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Max Davenport
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# Mer 27 Sep - 14:50

Sous les étoiles
 " [...] Des avancées, considérables que nous osons à peine imaginer"  

Voilà ce qu'il faut retenir du discours du professeur en astrophysique qui officie à l'observatoire. Comme tout le monde, tu applaudis ses paroles pleines d'espoir pour le futur.              

Les "industry Tech" ayant travaillé sur la nouvelle lentille de son télescope dernière génération et ayant participé comme beaucoup d'autres à son financement, tu fus invité à sa mise en fonction. Heureusement que l'astronomie te plaît, car autrement, tu aurais fui cette réception mondaine comme tu l'as eu fait tant de fois.      

Par le passé, quand tu partais pour rentrer chez toi, il y avait quelqu'un pour t'accueillir que ce soit Hayden, Hugo, ou même Shane, mais maintenant, il n'y a plus personne. Même pas le personnel qui est à ton service. La cuisinière, la femme de ménage, le jardinier paysagiste qui nettoie aussi la piscine et sans oublier le chef d'orchestre de ce petit groupe, Henri ton majordome.       

Comme pour toute réception digne de ce nom, les petits fours et champagnes sont de mise. Tu passes d'un groupe à un autre, échange quelques mots de circonstances. Imaginant ce que ce nouvel œil sur l'univers va nous faire découvrir. Tu remarques un jeune homme. Un peu plus jeune que toi sûrement qui semble s'extasier devant le nouvel objet. Un petit sourire se dessine sur ton visage. Tu approches de lui :                                                   

" Magnifique n'est-ce pas ? Je me demande ce que ce bijou, a plusieurs millions va nous faire découvrir."

Le jeune homme, se retourne brièvement avant de reposer son regard sur le sujet de la réception. Mais tes yeux se posent sur lui, tu n'as que brièvement vu son visage, mais tu sais qu'il est beau tu bois une gorgée du nectar dorée :         

" Maxime Davenport et vous êtes ?"    

Tu te présentes à lui, plus par politesse qu’autre chose, car tu sais très bien qu'à Ottawa, Max Davenport n'est pas un inconnu. Ayant fait la une de nombreux magazines étant l'héritier d'un empire commercial ou ton histoire passionne certains journalistes, il serait surprenant que ce dernier ne sache pas qui tu es. Mais toi ce qui t'intéresse, c'est de savoir qui lui, il est.
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# Dim 8 Oct - 15:52
SOUS LES ÉTOILES

Parmi la folle mélasse captivée, les orbes intrigués, louchant entre l'homme aux cheveux filasses, grisonnants ; au doux visage énigmatique, mais sérieux, et l'immense télescope dernier cri, qui offrait une nouvelle lentille, aux fières allures miroitantes, se trouvant à ses côtés, voilà que le silence était d'or, dans le spacieux observatoire… Le gratin demeurait bien présent, tout comme les petites gens au privilège certain, et dont, tu en faisais, bel et bien, parti - se tenaient aussi droits que de simples piquets, des planches de bois soufflées, patientant minutieusement que le passionnant discours de ce dernier s'achève, pour l'abreuver de questions pertinentes, prendre l'appareil fort bien couteux, sous tous ces angles, comme qui dirait !

« […] Des avancées considérables, que nous osons à peine imaginer. » Terminait de monologuer l'homme aux fines pattes d'oie, d'un ton serein, confiant, un brin charmeur. Adressant un mignon petit rictus, en levant légèrement les bras vers le dôme, aux douces paroisses de verres… Offrant une séduisante vue, sur l'immense plaine… Où le fin horizon, le crépuscule vacillait sur les murs blindés - où le ciel resplendissait, en mille et un éclats… Promettant un spectacle enchanteur d'étoiles scintillantes, que plus tard dans la soirée. Tu le confessais… Tandis que le monde qui t'entourait, toi-même, tu te risquais à applaudir de joie vivace. Approuvant ce discours, bel et bien, prononcer, néanmoins que tu souriais, tel un idiot balafré, que tes billes caramélisées étaient rivées sur l'imposant engin, que tu avais hâte de découvrir de plus près, tout autant…

