances ! Ce dicton, t'allait bien l'appliquer, le mettre en pratique, oui ! Pour le plus grand bonheur, la plus grande stupéfaction certaine de tes amis, tes camarades d'université ! Oui, comme on le dit dans le « Roi Lion : Hakuna Matata ! » Ça pourrait, bel et bien, être ta devise… Vous voyez ?



****


Bon, ok… Ce n'était tout à fait ce que tu espérais, attendais de cette soirée, qui, pourtant, se dérouler à merveille, presque en grande pompe ! Tout semblait pratiquement parfait ! Seulement, tu ne t'étais attendu à ce qu'on te refile cette jeune fille, qui était fort bien éméchée, s'était, pratiquement, endormie contre toi… C'était lover dans tes bras, en te demandant pourquoi tu ne l'aimais pas… Bon, pas faute d'essayer d'une certaine manière, mais en réalité, tu ne la connaissais, ne la fréquenter guère plus que cela ! Qui plus est, bien que tu aies tenté quelques aventures, quelques histoires, jadis, avec la gante féminine… Bien qu'elles aient des courbes généreuses, de belles poitrines… De jolis petits minois, finement rehausser de cosmétiques élégants, raffinés, fallait l'admettre, qu'en fin de compte, ce n'était réellement ton dada ! Non, toi, tu préférais les musculatures élancées, musclées et athlétiques des hommes ! De pouvoir goûter à leurs fines lèvres, sans avoir un goût sucré de fraises, de paillettes ou de pastèques, de préférence… Ça serait top ! De pouvoir les découvrir, t'attarder sur eux… Sur leurs regards envoûtants, pénétrants… De pouvoir t'enivrer, te noyer dans l'intensité de leurs orbes chatoyants… De pouvoir être respecté, aimé pour ce que tu es réellement… Sans avoir à te juger, jouer les apparences… Jouer cette mascarade, ces faux-semblants, quelque part, cela te frustrait quelque peu, te retenait prisonnier de ces barres d'acier… D'un côté, tu ne te sens prêt à le crier sur tous les toits, que les hommes te plaisent, certes, mais d'un autre, tu n'aimais l'idée d'être mis à l'écart, en retrait… Qu'on te mette, comme tout le monde, dans cette petite case de "Monsieur, Madame tout le monde, qui a la classe d'être hétéro", tu le consentais… Un jour, il faudra bien que tu admettes la vérité… Que tu aies le courage de te révéler, faire ton coming-out… Non ? Quitte à y laisser quelques plumes… Que quelques personnes, ici même, te tournent le dos - ébahit de la violence de sentiments inavoués… D'une certaine manière, il n'y a que comme ça, que tu te rendras compte de celles et ceux qui seront là pour toi, seront tes véritables amis… Non ?


Tu irais jeter, de temps à autre, un petit coup d'œil à cette pauvre malheureuse, dont tu avais réussi à allonger, autant que faire se peut, sur un des lits, bien douillets ; dans une des chambres d'amis, mais pour l'heure, tu devais peut-être songer à te lâcher, t'amuser, toi aussi… Ainsi, à peine avais-tu quitté la pièce, refermer la porte blindée - que tu t'étais rendu dans la spacieuse cuisine, pour te resservir un jus de raisin, échanger quelques mots, avec un de tes amis, que David se ramenait vers vous ; profitant de ce fait, pour passer ses bras imposants, autour de vos silhouettes, pour vous entraîner au salon, afin de jouer à la bouteille ! Et inutile, avec lui, de refuser, de se marquer d'un léger mouvement de recul, qu'il prendrait la personne, tel un sac de pommes de terre… Ou, un homme de Cro-Magnon, si vous voulez, pour y participer ! Quoique, pour ta part, tu n'y voyais d'objection, n'y voyait le mal… C'était un jeu simple, sympa, qui te permettait de mieux connaître la personne, avec qui tu te retrouverais dans le placard, par la suite… Voir si cela matcherait ou non… Vous permettrez de garder le contact… Ou pas ! Un jeu sans conséquences, mais qui, tout à la fois, pouvait déceler, permettre de découvrir, quelques agréables imprévus et magnifiques personnes, tu le concevais… Ce serait presque le jeu idéal, pour être qui tu désirais… Un peu comme cette fameuse soirée étoilée, vécu il y a quelques jours, quelques semaines de cela, à l'observatoire… Là où tu avais pu avoir la chance dorée, l'occasion enchantée, de rencontrer ce séduisant, charmant et mystérieux Max Davenport, il est vrai… Un jeune homme, qui était tout à fait ton type, qui te faisait étrangement vibrer, baver… Un homme, pour lequel tu espérais tant revoir… Et plus si affinités !

Et alors que vous vous assistiez, enfin, à même la moquette moelleuse, douillette à souhaits, voilà que, par le caprice complice du destin, vous vous retrouviez face-à-face, lui et toi… Ton cher et tendre Max… Et bien que tu te misses à sourire, tel un idiot balafré, tu te questionnais de sa douce et divine présence… Si ce n'est que tes billes caramélisées s'écarquillaient d'une agréable, une étrange stupeur… Se changeant, presque, en soucoupes, tu l'admettais… Toutefois, une lueur nouvelle, de désir incontesté, de lubricité s'y reflétait, tout comme tu crus l'apercevoir dans les siennes, sur l'instant… Étais-tu seulement en train de rêvasser ?

