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Ryan Kane
Ryan Kane
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a votre service

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Statut Civil : En couple avec une magnifique Blonde
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Habitation : Appartement / La glebe

Ma jolie amoureuse

Mes RPs en cours : I love you - Ivy
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# Lun 25 Déc - 13:50
I LOVE YOU!
Il y à peine quelques jour que j’ai rencontré Ivi. Depuis je ne l’ai pas revus, même pas quand la jeune Emily est sorti de l’hôpital après son hospitalisation. Tant de fois j’ai voulut reprendre contact avec elle. Mais le temps file si vite, que je n’ai pas eu vraiment le temps. Et ce n’est pas encore aujourd’hui, que je passerais un coup de file à jeune femme. Je viens de sortie d’une garde de trente six heure, j’ai qu’une envie, une douche et au lit. Il est presque vingt trois heure quand je passe les portes de l’hôpital.


Après dix minutes de route à moto, j’arrive chez moi, je gare mon engin dans le garage souterrain à côté de ma voiture. Prend l’ascenseur traverse le couloir et rentre chez moi. Le lieu s’ouvre sur une grande pièce à vivre, avec un salon accolé. Immédiatement une petite bonne femme se lève, les cheveux gris, le visage bienveillant et un sourire remplit de bonté. Elle garde Jackson, mon fils, elle fut ma nounou enfant. Elle me donne les dernières nouvelles, comme d’habitude elle refuse que je la paye puis part. Je vais voir Jackson qui dort à point fermé. Je lui dépose un petit bisou sur son front, remonte la couverture et sans un bruit je quitte sa chambre et vais prendre la douche chaude tend attendue. Après quoi je vais me couché, pour un repos bien mérité. Dans quelques je vais me relevé pour m’occuper de mon fils et l’emmener à l’école, après quoi j’aurais deux jours de repos.


Il est sept trente quand mon alarme de téléphone me réveille. Je peine à sortir de mon lit, mais je le fait. Prépare un bon petit déjeuner et à huit heures je vais lever Jackson. Il grogne un peu, mais finit par sortir de son lit. Très vite, mon fils reprend sa joie de vivre, me rappelant que se soir il dort chez un copain. Donc j’ai mes deux jours pour moi ainsi que cette nuit. Après qu’il soit prêt comme je suis là c’est moi qui l’emmène à l’école un petit bisou sur sa joue et je rentre chez moi et m’écroule sur mon lit, afin de récupérer un peu.


Il est presque onze heure trente, quand la sonnerie de mon portable de sort de mes songes, c’est mon père il me demande si je veux déjeuner avec lui, dans un petit restaurant en dehors de l’hôpital, je viens de faire une garde de trente six heures, je n’ai pas envie d’y retourne de suite. A midi dix je suis sur site, mon père est déjà là e sirote un apéritif. A peine assis mon père me reproche mon retard, puis me demande des nouvelles de son petit fis, et continue sur des problèmes a l’hôpital, l’argent que l’établissement perd, à cause d’examen couteux et le temps que je perds avec chaque patients. Mais sinon le repas est excellent et on sépare, déjeuners hebdomadaire.


Après quoi je pars des faire des courses faut bien remplir le frigo. Puis je rentre et vu l’état de l’appart, plus exactement les jouets disperser dans les lieux, je m’attaque au ménage. Cela me prend une bonne partie de l’après midi. En nage, je pars prendre une bonne douche. Je suis entrain de me sécher quand on frappe à ma porte, je mets la serviette autour de moi sur les hanches et vais ouvrir la porte. Mes yeux s’écarquille, ma bouche s’étire en sourire à a vue de la personne, je ne peu rien dire sauf :


« IVY ? »

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L'amour c'est ce qu'il y a de plus beau
Ivy-Céleste Applewhite
Ivy-Céleste Applewhite
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Statut Civil : Femme mariée. Âme écorchée, tourmentée par les années passées, rôdé aux désillusions néfastes, permanentes, aux déceptions simultanées, imminentes. Tu te sens trahie par l'infidélité désinvolte, inlassablement répéter par ton imbécile de mari, pour le moins violent à ton égard... Tu te sens rejetée, mal-aimée... En parallèle, tu cherches désespérément à te reconstruire, à penser un peu à toi. Mais tu ne désespères pas... Un jour, tu trouveras ton âme sœur, qui sait ? L'amour te tombera dessus, sans que tu ne t'y attendes réellement... En attendant, tu profites simplement de l'instant présent.
Emploi : Designer d'intérieur en chef. Désir insatiable de contrebalancer ce passé chaotique, à travers une large palette de chaudes couleurs, sur les meubles tamisés. Dont l'obscurité menace de te submerger. À défaut d'effacer le mal que tu as pu causer et qui hante depuis, tes pensées embrouillées... Tu ne pourras jamais réaliser ton rêve le plus cher, il est vrai... Tu n'es qu'un pion sur l'échiquier, une simple vis, au sein d'une machinerie, bien plus grande que tu ne l'es...
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# Sam 30 Déc - 13:48




CHAPITRE NEUVIÈME - I LOVE YOU.

PART I :




« QUAND TU AIMES QUELQU'UN, TU LE PRENDS EN ENTIER. AVEC TOUTES SES ATTACHES, TOUTES SES OBLIGATIONS. TU PRENDS SON HISTOIRE, SON PASSÉ ET SON PRÉSENT. TU PRENDS TOUT OU RIEN DU TOUT. »