Les flashs aveuglants, fusant de parts et d'autres, les fumées de questions, dont, au fond de ton être, tu en avais fait de même, un peu plus tôt, à l'intention du directeur de l'observatoire - de cause, que ton simple rôle de journaliste, que tu prenais fort à cœur, te l'avais permis, certes, et dont tu avais eu l'honneur d'avoir ta place en ces vastes lieux ; cet événement, qui avait bien fleuri, s'était embelli au fil des années trépassées, c'est sur ces douces paroles animées, qui tant, te passionnait, que celui-ci t'avait chaleureusement proposé quelques nombreux petits fours, une coupe de champagne, qui prônait soigneusement sur un plateau que tenait une jeune femme, dont tu remerciais courtoisement… Te risquant à prendre les quelques amuse-bouche raffinés, mais rejetant le fin breuvage… Réprimant pratiquement, de faire une légère moue, serrer les dents d'amertume, en souvenir de ton rustre de paternel, qui n'avait jamais tenu ce rôle, à proprement parler, mais dont, dans les méandres lointains de tes souvenirs enfantins, tu sentais encore, les forts effluves, qui t'avaient effroyablement chatouillé. Maintes fois… Tu n'étais de là à parler tourments et malheurs, à te lamenter sur le caprice complice du destin, non… Mais tu te faisais la promesse solennelle de ne jamais, Ô grand jamais, toucher, goûter à une simple goûte furibond d'alcool… Hors de question de prendre le même chemin étroit, répéter le sombre schéma de tes parents ! Au risque de passer pour un imbécile heureux, de mal faire passer ces petites choses feuilletées… Où, comme disait ta chère et tendre grand-mère, amusée : essaie d'engloutir l'étouffe-chrétien… Que cela tienne !

Tu flânais gracieusement - déambuler vers les convives, les personnes importantes, pour donner le change, questionner… Discuter le bout de gras, comme on aime si bien l'avouer… Griffonnant de ta petite patte de mouche, ton pâle carnet, pour te donner suffisamment de matière ; de quoi être totalement inspiré, de rédiger ton prochain article, à mesure que, finalement, tu t'aperçus que la place t'était dignement offerte… Que les petites gens étaient restés en retrait, afin de permettre l'accès au télescope… Et, comme un enfant, ce sont les orbes chatoyants, scintillants dans le firmament, que tu emboîtais le pas ; arriver à hauteur de l'appareil, pour mieux l'observer, fasciné… Te rappelant, que, jadis, tu restais éveillé durant des heures, rien que pour contempler les cieux, de ta chambre douillette, alors qu'en réalité, la dame âgée que tu avais tant aimé, chéris, plus que nécessité, t'avait gentiment sermonné de rejoindre, bien rapidement, les bras de Morphée, sous peine que le lendemain, tu ferais grise mine, te sentirait frais comme un gardon, pour aller à l'école… Une anecdote qui te fit, une fois de plus, sourire timidement… Presque envahi par un sentiment mélancolique, de pure nostalgie innocente, tandis que tu pivotais, tourner légèrement autour de l'appareil, qui demeurait, sur l'instant, somnolent… Attendant son tour, pour scintiller, avoir son heure de gloire, officiellement… Tu le contemplais, l'air songeur, n'entendent guère, sur le coup, que quelqu'un se joignait, troublait agréablement, tes doux songes d'une nuit féerique, un tant soit peu glacée…

« Magnifique, n'est-ce pas ? Je me demande ce que ce bijou, à plusieurs millions, va nous faire découvrir… » Consentait le jeune homme à ton égard. D'une voix cristalline, mélodieuse, sereine, néanmoins, que, sans te montrer grossier, des plus rustres, tu continuais dans ta douce lancée enchantée, l'air de rien… D'admirer, totalement charmé, le télescope… Faut dire que ce n'est tous les jours que tu as l'occasion de tomber sur ce genre de choses ! Même si tu n'étais le premier à le faire, sans nul doute plausible, celle ou celui qui te connaissait, par ailleurs, pouvait savoir que, toi, l'astrophysique, le cosmos dans son infinie beauté… L'univers, tout entier, c'est clairement ton dada ! D'aussi longtemps que tu t'en souviennes, cela a toujours été le cas !