« Tiens, mais c'est Chase Marschall ! Hé oui, je sais qui tu es… » Soulignait le séduisant, sensuel, envoûtant petit brun, d'une douce voix suave, cristalline. Envoûtante… Te toisant davantage - s'attardant sur chaque trait délicat, de ton être ; comme pour voir le fin fond de ton âme, qui palpitait plus que nécessité, tambourinait follement dans ta cage thoracique, au point d'imploser… Décidément, cet homme était, non seulement, magnifique, charismatique, terriblement sexy, mais en plus de cela, il t'impressionnait que plus encore ! Tu devais bien le revendiquer, aussi, tu demeurais bien difficilement en tailleur, sur l'instant présent, tellement tu te sentais à l'étroit dans ton sombre pantalon… Ah merde, fallait que tu calmes tes lancinantes, affriolantes ardeurs… À la vue de tous, ça n'allait le faire… Et pourtant, Dieu seul sait, comme tu avais l'envie irrépressible de te jeter sur ce dernier, de lui voler, directement, un baiser langoureux, passionné ! De l'agripper de tes bras, le coller contre toi, pour le sentir, effleurer sa sensuelle musculature, oui ! Pourvu que la bouteille fasse bel et bien, son travail, tombe sur vous…

Tu semblais fin prêt à lui demander, subtilement, comment diable, il avait réussi à connaître ton identité - fronçant, même, légèrement les sourcils, bien que ton mignon petit rictus ne te quittait, au demeurant ; que tu souriais toujours, comme un idiot balafré… Car tu devais le revendiquer, vous ne vous étiez guère croisé avant cela, avant ce doux moment féerique… Bien plus tôt, dans cette folle soirée qui s'annonçait forte enrichissante, dorée… Et tu doutais fortement, qu'il t'avait personnellement suivi jusqu'au domicile, où toi et tes charmants colocataires y résidiez depuis un moment, désormais… Du moins, cela paraîtrait assez étrange, flippant, tu devais le consentir… Et tu peinais l'idée de songer, également, qu'il avait mené sa petite enquête, se serait risqué à questionner à quiconque, si on te connaissait… Si, justement, tu avais élu domicile ici… Si ?

« Vous vous connaissez, tous les deux ? » Si risquait de demander ton précieux ami et colocataire, à votre intention… Vous toisant, même, à tour de rôle… Se sentant pour le moins interloquer, à mesure que tu te touchais naturellement, le lobe d'oreille, cependant que tu te sentais agréablement troublé, décontenancé de le retrouver là… Te mordant, pratiquement, la lèvre inférieure, pour te contenir… « En quelque sorte, mais pas intimement… » Achevait le charismatique, divin, éloquent, parfait apollon, sans vous détourner du regard… Alors que tout ce qui vous entourait, te semblait superflu, indigne de tout intérêt, il est vrai…

« Aahh, qui sait… Peut-être qu'il y aura de la chance, ce soir, pour qu'il en soit autrement… ? » Consentais-tu, finalement, à souffler, d'un ton mélodieux, charmeur. Un brin mystérieux ; haussant subtilement un sourcil, par défi… Alors que de douces, légères fossettes, peignaient le recoin de tes joues, surplombait de ce mignon petit rictus… Une réplique, un semblant de situation féerique, qui semblait bien quelconque, destinée à tous et à chacun, présent dans le spacieux salon chaleureux, animé, mais qui, pourtant, tu faisais bien savoir qu'il ne concernait que ce cher et tendre Max… Et tu te le ferais bien sentir, lui prouverait bien, qu'il te plaisait… Sans une once d'hésitation certaine, d'embarras… Avec ou sans ce jeu, par ailleurs ! De cela, tu y mettrais ta main à couper… De cette promesse dorée, l'appliquerait, bien volontiers !

Et alors que tu le vis, en tout bien tout honneur, tourner l'objet cristallin, aux fines allures miroitantes, qui scintillait en mille-et-un éclats, dans la clarté de la pièce, voilà, que par le hasard des choses, le caprice complice du destin… Comme pour répondre à ton souhait, la bouteille te désignait, pour ainsi, vous retrouvez, tous deux, dans le placard… Pour mettre en pratique, sans ménagement, ce que les règles consistaient : de, bel et bien, vous embrassez… Et bien que tu demeurasses agréablement stupéfait, troubler plus que de raison, ton mignon petit rictus s'intensifiait ; allant jusqu'à tes oreilles, comme qui dirait… Que la chaleur montait jusque dans tes tempes, que de doux frissons parcouraient ton échine... « Hummm, oui ! Je crois que le hasard fait bien les choses ! » Achevais-tu, finalement… Toujours de ce timbre, tout aussi suave, énigmatique... Néanmoins, que tu imitais, ton partenaire, qui s'était levé délicatement - encourager par vos camarades, vivement… Tandis que tu laissais s'échapper un léger éclat de rire, ravi, excité… Comblé, à l'idée que ce soit, bel et bien, tomber sur toi, sur vous… Que de cette florissante, douce opportunité, tu allais le saisir, la choyer ! Rendre le moment, tout aussi inoubliable, affriolant, romantique. Tu le consentais…