Tentant vainement de retrouver quelques catalogues, où de nombreuses palettes de chaudes couleurs chatoyantes y prônaient fièrement - tout en remettant en ordre, à sa place, comme tu eusses pour coutume de t'atteler, afin de mieux t'y retrouvait… De te montrer aussi soigneuse, perfectionniste, et d'avantage, dans ton emploi… Histoire de ne guère oublier quoi que ce fusse pour le premier entretien que tu avais, en cette belle journée ensoleillée, ambiante à souhaits… Que tu rangeais, dans la volée, certains effets dans ta large pochette à bandoulière, tu n'avais saisisses, remarquer la soudaine présence, de ton cher époux, qui, dans l'embrasure de la porte blindée, te contemplait, te toisait, interdit… Dans un silence qui n'était troublé que par vos respirations lentes, régulières et presque unies… Le dos droit, tourné discrètement… À l'abri de son regard indiscret, tu vérifiais un dossier que tu tenais précieusement, au demeurant… Que tu conservais, fort bien au chaud, sans que ton dit, bien-aimé, n'en ait encore prisse conscience invétérée pour le signer… De lui couper l'herbe sous le pied… Officiellement : la demande de divorce... Tu l'eusses en ta possession, de ta main délicate, depuis peu ; et dès lors, tu t'étais risquée à choisir l'instant, dit idéal, pour le lui balancer, à son doux visage empourpré, assombri… Le devoir t'incombait… La patience dont tu t'étais, bien malgré toi, armée… La femme docile, aimante, loyale… Se montrant des plus avenantes, éloquentes, parfaites en tous points, tu désirais ardemment la consumer, la laisser tourbillonnait, telle une feuille-morte, craquelée… S'envolant dans la brise incertaine, glacée… Il était révolu, trépasser, ce temps de l'oisiveté, de l'insouciance… De la jeunesse délicate et naïve… De cette douce idiote balafrée, que tu avais été aux côtés de Montgomery… Tu le confessais… Cela te tiraillait, te démangeait follement. À n'en point douté… Cela faisait des jours, désormais, que tu tentais de tout orchestrer, tout amenait pour aborder le sujet… Le mettre au pied du mur, comme qui dirait… Tu voulais seulement t'en libérer à jamais… Prendre tes clics et tes clacs, ne jamais refaire de come-back… L'idée te germait, t'enveloppait de son manteau de fumée… Ces paroisses de verres, qui t'avaient tant fait suffoquer, c'était refermé sur ton être, ta frêle silhouette, comme un vulgaire clapier, tu ne pouvais plus guère le tolérer, il est vrai… Des tissus de mensonges, des promesses solennelles, simplement bafouées… Balancées nonchalamment, d'un simple revers de la main, un regard froid, distant, inanimé… Une romance ternie, étiolée... Des coups, que sans nulle cesse, tu avais encaissé, depuis maintes années… Enfouis honteusement, sous une couche trompeuse de maquillage… Fieffée filouterie, se mêlant dans votre sillage… Subtilement, tu ne t'étais risquée à le provoquer, à le rendre vert de jalousie - d'une telle possessivité, l'amenant à te blâmer… De cette situation maladroite, fissurée, à travers les intempéries, les âges insoumis… Le préparant psychologiquement, dramatiquement, pour lui montrer, lui prouvait que tu disparaîtrais à sa vue indignée… Qu'il suffisait amplement d'y ajouter sa patte… De fermer ses paupières sur ses orbes ténébreuses… Cela était ton souhait le plus cher, à tes mirettes bleutées… Qui plus est, il y en avait un autre, désormais, que tu souhaitais délibérément retrouver… Un autre pour qui, sans que tu n'eusses le confesser, le savoir réellement, tu étais liée... Ryan. L'âme-sœur. Le coup de foudre immuable, insubmersible… L'homme idéal… L'acte d'appartenance, sur lequel vos palpitants, à l'amère odeur de rouille, se mêlaient, se conditionnaient irrémédiablement… Sublime, délicat, envoûtant apollon, qui te faisait totalement baver, vibrer… Pour lequel machinalement, tu rêvassais. Tu n'avais rien prémédité… Cela t'était tombé dessus, sans que tu eusses en prendre conscience… Un peu comme à l'océan, quand une vague vous prend par surprise… Vous emporte vers le large, irrévocablement… L'amour, tu ne voulais plus guère y croire, y songer… Y mettre ton âme sur le billot, la planche de bois soufflée… Sciemment la donner à qui que ce fusse, pour te mettre au supplice - te mettre à terre, jusqu'à-ce que tu ne deviennes plus guère qu'un futile amas de poussière, dont l'essentiel, t'échapperait, encore et toujours, de tes petits doigts de fées… Ce consentement, bel et bien, délicat… Cette signature, ce serait tout bonnement soldé par un nouveau départ, un nouveau projet… Te reconstruire délicatement… Songer un peu à toi ; avec tout ce qu'il pouvait demeurer en ton être, oui… Il avait seulement fallu d'un simple regard échanger, un mignon petit rictus évasé, timidement troqué… Un café dignement offert… Quelques courtoisies dorées, habilement soufflées dans l'affre brumeuse, incandescente… Brûlante, affriolante, de la folle journée ensoleillée… De langoureux baisers passionnés, gracieusement volés… Une sensuelle gâterie, dans son vaste bureau, aux motifs épurés... Il te rendait folle à lier, tu le confessais… Tant de fois, tu avais désiré tomber sur sa magnifique carrure imposante, musclée… Te retrouver dans le creux de ses bras… Goûter, une fois de plus, à la chaleur sucrée de ses baisers… De lui jeter des sorts, l'y fourvoyait… L'entraîner dans ces rouages ardents, de la passion sidérée… Lui faire savoir qu'il n'y avait que lui, qui t'importait… Que tu t'offrais entièrement, à ce romantique, attentionné, séduisant, charismatique médecin. Corps et âmes... C'était l'amour, le vrai, l'incendiaire… Celui qui illumine, colore des années d'humiliations et de petites vies… Une page qui se tourne, l'espoir évanescent... Le Val sans retours… La lumière qui revient quand on ne l'attendait plus… Tu ne songeais guère, un seul instant, au demeurant, que tu pouvais revivre, ressentir tout cela… De pouvoir toucher, goûter, une fois encore, au bonheur… Aussi doux, chatoyant, léger, éphémère fusse-t-il, qu'un simple vol gracieux, mélodieux d'un papillon, cherchant vainement à se poser… Ailes brisées, royalement consumées… Léchaient de toutes parts, de flammes vacillantes, se délabrant sur les murs vermoulus, d'une existence trépassée… Une existence de chimère, dans laquelle tu t'étais méconnue, t'était follement égarée... Oui, tant de fois, tu avais désiré tout envoyer valser… Te pointant, comme une fleur délicate, dans l'antre glacial de l'hôpital… De lui déclarer ta flamme… Même si tu te savais pertinemment, qu'il vous valusse vous côtoyer un tant soit peu… Vous apprivoisez davantage, il est vrai… Mais le temps file, coule affreusement… Il manque si effroyablement au compteur, que tu ne pouvais plus guère te permettre cela… L'insolence des secondes égrenait, à travers ce sablier, qui marque votre apogée… Te faire saisir l'essence même, que le temps, on n'en a jamais assez… Et que, si tu hésitais encore, tu le perdrais… Tant de raisons inassouvies… Tant de pensées affriolantes, de sincères sentiments… Si paisiblement, silencieusement endormis… Tant de candeurs, d'intentions fortes louables et pures, avachi, anéanti dans l'âtre noirci… Trou noir et béant, duquel tu ferais tout, pour y réchapper… T'unir, à jamais, à la vie de ton