« En effet, ce n'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de pouvoir admirer une telle merveille ! Surtout avec cette nouvelle lentille, le budget misé dedans, je pense que cela va en surprendre, en satisfaire plus d'un ! » Renchissais-tu, en souriant toujours autant… Sautillant presque comme un gamin, qui arrivait devant sa vitrine préférée de jouets ! Au risque de te rendre en ridicule, il est vrai… Tu aurais pratiquement envie d'effleurer de tes doigts fins, ce magnifique objet, comme l'avais si bien mentionné ton interlocuteur ! Même si tu concevais que cela ne passerait… Touchons avec les yeux, non avec les mains !

« Maxime Davenport, et vous êtes ? » Achevait ce dernier… Se voulant des plus séduisants, courtois, tandis que tu sentais son doux regard river sur toi… À mesure que tu sentais te crisper, te figer, telle une statue de pierre, face à son illustre identité que tu découvrais… Dont la florissante carrière, sa personnalité fascinante, n'avait de gage qu'à sa digne renommée… Tu fronçais légèrement les sourcils ; ton palpitant manquait un battement… Tu fus tellement pris au dépourvu, sur l'instant - songeant presque qu'il s'amusait à tes propres dépens, que tu te risquais à te retourner, lui faire promptement face, finalement… Rien que pour en avoir le cœur net, être, bel et bien, fixé… Et, en effet, ce fut bien lui… En chair et en os ! Ce séduisant, charmant, petit brun, dont les orbes bleutés se noyaient en ton être - sonder les tréfonds de ton âme, alors que, de temps à autre, ses fines lèvres trempées dans le breuvage cristallisé, doré… Cependant, que tu sentais tes joues devenir écarlates ; rougissant comme une pivoine, un bel idiot balafré… Qui ne le connaissait ? Lui qui était le chef à la tête d'une grande entreprise ! Tenant d'une poignée de fer, les rennes ! Faisant la une des journaux, depuis quelques bonnes années, désormais… Tu devais te l'admettre, tu l'admirais ! Car, pour quelqu'un de si jeune, il fallait le faire pour tout gérer, être le digne héritier de ce beau bébé ! Même si beaucoup de petites gens enviés fortement sa fortune, qui était l'une des plus importantes d'Ottawa, de tout le luxuriant conté… Ou le critiquer pour son manque d'expérience, toi, au contraire, sans te vulgariser à te revendiquer, comme une vile groupie insignifiante, totalement bancale, banale, tu devais bien le reconnaître qu'il avait non seulement du courage, bien du cran pour endosser un tel rôle, mais qu'il avait un charme fou ! Une carrure magnifiquement élancée, gracieuse, légèrement musclée… Un doux regard envoûtant, pénétrant… Des billes océaniques, chatoyantes, dans lesquelles, irrémédiablement, tu t'y noyais… Un mignon petit rictus, tirant les coins de ses fines lèvres, dont de légères fossettes peignaient le dessous de ses douces pommettes naturelles… Ah oui, tu le reconnais, cet homme te faisait totalement rêvasser, vibrer !

« Je suis enchanté, Monsieur Davenport ! J'ai beaucoup entendu parler de vous ! » Lui retournais-tu, d'un timbre vivace, enjoué. Sincère, mélodieux, bien que tu te sentisses bien stupide, futile comme petit bonhomme à ses côtés… Tout autant que de ces paroles, fort bien simplistes, il devait tellement l'entendre souffler des lèvres du bas peuple, autant que de la haute société ! Et pourtant… Que pouvais-tu diantre rétorquer de plus ? Toi qui demeurais bien insignifiant, un petit homme, comme tout autre… Ou un pâle journaliste en herbe, qu'on te présentait simplement… Juste histoire de coller une étiquette à ton doux visage… De donner un semblant de change : que tu avais une toute petite place en ce vaste monde, qui vous entourait… De l'oxygène, que chacun, malgré tout, partageait…