Arrivait, finalement, à sa hauteur… La démarche emboîtée, c'est ainsi que vous vous retrouviez dans le placard, qui demeurait, un tant soit peu, bien sombre… Projetant, pratiquement, des ombres fantomatiques, sur le placo du mur ; dont la vive lumière du couloir, s'y projetait… Néanmoins, que, nonchalamment, tu te prenais un des manteaux imposants, de l'un de tes colocs, ébouriffant légèrement ta chevelure, que tu tentais de replacer, subtilement… Te marquant d'un léger éclat de rire, pour le moins, embarrassé - remettant, délicatement, le chaud duvet, bien en place, dans la volée… Bon, ce n'était glamour sur l'instant, tu le consentais, mais mieux valait que ce soit toi qui l'aies percuté, plutôt que ton séduisant, charmant invité de marque ! « Alors, Monsieur Max, comment as-tu réussi à découvrir mon identité ? » Te risquais-tu à le questionner, subtilement, adressant un mignon petit rictus, ne voulant guère détourner ton doux regard du sien, bien que tu te surprisses, à la fois, à chercher l'interrupteur, afin d'être plus à l'aise… Que tu désirais tant vous créer un petit passage, parmi les effets personnels… De vous créer, un petit brin d'intimité, avant toute chose… Car oui, tu devais te l'avouer, ce serait quand même mieux, plus romantique, de mieux le toiser, te noyer dans l'intensité de ses orbes bleutés… De remarquer, ranger bien soigneusement, dans le fin fond de ta mémoire agréablement embrumée de désir, chaque réaction délicate, envoûtante, de ce dernier ! « Et… Si je puis me permettre… Comment es-tu arrivé ici ? » Renchérissais-tu, intrigué. Véritablement, mais agréablement surpris, de par sa douce, éloquente et magnifique présence… Ne t'étant point attendu, à le voir débarquer ; et encore moins chez toi, en cette soirée, parait de cotillons, de sucre, d'alcool… Du moins, tu ne t'imaginais que c'était ce genre d'événement banal, ce genre de fête d'étudiants simplistes, bien ordinaires, qui devait fortement l'intéresser, qu'il devait apprécier… Si ? Sans lui paraître que trop brusque, grossier, à son propre égard... Bien au contraire, ce n'était dans tes intentions d'agir comme cela… De le froisser, le refroidir, qui plus est… Que dirait ton aimante et pauvre grand-mère, si elle te voyait te comporter de la sorte ?

Ainsi, tu déplaçais, à nouveau, un manteau, pour vous faire une petite place toute coquette… Afin de mieux se poser, être que plus à l'aise - à mesure que tu le contemplais, t'attarder sur chaque fin trait délicat, de son doux visage pénétrant… Que tu louchais entre ses billes océaniques, ses fines lèvres, que tu avais follement envie de capturer… Souriant, de nouveau, comme un bel idiot… Cependant, que tu te permis de poser, doucement, une main, contre le placo du mur immaculé… Que tu sentais la chaleur te montait, follement t'irradier… Que tu te sentais presque rougir, telle une pivoine, sur l'instant. Que ton palpitant tambourinait sensiblement, il est vrai… « Et maintenant ? » Répliquais-tu, soufflais-tu, presque d'un doux murmure… Comme pour attendre sagement, son signal, son feu vert… Savoir, subtilement, si, de son côté, il se sentait à l'aise, fin prêt ? Toi, en tout cas, sans contritions, ni sans peur incandescente, tu l'étais bien volontiers…
@Max Davenport & @Chase Marschall

_________________
Quand tu aimes quelqu'un, tu le prends en entier, avec toutes ses attaches, toutes ses obligations. Tu prends son histoire, son passé et son présent. Tu prends tout, ou rien du tout.
Max Davenport
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# Ven 8 Déc - 9:22
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 La bouteille tourne, ralenti et lentement désigne la personne avec qui tu vas passer 7 minutes dans le placard, il s'agit de Chase. N'ayant pas décroché un mot depuis, avoir annoncé que tu connaissais ce garçon, mais pas intimement, tu continues ce petit jeu muet. Il n'empêche que tu souris en le suivant dans le placard. Il est bavard ton compagnon. Tu l'écoutes patiemment sans répondre, mais finalement, tu brises le silence :

 
“ Il nous reste six minutes trente et je n’ai pas envie de parler. “
 
Tu t'approches de lui, et l'embrasses passionnément. Il faut dire que depuis votre rencontre à l'observatoire, tu l'avais constamment à l'esprit, espérant le revoir et apprendre à le connaître plus physiquement, si possible. Et apparemment, c’est le cas. Mais alors que tu prends plaisir à ce baiser, ce dernier y met un terme en posant sa main sur ton torse. Tu le regardes surpris, tu ne comprends pas son manège, qu'est que cela veut dire à environ six minutes de la fin. Il plonge son regard, dans le tient. Il sourit et t'embrasse.
 
 
À ton tour, tu l'embrasses à nouveau et cette fois, ses lèvres ne t'échapper plus. Comme prévu, la porte s'ouvre, sans ménagement, il se dérobe à tes lèvres et donne l'impression de fuir, suivi par David, toi les jambes en coton, tu cherches la salle de bain, pour te passer un peu d'eau sur le visage. Justement cette eau fraîche, te fis un grand bien. Tu rejoins la grande et passe d’un groupe de discussion à un autre, mais ton regard se pose toujours sur le jeune homme, mais tu ne sais pas si ce qui s’est passé dans le placard le gêne ou au contraire lui as plu. Mais tu vois que lui aussi pose un regard qui en dit long sur toi.  Ni tenant plus après environs un quart d’heure tu vas lui parler :
 
« On pourrait se voir… en privé, dans ta chambre se serais parfait, j’ai envie d’apprendre à mieux te connaître »
 

Il sourit et me signifie de le suivre à l’étage et t’emmène dans une pièce, une chambre, derrière toi tu tournes le verrou. 

Chase Marschall
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# Jeu 18 Jan - 12:59