séduisant, romantique, charismatique, parfait apollon, à la carrure divinement imposante, musclée… À la beauté délicate, la douceur irréelle, affriolante, qui te transportait, t'enivrait… Te décontenancer, te chambouler royalement… À un point tel, de te renverser, te faire vibrer… L'âme en flamme, l'esprit agréablement tourmenté, tu ne désirais que lui… Tu voulais lui appartenir… Plus que tout, le chérir… Le préservait de tout, face à l'adversité… Une vie pour une vie… Vous deux, envers et contre tous. Contre vents et marées… La voix cristalline, de la sirène et son matelot… Le chant mélodieux, la danse des cœurs, tu consentais totalement, à sombrer dans le troublant abysse infernal… Qu'importe le devenir de ce monde, la mise en garde, du caprice complice du destin… Deux âmes-sœurs seront toujours faits pour se retrouver… À mesure que ton esprit vagabondait… Que tu rangeais tes précieux documents, dans ton dossier - que tu le rangeais soigneusement, dans ton sac cuivré, tu sentisses, bien malgré toi, une scintillante parure ; brillant de mille feux, en mille et un éclats... Fort bien coûteuse, prônait délicatement, gracieusement sur ton cou léger, feutré… Jadis, partiellement dénudé… Magnifique collier1, aux longs motifs dorés. Parsemés de carats, de diamants invétérés, qui semblaient pour le moins divins, oui… Mais, qui ne se mariaient guère à ta fluide robe2, aux simplistes couleurs Ariel. Aux allures épurées, d'un cache-cœur, qui ne laissaient entrevoir, retenaient tes courbes féminines, galbées… « Montgomery, c'est… Absolument magnifique. » Consentais-tu à souffler, presque d'un murmure ; en t'approchant, arrivant à hauteur, d'un haut miroir, se trouvant à proximité, et dont ta frêle silhouette, se reflétait bien tristement, pourtant… Montrant fièrement, cette magnificence parure, que tu contemplais dignement, paisiblement… Tâtonnant, effleurant délicatement celle-ci, comme si cela te semblait irréel… Tandis que tu finisses par te retourner, pour faire face à ton bel anglais... « C'est en quel honneur ? » Finisses-tu par avouer d'une voix douce, mélodieuse. Sereine… Observant la réaction de ton futur ex-mari… Cherchant à saisir l'essence même, de ce prompt présent qu'il te faisait - présent empoisonné, sans nul doute plausible, dont se cachait dans l'ombre fantomatique, un spectre ailé, une raison particulière… Force est d'admettre, que tu connaissais, bel et bien, ton cher Monty, désormais... « Y a-t-il une raison, pour vouloir faire plaisir à l'amour de ma vie ? » Rétorquait-il, te retournait-il ainsi, par une autre question, qui aurait pusse amplement suffire, à toute femme aimante, naïve, qui se respectaient, pour s'extasier… Se voulant sincèrement heureuses, épanouies, enchantées, devant telles promesses idylliques, qui prouvaient une affection, un respect inconditionnel… Un amour puissant, intemporel, qui demeurait toujours autant au sein de leur romance solennelle… Naturellement que d'autres seraient prêtes à tout… À tuer, s'il le fallait, pour être à ta place… Ce collier, tu aurais pusses te sentir touchée, l'adorait. Le chérir… En prendre grand soin, certes… Et pourtant, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu sentisses tout le contraire… Cela ne te donnait l'effet tant espéré, de la part de ta dite, douce et tendre moitié… Si ce n'est, que tu laissais s'échapper de tes lèvres nudes, un soupir… Aussi léger, qu'une simple brise glacée… Ne t'arrachant point de cette bulle effervescente de mélancolie sidérée, incomprise, dans laquelle tu t'étais enveloppé, durant de nombreux jours durant, au demeurant… Ne prenant peine de relever cet élan de douceur soudaine, venant de ce dernier… Ne cherchant davantage, à lui exprimer ton humble, sincère gratitude… Le lui prouvait aux dépens d'un langoureux baiser… À la place de quoi, machinalement, tu t'aventurais, t'atteler à prendre, dans la volée, quelques catalogues, ta tablette, que tu rangeais délicatement, dans ta mallette à bandoulière… À mesure que Monty, subtilement, revenait à la charge… Te toisant, te contemplant t'atteler à tes tâches professionnelles... « En réalité, j'espérais que tu m'accompagnerais ce soir… De retrouver la famille… Participer, un peu, aux festivités… Je pense que ça te ferait le plus grand bien, bijou ! Ça te ferait sortir, te changerait les idées... » A ces quelques paroles balancées, tu remontais la tête, pour croiser ses iris chatoyants. Te risquant même, à froncer légèrement les sourcils. Te sentant, bien malgré toi, serrer les dents d'amertume… Le faisait-il seulement exprès ? Diantre, s'amusait-il dont, à ce point, à tes dépens ? « C'est… Fort aimable à toi, Monty, mais… Tu oublierais, par hasard, que j'ai des rendez-vous importants, pour cet après-midi ? » Ajoutais-tu, sans le moindre détour, le moindre ménagement, pour lui faire entendre raison, que, bien que l'intention, en somme, demeurait forte alléchante, propice et charmante, il fallait un tant soit peu, que tu restes concentrée, fort bien crédible, sérieuse… Ce nouveau projet professionnel… Cette précieuse cliente, parmi tant d'autres, dont tu avais tout mis en œuvre, pour le réaliser, depuis maintes années, aux côtés de ton cher, avenant collègue et coéquipier, t'importait plus que tout… C'est ici même, à Bowen, que tout se matérialiser, officiellement… Que ce tournant se vouait décisif… Tu ne pouvais passer, ainsi, une fois de plus, sur cette prodigieuse opportunité… Ton ami, ton comparse et toi-même, vous gagneriez davantage en notoriété ; rajouterait, plus que nécessité, du beurre dans vos épinards, comme qui dirait… Tu vivrais bien, à ton aise… Financièrement, te sécuriserait… Sans dépendre de Montgomery, qui plus est… Non, il ne pouvait se permettre de te faire cela… Point aujourd'hui, point maintenant… Tu ne le laisserais agir… Tirer, une fois encore, sur les ficelles, amusé. Sombrement, te manipuler… Ni par l'esprit tourmenté, ni par l'âme, tu le retenais… Tu n'étais que trop abîmée, meurtrie par la fourberie, les coups montés… Les coups délaissés sur ta douce peau de nacre… Tu ne l'aimais plus suffisamment, pour tolérer cela… Et ne dit-on guère qu'un amour, qui vous fait seulement souffrir, reste encore de l'amour, justement ? Tu avais beau eusses tout exécutais… Tout sacrifié pour te rattraper, te racheter… Trouver grâce à ses orbes bleutés… Son tempérament fougueux, implacable… Violent à souhait, n'y avait contribué, pour sauver votre couple… Les mauvais choix entreprissent, la confiance étiolée... Une chose entre vous s'était manifestement fissurée, brisée à jamais, dans une fine poudre de diamant… Et lutter de toutes ses maigres forces… Autant que faire se peut… Sur tous les plans, les fronts nivelés… Donner à foison, de l'amour pour deux, ça ne prenait plus… Avec Montgomery, tu faisais une overdose… Fin de la partie. Game Over… Votre histoire, c'est qu'ils vécurent heureux… Mais, point ensemble… C'en était de trop, pour toi, tu le confessais… Ça t'effritait, t'égratignait... Te ronger, littéralement, de l'intérieur… Le ver de terre, amoureux d'une étoile, ça va un moment ! Tu ne voulais plus avoir un morceau de glace, à la place du cœur... « Dans ce cas… Annule et viens avec moi. » Si, jusqu'à présent, tu avais froncé les sourcils d'un semblant