« Mon identité n'a réellement d'importance, vous savez… Je serais qui vous voudrait… » Laissais-tu entendre, d'une voix douce, cristalline, séduisante, mais tout aussi mystérieuse, il est vrai… Laissant s'échapper un mignon petit rictus ; te noyant dans l'intensité de son regard envoûtant… Te rapprochant légèrement de ce dernier, tout en gardant une distance courtoise… À te voir comme cela, on pourrait songer que tu le draguais, voulait flirter avec lui, oui… Toi, qui pourtant, demeurait bien réservé, timide sur les bords… Quoique… Pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable, comme qui dirait ? T'avais beau bosser, à tes heures perdues, pour le journal du bahut, pourtant, en cette folle soirée animée… Parmi ce firmament, cette toile étoilée qui s'installait ; demeurait, entre autres, le sujet, tu pouvais bien te permettre de faire ce que tu désirais tant, demeurait qui tu voulais être réellement… Tant que cela restait dans les limites du raisonnable… Non ?

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# Jeu 12 Oct - 9:59

Sous les étoiles
 "Mon identité n'a réellement d'importance, vous savez… Je serais qui vous voudrait…"

Tu le regardes, lui rendant son sourire. Ses paroles ressemblent à de la drague, il n'est pas le premier à tenter sa chance, d'autant plus que ton orientation n'est pas un secret, mais tu assumes. Cette impétuosité, son aplomb qui émane de lui, à quelque chose de rafraîchissant. Un goût de jeunesse, qui te rappelle que tu n'as pas encore trente ans et que tu n'es pas obligé de vivre comme un homme de cinquante ans.    

Tu t'avances un plus proche de lui. Vos souffles s'entremêlent presque, tu pourrais bien sentir son haleine à cette distance. Tu poses sur lui un regard sans faille, un regard si profond qu'il donne l’impression que tu vois son âme. D'une voix calme, clair, mais ferme :    

" Si c'est une blague, je vous assure qu'elle est de très mauvais goût. Si au contraire votre proposition est sérieuse, une lueur passe dans tes yeux et lui susurre à l'oreille, je crains que ce ne soit ni le lieu, ni le moment"        

Tu fais un pas en arrière. Ce faisant, tu mets entre vous deux unes distances. Il aurait été si facile d'accepter ses avances, pour un peu qu'il soit sérieux. Il est plus qu'évident que ce jeune homme te plaît, et ne te laisse pas de marbre. Mais voilà, l'endroit est mal choisi.           

Tu le regardes d'une nouvelle façon. Tu le déshabilles presque du regard, s’il n'y avait pas tout ce monde, tu n'aurais pas hésité une seconde, vraiment mauvais timing… Un nouveau petit sourire, puis tu t’éloignes et vas voir la personne chargée de la sécurité, celui qui avait vérifié l’identité des personnes présente. Tu lui demandes alors :          

« Salut John. Dis-moi ce type là-bas, le jeune, tu peux me dire, c’est qui ? »
« Lui, là-bas, oui, c’est un étudiant en journalisme, son nom, attend, je regarde, humm… Voilà Chase Marschall »           


Tu connais enfin son identité. Il ne sera pas resté un inconnu bien longtemps, tu sais pertinemment qu’au terme de cette soirée, tu ne le reverras jamais, alors pourquoi tenter quelque chose, les plans d’un soir, des coups sans lendemain comme on dit, ne t’intéresse plus. Tu veux quelque chose de sérieux et durable. Tu discutes avec un groupe des avancées technologique n jetant pas de regard furtif au beau jeune homme. Mais tout d’un coup tu une énième fois la tête et n’est plus visible, mais où est-il ? John t’apprend alors que le jeune homme à quitter les lieux, il lui dit avoir toutes les infos qu’il lui fallait pour faire un article pour le journal de son université. Tu es un peu déçu de ne plus pouvoir profiter visuellement de son joli minois, mais tu comprends, et renvoies le souvenir ce beau garçon au fond de ta mémoire.
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# Mar 24 Oct - 19:41
@Max Davenport & @Chase Marschall