Certes, tu ne l'avais envisagé comme cela, cette belle soirée animée, florissante… Parait de fols cotillons, d'alcool… De breuvages pétillants, où toi, tes camarades et colocataires, vous vous lâchiez considérablement, inexorablement… Qui plus est, bien que tu susses en profiter, tout autant ; gentiment t'amuser… Demeurer à l'aise, parmi la dense mélasse, tu n'avais envisagé l'idée même de faire de telles folies, des embardées… Notamment, que cela se montre aussi fluide, passionné avec ce charmant, séduisant jeune homme, répondant au doux nom de Max Davenport ! Étais-tu, seulement, aveugle d'agir ainsi… D'être aussi fou à lier que cela ? De n'avoir froid aux yeux - de vous être laissés aller dans cette douce torpeur, cette bulle aux couleurs chatoyantes ? Toi qui, habituellement, te voulais un brin timide, que trop sage, oui… Pourtant, depuis cette soirée féerique, qui s'était déroulée à l'observatoire, tu ne savais songer à autre chose que lui : ce bel apollon, à la carrure magnifiquement sculptée, musclée… Gracieuse, élégante ; dont, de tes mains, tu avais follement envie de découvrir, effleurer… De ses orbes bleutés, dans lesquelles, irrémédiablement, tu t'y noyais… De goûter à ses lèvres, tu y avais rêvassé, depuis… Oui, tu étais fou… Oui, tu avais diablement envie de le connaître, bien plus intimement que ce que tu laissais l'entendre, l'imaginer… C'était une sensation étrange, totalement paradoxale, en effet… Toi qui n'avais pour habitude de t'y laisser aller ; d'aller plus loin que de douces caresses et tendres baisers… À tout du moins, avec la gante masculine… Pourtant, bien qu'une certaine peur incandescente t'irradiât au fond de ton être, te transcendait avec le charmant, romantique, délicat petit brun, tu ne savais raisonner… Avec lui, tout paraissait fluide, délicat… Romantique, féerique… Tu étais bien à ses côtés… Te sentait des plus heureux, vivants. Comme s'il te complétait… Oui, il te plaisait. Tu le consentais… Et le temps passé dans ce placard, ne t'était paru que trop court, éphémère... Un instant magique, coincé, pour autant, dans la stratosphère - un moment que tu ne voulais guère briser… Un moment où vos lèvres s'étaient scellées, à jamais… Où ton esprit embrumé, conserverait le goût délicat, sucré… De son doux contact qui te rassurait, t'arracher quelques frissons, qui parcouraient ton échine... Où tu t'étais décidé, sans ambages ni honte certaine, à lui faire plaisir, le mener à son comble… Que c'était ce que tu désirais, rechercher… Que ton âme cognait, tambourinait dans ta cage thoracique, au point d'imploser… Que tu voulais simplement aller plus loin ; sonder les tréfonds de son cœur palpitant… Découvrir ses viriles courbes… Demeurer juste vous deux et vous seuls. En toute intimité… Sans que nuls petites gens, ne vous entravent, vous coupe de cette joute lasse, qui vous entourait, vous enveloppait de son manteau de fumée…


Mais sept minutes au paradis… À demeurer dans le placard… Où le défi avait été relevé, avec passion renouvelée… Dans ce radieux, complaisant méfait accomplit, voilà que tes charmants colocataires se risquaient à ouvrir la porte blindée, promptement… Se sentant quelque peu hilares… Vous signalant, ainsi, que s'en était bel et bien terminée, de la douce rêverie… Tandis que tu avais volé un dernier baiser langoureux, passionné, à ton séduisant, parfait partenaire de jeu… Laissant s'échapper, bien malgré toi, un mignon, tendre petit rictus… Bien que tu te voulusses légèrement amusé, il est vrai… Avant même de fuir, doucement, à son doux regard envoûtant, agréablement décontenancé - mais qu'en mémoire, soigneusement, tu conservais… Te faisant la promesse dorée que tu y reviendrais, le retrouverait… Que toi non plus, tu ne saurais être rassasié… De Max, tu en redemanderais, bien volontiers !


Mais sur l'instant présent ; alors que vous aviez rejoint le spacieux salon, où chacun échanger, s'esclaffer à gorge déployée, au rythme de la musique, qui avait augmenté - que tu avais sagement engagé la conversation avec quelques amis, qui se vantaient d'exploits certains… Que tu leur tapais sur l'épaule pour les féliciter, voilà que ton regard, agréablement, se poser sur celui du jeune, radieux, prometteur, envoûtant PDG, une fois de plus - qui, lui non plus, ne te quittait guère… Lui adressant un doux, mignon, petit rictus, néanmoins qu'une faible lueur de lubricité, se reflétait dans tes billes caramélisées… Que tu sentais la chaleur te montait de toutes parts… Agréablement, t'irradier… Bon sang, ce qu'il était magnifique, sexy, charmant ! Tu devais le reconnaître, tu te sentais à l'étroit dans ce pantalon ! Et oui, il te plaisait, te chauffer… Oui, tu devais le concevoir : t'avait envie de faire des montagnes russes, de te jeter sur lui… De te délecter, sans ambages, de ses fines lèvres… De t'y méprendre… De le découvrir, à ton tour… Plus intimement… Avec d'autant plus d'affinités, comme qui dirait !

Et les minutes semblaient défilées, s'égrenaient, à travers ce sablier qui marque votre apogée, votre temps, sans que vous ne vous quittiez du regard… Bien que vous traversiez, gambadait d'un petit groupe à un autre, au demeurant… Et tandis que tu trempais tes lèvres, dans ton sombre breuvage glacé ; au goût raffiné du raisin… Que de ton gobelet en plastique, tu tenais soigneusement… Quand bien même, tu semblais agréablement charmé, troublé par ce dernier… Bien que tu te questionnasses… Chercher à savoir, si tu ne l'avais point brusqué, un peu plus tôt… Ne t'était montré, peut-être, que trop entreprenant à son égard ? Au risque solennel, que cela ne l'avait plu…

Tu ne dirais point que tu es le meilleur, un expert en la matière, pour tenter de trouver le point sensible… De tenter de tout faire, tout exécuter ; de mener à leurs combles, celles ou ceux, qui, agréablement, te plaisaient… Pour que chacune, chacun demeure heureux, épanouit, oui… À tout du moins, sans vouloir t'en vanter, quand tu étais en couple ou avais enchaîné, jadis, quelques relations d'un soir, tu n'avais jamais entendu qu'on ne s'était plaints à ton égard, de tes prouesses sexuelles, torrides à souhaits… Que ce seraient des échecs bien cuisants… Encore moins, venant des oreilles attentives de tes amis, de tes proches, tu le confessais… Que tu n'avais été à la hauteur, n'avait pas assuré… Et, au contraire, cela n'avait pas été dans tes intentions de brusquer, vexer de quelques manières que cela fut, votre cher et tendre invité de marque !