d'incompréhension, là encore, cette fois, tu te surprisses à écarquiller les yeux de stupeur. S'agrandissant, se changeant presque en soucoupes, tellement tu fusses assommée, troublée… Ce n'était plausible, il se moquait délibérément de toi… Avait-il seulement entendu ce que tu venais de lui révéler plus tôt ? « Tu sais bien que c'est impossible… Tout ça, ça compte énormément pour moi, Monty… Et, tu en as parfaitement conscience... » Balbutiais-tu, d'une voix douce, posée… Des plus courtoises… Bien que tu étais ferme, butée, intraitable à ce niveau-là… Tu ne ferais une croix sur ta carrière… Point maintenant… Après tout ce que tu avais forgé, pour en arriver à ce stade… Les efforts engendrés étaient sur le point de porter ses fruits. Et, ce ne seraient les caprices, de ton orgueilleux prétendant, qui l'entacherait de son impudence, sa fieffée filouterie… Sombrant, désespérément, comme tout ce qu'il fusse, dans la mélomanie… Que cela ne tienne ! Qu'il tue ses phobies dans la totale disharmonie, si cela l'amusait tant ! Mais toi, on ne t'y reprendrait à tes dépens ! Tu coupais sciemment les mailles de son filet, dans lequel, insidieusement, il t'avait attrapé… La machine était bel et bien lancée… Il ne t'y retiendrait, désormais… Tu contournais dont le beau brun… Remettant de l'ordre dans tes effets, ton bureau de bois soufflé ; fuyant le regard, de ton dit, bien-aimé - fuyant son contact, comme s'il t'avait brûlé… Lorsque tu fusses plus que troublée… Contrariée, même, quand il se postait devant ton être, ta frêle silhouette… Arrivant, à son tour, à ta hauteur, pour t'arrêter dans ta lancée… Te bravant, pour ne te laisser filer, affrontait la journée, qui s'annonçait... « Je ne veux pas, Ivy… Tu ne le feras pas ! Ta place est de rester ici, avec moi ! On s'est promis de se protéger, de se soutenir… Dans la joie, comme dans la peine. Dans la santé, comme dans le mal... » - « Arrête ton cinéma, Montgomery ! Je connais très bien nos vœux, je te signale ! » Scandais-tu, presque d'un ton, qui se voulait un peu trop criard à ton goût, sur l'instant présent… Te marquant, bien malgré toi, d'une légère pause au demeurant… Tu aurais presque pusses lui révéler amèrement, que ces promesses dorées, tu avais bien été la seule à les tenir, jusqu'à présent… Mais tu craignais que cela ne lui mette la puce à l'oreille, comme qui dirait… Et t'engager dans cette sinueuse, étroite situation délicate… Cela sentait littéralement le terrain miné… Cela puait à plein nez ! Bombe dégoupillée, sauvagement balancée sur l'oreiller… Implosant, colorant les pâles placos, de son amère odeur de rouilles, il est vrai... « Cela n'a strictement rien à voir avec toi, avec nous, pour ta gouverne ! Il s'agit simplement de l'entreprise… Pour pouvoir l'élever davantage, gagner en notoriété, et... » Tu n'eusses le temps nécessaire de rappliquer, de terminer dans ta lancée, que le séduisant, charismatique, empourpré apollon, se surprisse, à sombrement ricaner… Te gratifiant, sur l'instant, d'un petit rictus, non sans joie certaine, tu le consentais - rictus diabolique, sadique, sarcastique, dont les frissons te parcouraient l'échine... « Putain, mais tu ne saisis pas ? Si tu fais ça, tu vas souiller, entacher le nom de MA famille ! » Se misa-t-il à hausser le ton… Montant, ainsi, sur ses grands chevaux… Cependant, que tu te sentisses frapper, sonnée par ce qu'il venait de te révéler… Comme une gifle virulente, que, sans ambages, sur ta douce peau de nacre, il t'avait administré… Te retournant, bien malgré toi… Te mettant, irrémédiablement, sur le bas-côté… Mais… De quoi il parlait ? En quoi tu lui causais du tort, à lui, à sa famille ? Personne, dans sa tribu, n'était pas concerné… Tu avais toujours été des plus délicates, avenantes… Paraît des plus nobles intentions, des plus purs sentiments, à leurs égards, tu avais, bel et bien, prouvé tout cela… Tu ne leur avais jamais causé le moindre heurt, le moindre tourment… Ne serait-ce qu'un vil tort, une moindre souffrance irascible, flétrie… Leurs existences aisées, salvatrices et imposantes, ce n'était comme sur une table de poker… Tu n'avais rien misé, si ce ne sont tes maigres économies, pour arriver à tes rêves, les plus grands… Alors quoi ? Tu n'avais le droit d'être indépendante, de t'épanouir dans ton métier ? De faire ce qu'il y avait de juste, de bon, dans la société ? Tu n'avais le droit de baigner dans le franc succès ? Pathétique, vile créature égoïste qu'il était... Monstre, scélérat, qu'à lui tout seul, il consistait... « En quoi je la souille, exactement ? Tu te moques de moi, c'est ça ? Non, mais… Explique-moi, je ne comprends vraiment pas, effectivement ! T'as peur de quoi, là ? Que je réussisse à monter un projet, que ça me rend plus crédible… Que je me fasse reconnaître, pour mon travail acharné ? Que cela me fasse davantage élever que toi, alors que je ne considère tout cela, comme un vulgaire jeu, une compétition ? » À ces mots, qui sonnaient aussi clairs, limpides, comme de l'eau de roche… Qu'ils flottaient, menaçant, dans l'habitacle… Que tu remarquais l'empourpré anglais, plus que bouleversé, contrarié… Que tu aperçusses son poing, se resserrait ; visiblement tenté à l'idée de te cogner… Tu te doutais fort bien que tu fusses, à la limite fatale, de franchir la ligne… Que tu allais bafouer son autorité… Amèrement, le regretter… C'était une vérité inéluctable, qui éclatait... Le point de non-retour, qui s'acheminait vicieusement. Plus d'échappatoires, plus de recours sordides… Plus la moindre facilité… Tout bonheur trépassé… L'amour s'en va, l'amour se meurt dans le crépuscule vacillant… Des larmes de douleurs montaient - mouraient, se loger dans le coin de tes mirettes bleutées, impuissantes… Nulles raisons de continuer... « C'est bon, laisse tomber… Je ferai en sorte d'être là... » Consentais-tu, à lui souffler… Ne soutenant l'intensité de son regard, tandis qu'il se risquait, de son côté, à te confronter… À chercher ton attention, ta tendresse, en désirant prendre ton doux visage lasse, blême, des plus contrits, de ses mains calleuses… Pour les poser en coupes, pour te voler, sans nul doute plausible, un doux baiser passionné, que tu esquivais irrémédiablement… D'un geste brusque, presque violent, tu réussisses, tant bien que mal, à enlever son atour, qui était resté prostré, dans le creux de ton cou délicat, le mettant, ainsi, sur ton bureau d'un bois noble, maculé de blanc… Le laissant ainsi, comme un idiot balafré, en plan… Refermant soigneusement, prenant ton sac à bandoulière… La sécurisant entre ta frêle silhouette, ainsi que ton épaule dessinée, gracieuse… Reniflant, pour contenir vainement tes larmes… Avant même de fuir à sa vue meurtrie, indignée… Méprisant de mélancolie… T'engouffrant, bien malgré toi, dans les affres de chaleurs, de la folle journée, qui sonnait… Tu allais bosser, y mettre le meilleur de toi-même, oui… Et tenter, une fois de plus, de tenir ta promesse… Remplir ton dernier devoir d'épouse... Les vœux, bien qu'ils t'incombaient, tu les respectais… Tu essayais d'être une jeune femme droite, de parole… C'était inscrit sur ce putain de bout de papier. Mais bon sang… Votre amour était éteint, révolu à jamais… De cela, tu le certifiais…