Tu te savais pertinemment, au fond de ton être, que tu ne devais être le premier à l'aborder sensuellement, le draguer ouvertement, de la sorte… Pour sûr… D'autant plus que le séduisant, charmant jeune homme avait fini par déclarer, très rapidement, lors d'une interview, à l'affût d'une mélasse de petites gens, qu'il demeurait plus attiré par la gante masculine, qui plus est ! Sans toutefois en ajouter plus, rentrer dans les détails : quant à savoir s'il semblait en couple ou non, cela restait un mystère, sans équivoque ! En même temps, tu pouvais aisément en saisir ses propres raisons… Après tout, il était là pour son emploi, pour prendre davantage en notoriété, en assurance ! Point forcément pour trouver son âme-sœur, le seul, le vrai ! L'incendiaire ! Celui qui illumine, colore son existence salvatrice, quand tout n'est que fadeur glaciale, sans la moindre saveur… Parait d'effroyables tourments… Pour cela, par ailleurs, tu devais le consentir ; il s'était montré fort bien courageux, pour oser le souffler ! Toi-même, dans son cas… À sa place, tu ne savais, si tu aurais eu l'étoffe de t'exécuter ! Et pourtant, voilà que tu venais de lui faire, sans ambages, ni le moindre détour, des avances, en cette folle soirée, parait de cotillons, de promesses dorées, florissantes ! À croire que tu étais né, avait toujours cultivé ce talent… Alors qu'en réalité, t'es le genre de gars, qui n'ose rien - est presque effrayé, comme une bête… Comme une chouette, prise dans les phares d'une sombre cage d'aciers… À rougir, tel un bel idiot balafré… Qu'est-ce qui t'avait bien pris de lui balancer cela, tout simplement ? Alors que vous ne vous connaissiez guère… Comme qui dirait ; ni d'Ève, ni d'Adam…

Toutefois, vos doux regards envoûtants, se croisaient mutuellement, un mignon petit rictus peignaient les lèvres pulpeuses, de ce bel et tendre apollon à la carrure magnifiquement élancée, gracieuse, musclée… Se risquant, même, à s'approcher que plus encore de toi - que vos souffles saccadés, s'y mêlaient harmonieusement, dans l'ambiance féerique, tamisée… Tandis que ton rythme cardiaque s'emballait, tambouriner follement ; bien que tu retinsses, d'une agréable stupeur, d'une éloquente torpeur, ton souffle coupé… Te noyant irrévocablement, dans l'abysse triomphant de ces orbes bleutés… Croyant pratiquement qu'il allait te voler un furtif baiser, pour le moins passionné… À mesure que tu te mis à avaler, bien difficilement, ta salive… Si ce n'est qu'elle restait coincée dans le fond de ta trachée… Ouais, tu faisais clairement moins le malin, là… Ce n'est tant l'idée, que tu avais peur de tout cela… Ou que tu ressentais une honte certaine, furibonde, mais tu devais bien te l'avouer, vous ne jouiez point dans la même cour ; lui, il était dans celle des grands !