Tu t'apprêtais à lui présenter tes plus humbles excuses, qui se voulaient pourtant sincères, à son égard, oui… De tout faire pour te racheter à ses iris chatoyants, dont, indéniablement, tu t'y noyais… D'oublier ce fâcheux incident, si nécessaire, afin d'éviter, à l'avenir, quelconques malentendus, quelques embarras certains… Mais, à peine eus-tu le temps nécessaire d'y remédier, que le séduisant, exquis, sensuel apollon arrivait déjà à ta hauteur ; te coupant l'herbe sous le pied…


« On pourrait se voir… En privé ? Dans ta chambre, ce serait parfait. J'ai envie d'apprendre à mieux te connaître… » Consentait le doux, séduisant, charmant jeune homme à avouer - te questionnant, presque, d'une voix qui se voulait cristalline, suave ; presque d'un murmure, à mesure que tu lui adressais un mignon petit rictus bienveillant, tendre, rassurant. Approuvant d'un léger signe de tête. Désirant, presque, lui prendre sa main, pour lui montrer le chemin de ta chambre douillette… De respectueusement l'entraîner, t'emboîtait le pas… « Ça serait avec grand plaisir, beau gosse ! Car, rassure-toi, c'est d'autant plus réciproque… » Laissais-tu lui faire entendre, lui faire saisir l'essence même de tes propos… Te rapprochant, même, de son lobe d'oreille, pour lui susurrer ces derniers mots suaves, emplit de passion, de désir… Avant même de te marquer, à nouveau, d'un léger mouvement de recul respectueux… Bien que tu lui gratifiais d'un petit clin d'œil complice, d'un mignon petit rictus, visiblement rassurer, satisfait. Lui faisait signe de te suivre, néanmoins que tu le contemplais avec désir… Qu'un étrange, un doux éclair de lubricité se reflétait dans tes iris chatoyants… De regagner, en toute intimité, ton espace nuit, ton petit jardin secret ; à mesure que ton palpitant s'emballait… Que la tension excitante, sexuelle, s'insufflait en ton être, il est vrai… Où, bien rapidement, ton séduisant, sensuel, parfait partenaire de jeu s'arrêtait derrière le seuil de ta porte. Refermant, délicatement, à double tour…

À peine avait-il eu le temps nécessaire de s'exécuter… Te sentant agréablement pris dans un tourbillon lancinant de passion, de folie incontestée… Sans prendre que trop les devants, tu te surpris, néanmoins, à te rapprocher de ce doux, séduisant, sensuel apollon à la carrure magnifiquement sculptée, musclée. Posant irrémédiablement, tes mains en coupes, sur ses douces joues de nacres. Les capturant, subtilement, pour ne point qu'il ne t'échappe, se dérobe à ton regard ; lui volant, ainsi, un tendre baiser. Cherchant sa langue, d'emblée, dans une danse furibonde, alors que la chaleur s'engouffrait en ton être... Agréablement, t'irradier… Effleurant, parcourant avec désir, son torse…


« Tu es vraiment canon, très sexy… » Soufflais-tu, d'une voix suave, mélodieuse… Presque d'un faible murmure, tandis que ton palpitant battait, cognait à tout rompre, dans ta cage thoracique. Au point d'imploser… Alors que tu sentais la chaleur te montait de plus en plus. Voir, jusqu'aux tempes… Te risquant, toi-même, à laisser tomber ton sombre boxer ; te laissait aller, à ton tour… Pour qu'il te découvre tout autant… Laissant le fin tissu, glissé machinalement, sur la moelleuse moquette… Tandis que tu retenais ton souffle, que tu te sentais embarrassé, il est vrai… Cachant, promptement, ton sexe qui durcissait, aux maigres forces de tes mains…[/hide]
Embarrassé à l'idée que ce que tu avais à lui offrir, ne lui plaise guère, ne le décontenance… Qu'il puisse se rétracter, fuir à ta vue désenchantée… Que tu ne puisses assurer… Mais aussi, car, même si, à tes yeux, en ton âme, follement, tu le désirais, voulait le découvrir… Que tu te sentais prêt à franchir le cap, l'ultime étape écarlate, à ses tendres côtés… Vouloir te donner à ton doux, sensuel, parfait Max, tout entier, et seulement à lui… Corps, âme, virginité… Tu ne savais s'il le consentirait, s'il serait doux… S'il saisirait l'essence même de tes sombres doutes, tes craintes solennelles… Parce que, malgré tout, tu désirais, seulement, que tu lui plaises, le trouble tout autant… Que cela se fasse en douceur… De manière romantique, féerique… Que cela en vaille réellement la peine… Que ce moment, aussi éphémère qu'un simple vole de papillon, reste, néanmoins, coincé, à jamais, dans la stratosphère… Et que tu devais le consentir, de ce côté… En matière de relation, avec la gante masculine, tu n'étais des plus expérimentés… Et s'il n'en apercevait… ? Et si, par mégarde, ta maladresse ne le refroidissait, le froissé ? Le blessé, de quelques manières que cela soit ? Non, ce n'était le but ultime, recherché… Ton amour-propre en prendrait un sacré coup… D'autant plus que tu te maudirais, plus que nécessité, de laisser partir un jeune homme aussi sublime, charmant, sexy, exceptionnel… Aussi extraordinaire, parfait, que le beau brun… Tu le confessais… C'était l'occasion unique, oui… Pourtant, cela te faisait flipper, te braquer à l'idée de n'être à la hauteur de ses espérances, qu'il ne prenne son pied…

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# Jeu 25 Jan - 17:20
UNE FETE MEMORABLETu es donc cette chambre. En d'autres circonstances, tu te serais intéressé à la décoration, à l'ameublement… Bref à découvrir une chambre d'étudiant, n'ayant jamais eu besoin d'être en colocation étudiante ou en chambre universitaire. Pour toi, ceci est inconnu, mais pour l'heure ce qui occupe ton attention, c'est le jeune homme
 
Afin de le découvrir et d’assouvir de dévorer visuellement, tu tournes autour de lui. Une chose est sûre, tu ne perds pas une miette de ce qui s'offre à tes yeux, et que ces images ne sont pas prêtes à quitter ton esprit. Tel un prédateur, tu l'observes.  Le bronzage n'est pas uniforme, le jeune homme ne s'expose donc jamais nu, contrairement à toi. Ou du bout des oreilles au sommet de ton crâne, c’est partout identique.
 