Ton véhicule, délicatement, garé dans l'allée ; à l'emplacement idéal, de l'immense immeuble, aux doux reflets cristallisés ; se reflétant d'une pâle lumière, engendrée par le temps, qui fussent devenus fort bien grisâtre, dans le courant de la journée… De ta démarche assurée, gracieusement dansante, voilà que tu avais pénétré dans l'âtre frais, dont la porte métallisée, t'avait été courtoisement retenue par un résident, dont tu lui retournais, dans la volée, un mignon petit rictus. Lui exprimant, tout autant, ton éloquente gratitude… Tu en profitais, de ce fait, pour contempler les boîtes aux lettres, se trouvant soigneusement accolées, contre les placos de murs glacés, pour vérifier, où diantre, fusse l'étage, où ta cliente y demeurait… Objectif aperçusses, décelée bel et bien rapidement, que tu flânais irrémédiablement, en direction de la cage d'ascenseur. Les minutes s'écoulaient, s'égrenaient à travers ce sablier, qui marque votre apogée, votre temps… Prenant ton mal en patience, te préparant psychologiquement à te mettre en condition de femme avenante, professionnelle, observatrice, et qui plus est, attentive aux éventuelles demandes de la jeune femme, que tu devais rencontrer, officiellement… T'aventurant, bien malgré toi, dans le spacieux couloir, où prônait fièrement bon nombre de portes blindées… Se trouvant, pratiquement, toutes à l'identique… Cherchant vainement à trouver la bonne, à dire vrai… Perdant quelques longs instants, même, à fouiller ainsi, comme une idiote balafrée, tu te risquais, par mégarde, a frappé doucement… Cogner de ton poing ; mais suffisamment ferme, à la fois, pour qu'on puisse bien t'y entendre, contre celle, qui te paraissait, à première vue, l'idéale... Celle qui te menait à ta cliente, à tes mirettes bleutées, quand, promptement, tu sentisses ton téléphone professionnel, sonner distinctement, pour te faire savoir que tu venais de recevoir un SMS… Ne voulant point ignorer cela, tu te permisses dont par sortir le combiné, de la petite poche cuivrée de ta mallette ; remarquant ainsi, qu'il s'agissait, justement, de cette pauvre malheureuse, qui présentait ses plus humbles, mais sincères excuses, auprès de ton être, de ta frêle silhouette : comme quoi, elle avait eu un empêchement de dernière minute, un imprévu, qui l'avait décontenancé, a priori, mais qui se voulait non gravissime, néanmoins… Ce qui, d'une certaine manière, te soulager pour elle ! Bien que tu te sentais d'autant plus stupide, désormais, de t'être présentée, devant sa dite porte. Tu le consentais… Un report, si plausible, qu'elle te demandait courtoisement, à mesure que tu te préparais à l'idée de lui faire un retour… De te montrer des plus douces, compréhensives, à son égard... Que tu lui présentais, également, tes excuses… Que, cordialement, tu la soutenais - et que, par ce fait, il ne présageait là d'un quelconque malentendu… Que tu ferais tout ce qui est nécessaire pour lui proposer un autre créneau, à sa convenance… Pour trouver, d'une certaine mesure, grâce à ses orbes chatoyants. Tu le confessais… C'est ce que tu t'apprêtais à entreprendre, à réaliser, oui… En désirant ardemment tourner les talons, comme qui dirait, pour rebrousser chemin… Retourner dans l'agence, aux côtés de ton cher collègue et ami… Mais à peine eusses-tu le temps nécessaire de t'exécuter, qu'à ta plus grande stupéfaction… Suivi d'un embarras certain, qui t'enveloppait de son manteau de fumée, que la porte de bois soufflée, s'ouvrisse, finalement… Laissant apparaître, comme par enchantement certain, le charmant maître de ces lieux… Surprise éloquente, se voulant des plus merveilleuses, prodigieuses… Magnifique, féerique à souhait, qui te renversait agréablement, te mettait irrémédiablement, sur le bas-côté… À un point tel que ton souffle haché, se coupait… Que ton palpitant cognait, tambouriner dans ta cage thoracique… À la limite d'imploser… Colorer les murs, de son amère odeur de rouille… Il était là… Ryan. L'élu de ton cœur, l'homme idéal, dont tu n'arrivais guère à oublier, depuis que vos regards envoûtants, pénétrants s'étaient croisés… Ton irréel coup de foudre de l'hôpital… Il était présent, à ton doux visage, qui, comme une pivoine, se montrait rougissant, sur l'instant… Ce séduisant, charismatique, envoûtant apollon, à la carrure magnifiquement musclée, imposante… Bien plus, que tu n'osais le concevoir… Qu'il réussissait à avoir son effet - à te décontenancer, cependant que tes jambes galbées, devenaient presque coton… L'âme en flamme, le temps suspendu… Tout te semblait abstrait, indigne de tout intérêt… Si ce n'est, que tu ne voyais, littéralement que lui ; que lui seul, t'importait, subsistait… Qu'il n'y avait que ce bel australien, qui comptait, au demeurant… Petit ange avenant, attentionné… Si romantique, divin à souhaits… Petit ange tombé du ciel pour t'arracher à tes vils, tes sombres tourments… Il était là, avec une serviette, d'un blanc immaculé… Entourant son éloquente, magnifique musculature… Simplement enroulait autour de ses hanches élancées, qui ne laissait place qu'à la troublante, la foudroyante imagination, parfaitement dénudée… Pratiquement, dans une tenue d'Adam, qui ne pusse t'empêcher de te faire royalement vibrer, salivé… À rêvasser, plus que nécessité… Et merde… Voilà que cela te reprenait : ce coup de l'adrénaline, cette affriolante passion… L'amour aveuglant… Les rouages du désir, t'emportant, telle une insubmersible vague… Te faisant sombrer, irrévocablement, dans l'illustre et profond abysse infernal, le sombre océan indécent… Tu ne savais que faire, que riposter… Qu'ajouter de plus, sans paraître que trop sotte, une idiote balafrée, à ses iris bleutés, dans laquelle, systématiquement, tu plongeais, avec délice et passion invétérée… Contemplant, tant bien mal, chaque trait délicat, pénétrant, de son doux regard envoûtant… Tentant vainement de te contenir, pour ne point te jeter sur lui ; goûter à l'enivrante douceur irréelle, de ses baisers langoureux, épicés... Tandis que la raison te fuyait, sans contrition… Te tournant le dos, te faisant front… Ébahis de la violence de sentiments inavoués… Avais-tu seulement avoué, que ce tendre, sensuel petit brun, était absolument magnifique, sexy… Tout bonnement parfait ? « IVY ? » Soufflait ce dernier, d'un ton pantois, mais mélodieux. Suave… Se voulant des plus cristallins à la fois… Empreint d'une stupeur certaine, cette sublime, exquise, troublante, enivrante créature enchanteresse, dont le spectre du vice, te tourmentait… Te mettant irrémédiablement, au supplice, sur ta frêle épaule sculptée, qui t'incitait à sauter dans le vide sidéral… Tandis que celui de la tendresse sidérée, l'amour, dans son infinie beauté délicate, te prouver, de te vouloir plus douce… Incline à la chasteté… Oui, tu le consentais, tu avais des intentions nobles et pures… Cet homme séduisant, divin, parfait, tu l'aimais… Terriblement, follement - tu en étais folle à lier… Tu ne savais que faire, pour trouver grâce à ses orbes chatoyants… Lui faire plaisir, tout autant… Lui décrocher la lune… Lui offrir le monde, dans un grain de sable. Le paradis poétique, dans une fleur sauvage… De tenir l'infini dans la paume de vos mains liées, et de voir l'éternité durait une heure… T'avais l'âme effilochée, l'esprit tiraillé… Sentiments affriolants, puissants, partager en deux hémisphères… Deux êtres, qui pouvaient se compléter… Baigner dans des liqueurs amères… C'est ce que tu souhaitais… Tu désirais n'appartenir qu'à lui, t'y donner. Corps et âmes... Ce serait vous, envers et contre tous. Contre vents et marées… Quoi qu'il fusse... « Ryan... » Finisses-tu par extorquer de tes lèvres, naturellement revêtu d'un rouge à lèvres nudes… Cependant, que tu te fendisses, bien malgré toi, d'un mignon petit rictus. Tout aussi estomaqué, mais divinement charmé, envoûtait à l'idée de le croiser, par le caprice complice du hasard… T'amusant presque, en voyant ses mirettes d'un bleu envoûtant, océaniques, s'agrandirent… Se changer en soucoupes... « Putain, petit cœur, arrête de jouer des siennes ! Allez, les jambes, du nerf… Bougez ! Fais quelque chose, blondie ! Ne rêvasse plus et passe à l'action ! » Saisisse ton esprit embrumé, consumer royalement par le désir… L'éclat de la convoitise, de la lubricité, t'incitait au vice, à la folie foudroyante, dans un silence, qui n'était troublé que par vos respirations saccadées, staccato, et presque unies… À mesure que tu réalisais, hélas, que tu n'avais prisses la peine nécessaire, de retourner une réponse courtoise, rassurante, à l'égard de ta cliente… Stupide scélérate, que tu demeurais ! Tu avais envie de te frapper ! Devant le doux visage envoûtant, pénétrant, du séduisant, charmant et romantique médecin, dont