« Si c'est une blague, je vous assure qu'elle est de très mauvais goût… Si, au contraire, votre proposition est sérieuse... » Se risquait-il d'ajouter, d'une voix cristalline, sereine… Aussi limpide que de l'eau de roche, bien que tout aussi ferme… Avant même de se marquer d'une légère pause, pour mieux te contempler, te dévorer de son doux regard pénétrant, troublant… Qu'un doux éclair de lubricité se reflétait dans ses iris chatoyants, qui te fit presque faillir - où tu sentais que tes jambes te trahissaient, avaient du mal à te tenir en équilibre, tant elles semblaient cotonneuses… Cependant, que ton âme battait à tout rompre, au point d'imploser… Que tu louchais entre ses billes océaniques, ainsi que ses douces lèvres… Alors que le charmant, parfait, petit brun se rapprocher de ton oreille… « Je crains que ce ne soit ni le lieu, ni le moment... » Achevait-il, d'un ton beaucoup plus suave, mélodieux… Presque d'un d'un pâle murmure, qui t'arrachait d'agréables frissons, qui parcouraient ton échine, tout autant que tu avais chaud à la fois… Bon sang, ce gars, il te faisait grave de l'effet, te faisait littéralement vibrer, rêvasser ! Comme il venait si bien de te souffler, si vous étiez, tous deux, dans un endroit plus intimiste, approprié, tu n'aurais manqué l'idée de te jeter sur lui, pour lui capturer, passionnément, ses lèvres ; chercher sa langue dans une danse furibonde… De l'arracher de son coûteux accoutrement… Pourtant… Pourtant, il avait raison… Tu devais te montrer sage, prudent… L'occasion, le moment n'était guère appropriés… Et qui plus est, ce brave avait l'air de douter, sur l'instant, de tes intentions, tes sentiments, qui avaient l'air fort bien sincères, forts louables… Certes, tu n'avais peut-être l'expérience, niveaux relations amoureuses - et d'autant plus avec des hommes… Tu n'avais aucun mérite à cela… Ni de t'en vanter, mais jamais, tu ne t'amuserais aux dépens des petites gens, de leurs ressentis… Encore moins pour ce cher et tendre Davenport !

« Qu'est-ce qui vous ferait croire que c'est une blague, Monsieur Maxime ? » Lui retournais-tu, d'un timbre tout aussi mélodieux, séduisant, mais tendre… Afin de détendre l'atmosphère… L'abreuvant de ce doux petit surnom… Bien que tes intentions semblaient évidentes : un ton, un geste, presque affectueux, amusant… De douces pensées, qui, tu consentais, se vouaient totalement sincères, réciproques… Le dévorant du regard - t'attardant sur chaque trait envoûtant, délicat, de son doux visage… De sa magnifique carrure, parfaitement dessinée, sculptée, sagement retenue par ses tissus, soigneusement coupés. Fais sur mesure, dont tu te serais bien passé, volontiers, de glisser à même le sol… Okay… Fallait te reprendre…

« Une chose à savoir : jamais, je ne m'abaisserais à vous faire ce genre de coup… Surtout aussi bas… Mes intentions et sentiments seront toujours sincères. Je vous en donne ma parole ! Mais… Vous avez bien raison… Ce n'est pas le bon moment pour cela... » Lui révélais-tu, d'une voix cristalline, suave… Approuvais-tu, d'un simple signe de tête… Te risquant, le temps de quelques longs instants seulement, à agripper son bras, doucement… Sans lui causer le moindre heurt… Ni de le brusquer, le froisser, de quelques manières, que cela fût, naturellement… Le toisant intensément - louchant entre ses billes océaniques, ses fines lèvres… Afin de lui faire saisir que, de tes douces paroles, tes forts sentiments, tu n'en démordais point ; que tu semblais des plus sincères, sérieux… À mesure que tu le vis délicatement se reculer ; mettre une distance courtoise entre vous deux, finalement… Vaguant, même, vers d'autres convives, d'autres petites gens… Tandis que, de temps à autre, vos doux regards se posaient mutuellement, sensuellement, l'un sur l'autre… Que tu lui rendais un mignon petit rictus, tout autant que tu ressemblais à un idiot balafré, rougissais comme une pivoine, dès que tu le sentais t'observait… Laissant s'échapper un éclat de rire timide, mais cristallin… Te mordant la lèvre inférieure ou passant, grattant légèrement ta tête, lorsque tu demeurais troublé… Ouais, fallait te ressaisir, te concentrer sur autre chose… Tu te sentais quelque peu à l'étroit dans ton pantalon, à dire vrai… L'envie de faire des montagnes russes, tu n'allais y réchapper !