Puis de nouvelles face à lui, tu plonges ton regard dans le sien captant toute son attention.  Tu fis quelque pas de recul, afin de le découvrir dans son entier. C'est clair, il est divin, la nature l'a bien fait  Soudain, tu comprends mieux son comportement :
 
“ Tu es puceau, avec un garçon ? Tu m'offres ta première fois. J'en suis ravie et honorée, je vais y aller en douceur, détends toi. 
 
Il y a des signes qui ne trompent pas, son comportement est un de ces petits trucs qui t'ont mis la puce à l'oreille. Heureusement pour lui, ou plutôt pour vous deux, dans ton portefeuille, tu as un préservatif, prêt à toute éventualité le Max. 
 

Chase Marschall
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# Mer 6 Mar - 17:21


Vos regards croisés, les mains sur les hanches, pendant que vous vous découvriez… Tu constates que la nature l'avait fort bien gâté. Voilà que Max, reprent la parole… « Tu es puceau, avec un garçon ? Tu m'offres ta première fois… J'en suis ravi et honoré ! Je vais y aller en douceur, détends-toi... » Te rassurait-il, tandis que le beau brun sortait de son portefeuille un préservatif, qu'il s'empressait de déchirer sensuellement de ses dents, tandis que tu semblais quelque peu troublé, ne pouvant lui cacher cette timidité… Cachant partiellement, de tes mains, ton sexe...

Mince… Ton comportement, tes agissements, te trahissaient si facilement. Cela n'allait en rien te raisonner, te refuser à lui… Bien au contraire… Max, tu le désirais, voulait faire en sorte que cela compte réellement… Qu'il ne s'agisse-là, d'un vulgaire coup d'un soir… Et, d'après ce qu'il te faisait savoir, pour ta première fois, aucun de vous ne l'oublierait de si tôt, ni ne le regretterait… Tu ferais tout pour qu'il prenne du plaisir, que vous en preniez, tous les deux :

« Tu me la mets où je m'en charge ? Tu as de quoi faire en sorte que cela se passe bien… ? » Te questionnait ton amant, à mesure que, sans détourner vos regards, tu t'approchais de lui ; lui adressant un mignon petit rictus.

Puis, tu le quittais, le temps d'un instant, afin de rejoindre ta commode, dont tu sortais ton tube de gel… « Est-ce que cela répond à ta question, beau gosse ? » Soufflais-tu, d'un ton suave, légèrement amusé, avant même de l'entraîner par la main, jusqu'à ton lit - l'entrainant au-dessus de toi, tandis que tu l'embrassais, mordiller son lobe d'oreille, pour l'allumer davantage… Alors que de tes mains baladeuses, tu découvrais, agréablement, sa musculature, son doux fessier que tu malaxais, effleurer tendrement… Savourant ce moment torride ; avant de passer aux choses sérieuses…

Vous preniez des précautions, faisiez en sorte que tout se passe à merveille… Et tu n'allais pas le regretter… Mais, oui, tu le confessais… La douleur se faisait bien ressentir, malgré tout… À un point tel, que tu te crispais, durant quelques longs instants… Que les larmes montaient… Ton pauvre amant devait le ressentir, également, car tu le sentais faire une pause… Peut-être, se questionnant sur le fait de continuer ou non… Néanmoins, ce n'était ce que tu désirais… Malgré la douleur lancinante, tu ne voulais pas qu'il s'arrête, ne prenne la fuite, à ta vue désenchantée… Tu l'avais dit, avec le jeune PDG, tu te sentais prêt… Tu ne voulais que ce soit personne d'autres que lui…

« Non, je ne veux pas que tu t'arrêtes… Je vais m'y habituer, ne t'en fais pas… Vas-y en douceur… » Soufflais-tu, difficilement, mais tendrement. L'incitant à continuer… Roulant sur le côté… Néanmoins, que vous tentiez de reprendre vos esprits, entre vos souffles hachés… Que tu avais du mal à garder les fenêtres de ton âme ouvertes, tellement votre sport, t'avait agréablement achevé… Forcer de le reconnaître, cela avait été divin, juste parfait, avec Max. Espérant qu'il avait prit du plaisir, et même satisfait…

« Est-ce que ça va ? Tu… Tu y as pris du plaisir ? » Demandais-tu, épuisé, bien que tu souriais, comme un bienheureux… Un moyen direct, mais à la fois subtile, de savoir si tu ne l'avais déçu… Ou pas ! Tu désirais savoir s'il était, tout de même, satisfait, de son côté… Car tu l'admets, le plaisir se vaut dans les deux sens...

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# Mer 13 Mar - 10:55
UNE FETE MEMORABLE

Tu venais de passer un excellent moment avec Chase. Pour le coup, on ne peut dire que cette soirée et classer dans le dossier mental de bonnes soirées. Bon ce n'est pas la meilleure soirée de ta vie, tu en as vu des plus déjantés et plaisante que celle-ci. Mais la nuit n'est pas encore finie, loin de là. Donc, après avoir pris la virginité de mignon jeune homme, tu avais roulé sur le côté, reprenant une respiration régulière et normale, les yeux rivés sur le plafond. Tu sentais la fatigue, inné à cette pratique pointée le bout de son nez, prêt à t'emmener au plus profond d'un sommeil réparateur. Mais tu t'y refuses, même si tu le concèdes la literie et bonne et finir ta nuit avec ce bel Apollon ne te dérange pas, impossible que tu réveilles dans une maison d'étudiant bourré et amorphe au petit matin, les journalistes en fera leurs choux gras.