l'imposante, mais, Ô combien sensuelle, envoûtante et sexy musculature, te faisait baver… Pour laquelle, tu vibrais follement, et dont, tu en étais fort bien distraite ! Ma parole… C'était fait exprès ? C'était pour te tester… Voir si tu pouvais, sans ambages, lui résister ? Et bien… Non… Tu étais une pauvre malheureuse, une faible humaine, qui craquait royalement, devant l'homme idéal, magnifique, sexy, qu'il représentait… Qui, un peu plus, à chaque instant durant, s'écouler, tu te sentais te rapprocher, t'unir à ce dernier… C'était écrit, c'était ainsi… Deux âmes-sœurs sont toujours faites pour être ensemble. Pour se retrouver… Point vrai ? À ses côtés… Aussi brefs, éphémères, tel le vol mélodieux, léger d'un papillon, cherchant vainement à se poser, sciemment, tu te sentais bien, heureuse… Des plus épanouies - comme une fragile fleur, s'épanouissant dans l'adversité… Oui, avec Ryan, sans que tu n'eusses réellement le préméditer, c'est exactement ce que tu ressentais… Tu n'avais, jusqu'à présent, jamais ressenti cela. Pour personne… Point même, envers ton cher futur-ex-mari… Tu ne t'étais jamais sentie aussi respecté, chérie… Désirer, aimer, rien que par un simple regard échanger, un timide sourire clairsemé… Le goût immuable d'un premier baiser, qu'il t'avait volé, pour la première fois, dans l'affre ambiante, de cette folle journée ensoleillée… Trop chaude à supporter, mais qui c'en fusse pourtant, des plus féeriques, magnifiques à souhaits… Pour laquelle tu consentais à y remédier ; en redemander, avec passion et délice. Il est vrai… Tu n'étais qu'un pion sur l'échiquier, une simple vis, au sein d'une machinerie, bien plus grande que tu ne l'étais... Et merde… Ta cliente, idiote ! « Je… Je suis sincèrement navrée, mais tu m'accorderais quelques minutes ? J'ai seulement besoin de régler une petite chose… Et après, tu as ma parole, je suis toute à toi, mon chou ! » Consentais-tu à lui révéler… Te sentant aussi rouge, qu'une simple pivoine… Laissant, même, dans la volée, échapper un léger rire d'embarras, avant même de te retourner, délicatement, le temps de quelques instants seulement, pour pouvoir écrire, rapidement, à la jeune femme… Tel l'illustre espèce emblématique d'une Lucky Luke, tu le consentais… Présentant, tout autant, tes plus humbles excuses, pour ce léger petit train de retard… Puis, une fois la conscience calmée, soulagée… Après avoir, bel et bien, rempli ton devoir, tu rangeais soigneusement, ton cellulaire dans ta sacoche à bandoulière, afin de ne plus être interrompu, préoccupais par cette affaire ; et en profitais pour faire face, une fois encore, à ta douce, charismatique créature de tes songes nuits d'été... Entièrement disposée à lui accorder toute l'attention, la tendresse qu'il fusse… Te lier, désormais, à lui… Si c'est que le délicat, romantique, beau brun, consentait ! Tu te surprisses, même, à sourire davantage, un brin charmeuse, sulfureuse… À lui adresser un regard lubrique… Des plus séduisants, agrémenter d'un fol éclat de luxure… Cependant, que, de ta démarche gracieusement féline… Ronronnant presque de désir, dans la foulée, tu t'approchais sensuellement de ce doux et ténébreux docteur, pour lui voler un tendre baiser… Ainsi sceller, amoureusement, tes lèvres contre les siennes. Goûtant, finalement, avec délice - un plaisir certain, la saveur enivrante, affriolante de sa langue caresseuse, qui se mêlait à la tienne… Vous cherchant, sans nuls détours, au demeurant. Tu laissais s'échapper de tes fines lèvres, un soupir lascif… Dépendante de ce désir, de ses morsures, qui te consumait, t'irradier, de toute part... « Hey, sexy ! » Ajoutais-tu, finalement. Presque d'un murmure… Après quelques minutes seulement… Te permettant d'un perceptible mouvement de recul, afin de mieux le contempler, avec tendresse… L'admirer, avec amour et douceur… Entourant tes frêles bras autour de sa nuque - de coller ta silhouette à la sienne, pour le sentir davantage… Sentir sa parfaite musculature, ses somptueux pectoraux rehaussés… Alors que tu sentisses ses fortes mains, faire de même, dans le bas creux de ton dos droit… Les posant sur ton fessier, pratiquement, qui t'arrachait, une fois de plus, un soupir lascif, animé… Que de doux frissons parcouraient ton échine... Tout autant que tu sentisses sa porte blindée, se refermer… Putain, tu aimais la tournure que cela prenait ! Si bien, que, machinalement, tu en profitais pour capturer ses lèvres, l'embrasser passionnément… Néanmoins, que tes délicates mains, s'aventurer à glisser sur son torse bombé, son torse, rehausser de magnifiques tablettes… Tandis que, sans rompre cet intime, torride contact, ton sublime, éloquent, séduisant apollon, vous emportez, vous amenez délibérément, vers sa spacieuse cuisine, qui était sagement collée, entre l'immense pièce à vivre, le salon étincelant... Laissant vos esprits affriolants, vos idées torrides… Vos sincères, mais forts sentiments inavoués, prendre le dessus… Alors que tu prisses pour habitude, de mordre, gentiment, son lobe d'oreille… Que tes mains baladeuses, sciemment, s'évertuer... Baissant son humide serviette, pour effleurer, caresser avec vigueur et passion affriolante, son précieux membre… Et, comme frapper, inéluctablement, par la foudre… Comme si ton instinct te dictait d'agir, avec plus de douceur, de tendresse… Pour la première fois, dans ton existence salvatrice… Là où ton monde retrouvait de sa splendeur, de sa saveur, de son éclat, tu le découvrais, totalement nu… Un homme, qui n'était, cette fois, ton époux... Un autre, pour qui, inlassablement, tu te laissais aller, avec volupté, dans les rouages de l'amour… Tu voyais clair, et pourtant, tu étais agréablement aveuglée… Tu le contemplais, te noyais dans l'immortalité de ses iris bleutés, dans lesquels tu te méprenais… Tu toisais, avec plaisir, découvrais ses courbes sensuelles, musclées… Il était absolument magnifique, parfait… Tu en étais follement décontenancée, chamboulée… L'âme en flamme, en suspens ; relié par le fil conducteur… Le fil écarlate, de la passion sidérée… Le palpitant en déroute, battant à tout rompre… Le souffle, qui se coupait… Tu étais totalement égarée, tu étais folle à lier… Il allait te faire courir à ta perte, tu le concevais… Ton âme, tu la lui remettais, sans le moindre doute, la moindre frayeur apparente… Libre à ton éloquent, séduisant Ryan, de faire de toi ce qu'il désirait réellement… À jamais, tu lui appartenais… Quoi qu'il t'en coûte, tu le chérirais, l'aimerais plus que tout… T'y mettais ta main à couper. « Tu es absolument magnifique. » Achevais-tu, tendrement, sincèrement. D'une voix suave, posée. Cristalline. Posant dont, délicatement, ta main, pour caresser sa douce joue de nacre - caressant, par la suite… Effleurant sa magnifique carrure imposante, sculptée… Parfaitement musclée… Les glissant sur ses bras, où de délicieuses veines, s'y dessiner harmonieusement, mais sans que cela ne demeure que trop extrêmes, effrayantes, il est vrai… Atterrissant, bien malgré toi, sur ses fortes mains, que tu prenais doucement, pour ainsi l'incitait à prendre les fines ficelles de soie… Les rubans de lave, de ta robe cache-cœur, qui contenait, sagement, tes courbes… Vous aidant tendrement, à t'exécuter… À tirer dessus, pour faire glisser ta tenue… Et, la laissant sur le carrelage chauffé, voilà qu'à ton tour, tu étais toute aussi dévêtue. Seuls restaient les délicates matières de ta lingerie, aux mêmes couleurs d'un vert/bleuté sombre, mais chatoyant, tu enlevais toi-même… Laissant dont l'homme pour lequel tu craquais, vibrer royalement, te contemplais, dans ta simple forme féminine, que la nature t'avait offerte, conçue, comme tant d'autres, avant toi… Comme toutes celles qui passeront, après ton pâle tracé, il est vrai… Tandis que, bien que tu le désirasses… Que tu voulais le caresser sensuellement… L'embrasser passionnément… Le sentir en toi, la peur soudaine te prenait… Pas au point de te défiler… Bien au contraire ! Seulement, cela faisait bien longtemps que tu n'avais franchi la ligne… Qu'un homme, tel que ce sensuel, charismatique, ténébreux apollon, pouvait poser un regard différent… Certes, tendre, amoureux… Tu ne pouvais en douter… Seulement, Ryan n'était guère Montgomery… Ce n'était à lui, que tu te sentais prête à te donner, ainsi… Corps et âmes... Que sincèrement, tu vouais de tels sentiments… Au point de te rendre folle à lier, te faire courir à ta perte… Irrémédiablement, te damner… Mais ton séduisant, envoûtant, charmant médecin, à la carrure magnifiquement élancée, musclée… Imposante, parfaite… Est-ce que, seulement, il t'accepterait, te prendrait tout entière ? Est-ce que tout autant, sincèrement, il t'aimerait ? Aussi passionnément, que toi, tu l'étais ?