Tandis que vous vous éloigniez progressivement, que vous vous mêliez à la dense mélasse… Qu'un nouveau charmant, petit rictus peignait les recoins de ses lèvres, rehausser de douces fossettes, que tu aurais pratiquement envie de déposer de furtifs, tendres petits baisers, tu le confessais… Tu vis le séduisant, parfait jeune homme se dirigeait vers le vigile, se tenant aussi droit qu'un piquet, une simple planche de bois soufflée… L'air fort bien sérieux, impassible… Lui adressant ainsi la parole, alors que tu continuais ton enquête, griffonner dans ton carnet, concentré… Bien, à ce tarif-là, tu aurais de quoi faire un article, bien fourni, objectif… Qui sortirait bien rapidement… Pour sûr ! De cela, tu y veillerais !

Emporter dans la vague effervescente, l'engouement animé de l'événement, tu ne voyais plus guère le temps s'égrenait… Certes, tu échangeais avec passion, le plus grand plaisir qu'il fût, avec d'autres convives… Alors que le sujet sur l'astronomie, les dernières découvertes sur le cosmos, te prenait… Tu pouvais aisément, inéluctablement, y passer des heures, tu l'admettais… Notamment, les notes avaient déferlé, bien noircies ton petit cahier, de ta patte de mouche, oui… Mais il serait d'autant plus avisé de quitter les lieux, désormais… De ne point abuser de l'amabilité du directeur, de la mélasse… Au risque solennel de fuir à la vue envoûtante, troublante, de ce beau brun, qui tant, te plaisait, te faisait de l'effet : celui qui t'avait fort bien confessé, il est vrai, qu'il ne se passerait rien de plus… À tout du moins, ici même… Tu pourrais te risquer à sortir, flânais aux alentours luxuriants… De l'attendre, tout sagement, oui… Mais lui, serait-il d'humeur délicate à aller plus loin avec toi ? Le jeune homme si insignifiant, quelconque, que tu demeurais ? Était-ce seulement réciproque, tes sentiments ? Tes désirs affriolants, qui te consumaient, voulaient te pousser à goûter au sucre raffiné de ses fines lèvres… De sentir de tes doigts, sa divine musculature - de sentir son palpitant cognait… Que cette douce proximité, cette romance dorée, naisse aux prémisses permanentes, de sensuelles caresses et baisers langoureux, passionnés ? Recherchait-il également cela, alors que vous ne vous connaissiez plus que cela ? Que ce n'était, sans nul doute plausible, rien de plus, qu'une ombre, une simple pensée, que tu croyais aimé ? Non, en effet… Tu n'avais tant chance… Ce serait trop beau pour être réel, tout cela… Pourquoi diantre, quelqu'un comme ce cher et séduisant, parfait Maxime Davenport, serait touché, aurait des vues sur toi, quand il pouvait avoir qui il désirait réellement, quand il le désirerait ?

Glissant quelques banalités courtoises, au charmant, implacable gorille, qui restait bel et bien de marbre ; aussi raide qu'à ses tout premiers instants… Signifiant, dans la volée, que tu avais tout ce que tu désirais, tu te faufilais en dehors de l'imposant, éloquent observatoire… Trottinant délicatement, sur la pelouse fraîche, gelée… Rêvassant, contemplant le crépuscule vacillant, l'horizon scintillant de diamants… Parant notre sphère de cette toile étoilée, avec cette certitude inéluctable, que cet homme, pour qui tu avais royalement craqué, sans ne savoir pour quelle raison nécessaire, cependant, tu finirais, tôt ou tard, par agréablement le croiser, le retrouvait… Que le caprice complice du destin, lancerait fort bien les dés… Que, comme à l'océan, l'amour, le désir, vous emporterez… Telle une violente vague… Sans que vous ayez guère l'essence même de vous en rendre compte… Vous laisseriez sombrer dans l'abysse infernal… Que tu aurais la chance, le plaisir certain d'être aimé, pour tout ce que tu représentais, tout comme tu ferais de même à son égard… De le chérir, le préserver, plus que nécessité… De te donner, tout entier - t'offrir à lui, sans le moindre détour, le moindre ménagement… Sans que la honte, la torpeur incandescente ne te brûle à jamais… Ce serait vous deux, envers et contre tous. Contre vents et marées… Tu le concevais…





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