 
Comme déjà ton orientation n'est pas un problème, tu l'assumes, tu as plus ou moins fait ton coming out. Tu as déjà apparu dans les journaux au bras d'homme, comme Laslo ou d'autre conquête le temps d'une soirée ou d'un gala. Bien que cela relève de ta vie privée, tu comprends qu'en étant une personnalité publique, tu es plus sensible à être à la une de la presse, qu'une personne lambda. Mais tu ne souhaites aucunement faire la couverture des tabloïds à scandale qui ferait du tort à l'image de l'entreprise, si tante Claire te l'a léguée ce n'est pas pour détruire cet héritage précieux, de plus se retrouver dans une maison d'étudiant au petit matin, alors que tu n'es même pas l'université, ça ne le fait pas et tu ne veux pas exposer Chase au paparazzi, il ne le mérite pas.
 
Tu te lèves donc, fait un nœud au seul témoin de ce doux moment torride que tu jettes dans sa corbeille et commences à te rhabiller. C'est à ce moment-là, alors que tu finis de boutonner ton jean que Chase semble sortir de sa torpeur en te posant une question. Celle-ci te fait rire, pas tant la question en elle-même, mais plus tôt qu'on te la pose :
 
« Drôle de question. On ne me l'a jamais posé ? »
 
Donner du plaisir, tu savais que tu en donnais à chaque personne avec qui tu passes un bon moment. Enfin, jusqu'à présent, personne, ne s’est plaint. Tu enfiles ton t-shirt et récupères ta veste et te penches sur lui encore lit et lui vole ses lèvres, puis avec un sourire, tu lui dis :
 
« Ça répond à ta question. »
 

Tu redescends et vas à la cuisine te frayant un passage dans la foule. Tu t'empares d'une petite bouteille d'eau au frigidaire et avaler de grandes rasades du liquide frais et transparent. N'étant pas amateur des boissons alcoolisées, l'eau te va très bien et tu rejoins un groupe de personnes pour parler avec eux sur un sujet qui te plaît, tu vois alors que Chase vient d'apparaître en bas des marches. Vos regards se croisent à nouveaux et tu esquisses un sourire, avant de reporter ton intérêt sur ton groupe de discussion. . 

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# Jeu 25 Avr - 16:36


Certes, ce n'était la meilleure des soirées… Niveaux fêtes universitaires, on s'entend… Mais, pour ta part, elle se démarquait, se valait plus importante, agréable, torride et intense que les autres… En effet, tu ne songeais, en réalité, que tu te sentirais prêt à donner ta virginité : te donnait, tout entier, à un beau jeune homme, tel que Max Davenport… Et pourtant, de ce doux, sensuel et romantique moment, tu te savais que tu en conserverais un souvenir idéal, mémorable. Un moment féerique que tu ne regretterais guère… Une chose dont tu ne savais, que cela se reproduirait de si tôt, malgré le fait que ce dernier t'avait donné ce plaisir, ce moment de joie incommensurable, d'intimité évanescent, dont tu n'avais pu t'empêcher de le questionner à cette idée : savoir si cela avait été réciproque… Après tout, le bel apollon pouvait avoir qui il désirait, et… Même si tu avais marqué quelques points, avait une légère avance, sur le fait qu'il est d'autant plus attiré par la gent masculine, tu pouvais aisément concevoir que tu n'étais le plus mignon, mis en valeur, physiquement… Ne point plaire, forcément, dans tes sentiments, tes valeurs, ta façon de vivre, d'agir ou non…

Il avait eu l'air satisfait, d'autant plus heureux, à en juger par son doux baiser langoureux, qu'il t'avait donné, après votre fol ébat... Un baiser que tu prolongeais, avec tendresse ; tout en posant sa main sur sa nuque, l'attirant davantage contre toi, pour qu'il ne t'échappe... Juste le temps de quelques minutes durant - avant même de le voir se revêtir, se faufiler, délicatement, dans l'embrasure de la porte, tandis que tu laissais s'échapper un mignon petit rictus, un soupir, aussi léger qu'une brise… Cependant, que tu te rallongeais, te laisser porter d'un doux sommeil sans rêves ; tandis que les souvenirs, votre passion incandescente, défilaient dans ton esprit embrumé…

Il te fallut un moment pour revenir à la réalité ; te rappeler que tu te devais d'assister à la fête, qui battait son plein… Du moins, étant l'un des colocataires et organisateurs, cela ne serait sérieux, bien vu, dans le fond, si tu n'y faisais honneur… Ne serait-ce qu'un minimum !



*****



Chemise, jean enfilés, voilà que tu redescendais en trombe, légèrement rougie, décoiffé : une preuve suffisante, qui prouvait que, toi aussi, discrètement, tu en avais profité, en t'éclipsant à la vue de tous… Et alors que tu croisais, une fois de plus, le doux regard envoûtant de ton amant, dont tu lui retournais un mignon petit rictus, un clin d'œil complice, amusé, mais tendre à la fois - tu te risquais à t'aventurer dans la spacieuse cuisine, pour te rafraîchir, te remettre de tes folles émotions, que tu découvrais une de tes ex petites-amies, devenues l'une de tes meilleures amies, à présent ; et dont vos secrets étaient livrés, sans ambages, ni craintes, au demeurant… Une magnifique personne, que tu chérissais, protéger, malgré tout, envers et contre tous, mais qui te toisait longuement, silencieusement, l'air bien trop sérieux, à cet instant…

« Hey, salut, Paige ! » La saluais-tu, à nouveau, courtoisement. Lui adressant un mignon petit rictus, tandis que tu en profitais pour te servir un jus de fruits vitaminés, afin de te retaper, recharger les batteries, comme qui dirait… T'apprêtant à la questionner sur la soirée ; si elle s'amusait, s'y plaisait, également...