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    /i\ note personnelle /i\ : Clique sur le mot « collier » , ainsi que « robe », et regarde ce qui se passe ! I love you ! (Ivy) 2931465167 I love you ! (Ivy) 1177764002 I love you ! (Ivy) 1450611630 I love you ! (Ivy) 1038262632
Ryan Kane
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Mes autres personnalités : Cole Cooper/ Max Davenport

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Statut Civil : En couple avec une magnifique Blonde
Emploi : Chef des urgences
Habitation : Appartement / La glebe

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# Mer 10 Jan - 11:50
I LOVE YOU!
« Ivy ? »

Oui pas de doute c’est bien elle. Elle se tenait la devant toujours aussi belle et divine. Que le monde m’en soit témoins que j’ai envi de lui sauter dessus, et lui faire une démonstration de mes talents. La voir la devant en ne disant simplement, mon prénom et me souriant, c’est une torture de rester maître de mes actions. Mais elle me demande de lui laisser quelques instants, je la laisse ainsi entrer, puis pris dans un tourbillon de folie nos lèvres se retrouve enfin, pour ne presque plus s décoller, nos langue jouant l’une avec ‘autre, non jamais je n’ai ressentiment avec une autre femme, je dis bien aucune.

Je n’ai aucune honte pour avouer que bien rapidement, elle moi nous retrouvons nu, nous contemplant l’un l’autre. Imprimant dans mon esprit chaque parcelle de son corps divin. Une seule chose n’allait pas. Je m’approche d’elle  et lui enlève ce fichu collier, qui n’est pas fait pour elle, elle à pas besoin de bijoux pour être jolie. Puis je lui prends sa  délicate main et l’emmène dans ma chambre, la plaquant contre les murs afin de lui volait de délicieux baiser. Afin de ne pas être déranger par Cosmo, je refaire la porte derrière nous. Je la pousse légèrement sur lit, pour encore l’observer. Je me délecte ainsi de ses courbes, la nature fut adorable avec elle. Puis comme un éclair qui me tape, je me redresse et cache mes parties intimes, regardant comme paniqué autour de moi. Sans aucune explication, j’enferme dans un tiroir de ma table nuit certaines photos que j’avais mis ici et là :

«  Désolé ca risque de me bloqué, avoir le regard de certaines personnes ne me ferait sentir mal à l’aise »

Puis état un peu plus serein, je m’approche d’elle afin de m’allonger sur elle, précautionneusement, la recouvrant de baiser et de léger souffle chaud. Sa bouche, sa mâchoire, son cou, ses seins, son ventre, son nombril, ses cuisses et son entre jambe, ou je m’amuse à faire monter la température, avant de revenir pare le même processus à sa bouche. Je n’arrive pas à me passer d’elle. Je ne veux pas lui demander si elle veut toujours qu’on le fasse, j’ai trop peur qu’elle me dise non, mais de toutes façon elle donne aucun signe de vouloir en rester là bien au contraire. L’entement j’entre tout doucement en elle et lui montre ce que je sais faire, j’ai pris tellement de plaisir dans mon bureau l’autre jour, que maintenant je lui faire plaisir à  elle.  Je fais appel à toute ma palette de talents en la matière, pour qu’elle comprenne qu’avec elle ce n’est pas que physique, oui j’ai l’impression que cupidon à décocher une de ses flèches en plein cœur. J’ai envie lui dire c’est trois petit mots, mais est cette une bonne idée ?

Je lui caresse son visage de porcelaine, sa chevelure de miel, lui remet ses mèches derrière ses oreilles, et embrasse ses lèvres délicieuses. Je sais pourquoi mais avec elle c’est vraiment inoubliable, je sais que depuis la naissance de Jackson, j’ai fait abstinence, mais ressentir ça, les années de chasteté non rien à voir. Après quelques minutes hors du commun, je lâche malgré  moi un petit râle de plaisir et roule sur le coté aux anges et en nage, un sourire Béa sur les lèvres, reprenant peu à peu mon souffle :

« Ivy tu est unique. Je constate que tes talents sont plus grand que ce que tu laisse entrevoir, tu veux que je te dis, laisse moi quelques secondes et on reprend je ne suis pas sur qu’en une seule fois toi et moi sommes satisfait »

Facon détourné de lui dire, que j’ai encore envie d’elle. J’éclate de rire, roule su un côté lui prend sa bouche de nouveau posant délicatement ma mains sur son sein frémissant, après quoi en plongeant mon regard de braise dans ses yeux, grand ouverts, effleurant chaque courbes de son corps de mes mains brulante.
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Statut Civil : Femme mariée. Âme écorchée, tourmentée par les années passées, rôdé aux désillusions néfastes, permanentes, aux déceptions simultanées, imminentes. Tu te sens trahie par l'infidélité désinvolte, inlassablement répéter par ton imbécile de mari, pour le moins violent à ton égard... Tu te sens rejetée, mal-aimée... En parallèle, tu cherches désespérément à te reconstruire, à penser un peu à toi. Mais tu ne désespères pas... Un jour, tu trouveras ton âme sœur, qui sait ? L'amour te tombera dessus, sans que tu ne t'y attendes réellement... En attendant, tu profites simplement de l'instant présent.
Emploi : Designer d'intérieur en chef. Désir insatiable de contrebalancer ce passé chaotique, à travers une large palette de chaudes couleurs, sur les meubles tamisés. Dont l'obscurité menace de te submerger. À défaut d'effacer le mal que tu as pu causer et qui hante depuis, tes pensées embrouillées... Tu ne pourras jamais réaliser ton rêve le plus cher, il est vrai... Tu n'es qu'un pion sur l'échiquier, une simple vis, au sein d'une machinerie, bien plus grande que tu ne l'es...
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# Mar 16 Jan - 16:35