« Tu es sortie avec moi, parce que tu trouves que je ressemble à un garçon ? » Voilà qui était sacrément direct, qui te prit au dépourvu, sur l'instant… C'était quoi, ça ? Qu'est-ce qui lui prenait ? Cela sentait un peu le piège, quand même… Non ?

Tu faillis t'étouffer, avec une gorgée fraîche, dans la volée, bien que tu te surpris à t'adosser contre le comptoir, croisant son regard… Comme pour déceler, si elle ne te faisait pas une blague… Néanmoins, cela n'avait l'air d'être le cas…

« Heu… Non. En fait, j'ai rompu avec toi, parce que tu ne ressembles pas à un garçon, justement… » Consentais-tu à lui avouer, sans ménagement. Fronçant légèrement les sourcils. Passant une main dans ta chevelure, que tu tentais de replacer, soigneusement - avant même de t'approcher d'elle. De poser, doucement, une main sur sa frêle épaule, en lui adressant un mignon petit rictus. Comme pour lui insuffler un semblant de confort, de réconfort…

« Mais, ça n'empêche que je t'adore, que je te vénérerai toujours… Et que jamais, je n'oublierais ce qu'il y a eu entre nous, tu sais ? » Soufflais-tu, d'une voix douce, cristalline - en la prenant dans tes bras. La serrant tendrement contre toi, à mesure que tu la sentais relâchait la pression, se laissant aller… Fermant ses paupières sur ses orbes ténébreuses.

« Tu es quelqu'un de bien, Paige. Et, je suis sûr que tu trouveras quelqu'un de bien mieux, qui t'aimera, te méritera, tout autant. » Achevais-tu, néanmoins, que tu la sentais passé ses bras autour de toi, tout aussi tendrement, délicatement. Une douce attention… Chaste, naturellement, qui eut l'air de la rassurer, chasser ses vils tourments…

Seulement quelques minutes s'étaient passées, ainsi, et pourtant, bien que tu appréciais ce bel échange, profitais de sa douce compagnie qui t'apaisait toujours, également, le temps avait semblé se figer, pour toi… Et bien que tu serais bien resté ainsi, le devoir de cette soirée t'incombait… Néanmoins, tu ferais tout pour lui changer les idées, faire en sorte que ton amie profite, également... On n'a qu'une vie, après tout… Non ? Au pire cas, tu ferais en sorte de te rattraper - faire en sorte de vous trouver un moment, rien que tous les deux, pour vous amuser… Sans songer aux autres, au devenir de ce monde. Mais pour l'heure, tu lui assurais, avec tendresse, que, bien que tu restais non loin d'elle, que tu veillais sur cette dernière, qu'il fallait qu'elle s'amuse. Quitte a abusé un peu, ne plus la reconnaître, comme qui dirait…

Une charmante attention, une tendre pensée, qui partait d'une bonne intention ; l'inciter à t'écouter, en laissant s'échapper un rire cristallin - à se mêler, de nouveau, dans la dense mélasse, se mélanger à un petit groupe de filles, qui dansaient, discuter le bout de gras, non loin de là… À mesure que tu en profitais, gobelet en main, pour passer le seuil du salon, retrouver ta bande de potes : ton noyau de véritables amis, où, apparemment, quelques prouesses et exploits étaient de mise, sur le tapis…

C'est alors que ton bel apollon se retrouvait, une fois encore, agréablement, dans ton champ de vision ; que tu ne pouvais te détacher de son envoûtante emprise, tandis que de brûlantes passions reprenaient le dessus sur toi, que tu avais terriblement envie de lui… De t'adonner, avec délice et tendresse, aux doux vices de l'existence salvatrice… Du moins, ton corps, ton âme le revendiquait, le désirait tant. Une fois de plus.


Le temps semblait suspendu, tout autant qu'il semblait durer des heures pour toi, avant même que tu ne puisses plus tenir - que tu tentais de te risquer à t'approcher du beau brun… De l'aborder, sans crainte… De faire en sorte qu'il ne t'échappe plus… De lui faire bien savoir, sentir que tu voulais te retrouver avec lui et seulement lui. En toute intimité…

« Hey, beau gosse… Je crois que j'ai oublié de te demander quelque chose… De bien particulier… Ça te dirait de remonter, pour m'aider à... Éclaircir mes idées ? » Façon détournée de lui souffler que tu avais diablement, terriblement envie de lui… De faire des montagnes russes ! Espérant, tout autant, que cela serait réciproque… Que, lui aussi, aurait envie de toi ? Tu n'allais guère le forcer, naturellement ; fort heureusement ! Néanmoins, tu n'allais le laisser filer, maintenant… Tu étais peut-être de nature timide, peu aventureux, et pourtant, avec lui, tu déraisonnais totalement, irrévocablement… Tu le désirais, lui. Et seulement, lui… Et, de ce que tu pouvais aisément confirmer, c'est que personne n'avait réussi à te faire un tel effet… À ce que ton âme tambourine, tout autant que ton corps vibre, bave davantage pour un autre… Ou une autre…

Ce n'était point seulement physique… Tu ne voulais te montrer comme le gentil petit Chase, tout naïf, innocent, que tu demeurais jusqu'à présent… Max, tu le voulais - tu désirais follement t'ancrer sous sa peau. À jamais… Mais, bien que tu désirais que cela soit réciproque… Tandis que tu attendais patiemment sa décision, ton regard se noyait dans l'intensité de ses billes bleutées, autant qu'un éclat de désir, de lubricité, se reflétait dans les tiennes ; cependant, que tu te mordais la lèvre inférieure, presque de nervosité… Le choix lui revenait…

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