La chaleur inéluctable, qui embaumait, agréablement, la spacieuse chambre du séduisant, charmant, charismatique, romantique apollon à la carrure magnifiquement élancée, gracieuse… Des plus imposantes et musclées ; qui te faisait irrémédiablement vibrer… Qu'harmonieusement, tu convoitais follement… Les fortes pulsions, le désir affriolant, montant progressivement… Se filtrant inlassablement dans vos veines, comme le sournois venin d'un serpent… Se faisant palpable, tambourinant, telles vos âmes liées à jamais, dans vos cages thoraciques, au point d'imploser, colorer les murs, de son amère odeur de rouille - tu devenais folle à lier, il est vrai… Plus vos délicates lèvres se touchaient, s'effleuraient mélodieusement, plus tu sentais, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, l'enivrante luxure, la passion t'irradier…

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# Jeu 25 Jan - 17:28
I LOVE YOU!
Je t’aime. Trois petits mots avec un grand pouvoir. A la fois désiré, mais aussi il fait peur. Certains l’attendent indéfiniment, et certains fuis en les entendant. Dit dans des situations tout aussi différentes les une que les autres. L’adrénaline y joue beaucoup, la peur de mourir, l’euphorie, la peur, bref c’est tout petits sont capable de nous mettre dans une joie unique ou au contraire de nous faire perdre pieds et nous envoyé au fond d‘un abysse de crainte. Dire je t’aime c’est un engagement sentimentale qui peut nous lié à la personne à qui on le dit. Mais là dans la situation qui nous intéressé, pourquoi à t’elle vraiment dit cela, l’euphorie du moment de ce qu’on venant de faire et s’apprêté à le refaire. Est –elle sincère ? Je fais partie de ces hommes qui non pas peur d’entendre c’est trois mots adorables.

Les mots d’Ivy combiné à sa voix me firent sourire. Et tu rouler sur elle, te retrouvant au dessus, dans le rôle du dominant, et c’es bien comme ça que tu aime. Plongeant ton regard dans le sien, comme pour voir au fond de son être, sonder le tréfonds de son âme, posant tes lèvres sur les siennes dans un tourbillon de sensation, de ressenti et d’amour. Déposant un nouveau baiser sur sa mâchoire. Savourant le fait de la faire languir, souriant vraiment. Revenant à sa hauteur pour bien voir son visage :

« Ca tombe bien, parce que moi aussi, Ivy je t’aime »

Si elle avait eu peur de me dire ces petits mots, j’espère qu’elle comprend ainsi que mes sentiments pour elle sont vrai. Elle n’avait aucune crainte à avoir. De mon côté avoir dit ces mots, ne m’inquiète guère car, je sais ce que je ressens et j’en ai pas peur. L’amour revêt plusieurs formes. Celui filial envers Jackson, celui unique vis-à-vis de Bleu, sans condition face à mon père, fort malgré l’éloignement avec ma mère, complice avec mon frère à Boston, et celui qui transcende tout qui donne la force de continué envers et contre tout, contre vent et marée, celui que je suis prêt a offrir à Ivy.

J’avais chaud, je transpiré… en somme je n’étais pas à mon avantage et pourtant, c’est dans la pénombre de cette pièce où nous avions partager un plaisir charnel, bien trop longtemps continue, que nous avions par c’est trois petit mots seller notre amour, mais n’y tenant plus, je repris ce que nous avions déjà fait e y mettant toujours plus de passion, d’amour et de délicatesse. Etant plus fiévreux et encore plus amoureux, remettant une de ses mèches derrière son oreille, lui faisant l’amour en l’observant, captant la moindre de ses réactions. Alternant des baisers et des caresses. Ramenant ses mains au dessus de sa tête, la chevelure doré tout en mêlé et ma crinière brune ébouriffé, bien loin de la tenue impeccable que j’arbore dans la vie de tout les jours et à mon travail. Et dans un coup de reins, je nous fais rouler, me retrouvant en dessous et elle au dessus. Oui j’aime être le dominant, mais avec elle, je me sens prêt à lui laissait les commandes de me faire dominer.

A ce moment précis, ou le temps semble être suspendus ou nos regard se captent l’un et l’autre dans un battement de cils, dans un souffle chaud à la limite de chavirer encore une nouvelle fois, mon regard brillant d’une étincelles, non que dis je d’une flamme qui brûle de désir et d’amour renouvelé pour cette fille. Pourquoi cette jeune femme rencontré via une jeune patiente, avec qui j’ai échangé un café, à qui j’ai offert un baiser sur un trottoir au point de passer un moment unique dans mon bureau, avait elle, plus qu’une autre volé mon cœur et mon âme. Au cour de ma vie de médecin, j’ai rencontré une multitude de personne de la gente féminine, et aucune ne m’avait déclenché ceux qu’elle à réveillé en moi, par un regard réparant ce que la mère de Jackson avait détruit. Au grand jamais, je n’avais mit mes principe à la poubelle pour quelqu’un, mais pour elle, je l’avais fait, c’était bien une femme marier, que j’avais désirée et que j’vais eu, et pourtant je ne ressentais aucun tord ni aucun regret bien au contraire. Après une nouvelle union de nos corps, je pouvais constater grâce aux l’interstice des volets qu’une douce lumière filtrée. La nuit a fait place à une nouvelle journée. Deuxième journée de repos, et a part aller chercher Jacskon se soir à l’école et passé la soirée avec lui, on programme était simple, profiter d’Ivy encore et encore…
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# Mer 31 Jan - 17:18



Faire fortune, bon cœur, voir le verre à moitié plein… Prendre des décisions, qui marqueront, à jamais, notre existence salvatrice, ensemble… Faire des compromis, reconnaître de ses erreurs, s'améliorer… Lutter, envers et contre tous… Se rendre compte de l'essence même, du nombre d'épreuves à traverser, tel un torrent brumeux, circulant, abondant… Sachant que la chute peut se montrer déferlante, que cela peut nous briser… Dire « je t'aime » en prenant risque de tout envoyer valser… De se réduire au silence, si la situation ne devient que trop lourde, pénible à supporter… De peur de blesser, de braquer l'autre… L'amour, ce n'est guère si aisé que cela… Il t'aime, elle ne t'aime point… Ou vice-versa… Si seulement trouver la réponse, la clef du bonheur, était aussi facile, simple que de cueillir des pétales, sur une marguerite… Comme tout jeune enfant, dans les joies ; l'innocence de la jeunesse éternelle, en résultait… Beaucoup de petites gens, en ce vaste monde, ont des idées préconçues, arrêtées… S'implantent dans leurs esprits embrouillés… Parfois, même, esseulés, des idées toutes tracées, sur ce que devrait être l'amour, faire ses compromis… De verser de l'eau dans son vin, quand la mesure l'exige… À quoi tout ceci devrait ressembler et comment diantre, il devrait se faire sentir, ressentir, il est vrai - la plupart du temps, ces idées se veulent tout à fait faussées… Et nous pouvons irrémédiablement en remercier les comédies romantiques, les téléfilms de Noël, pour cela ! Oui, c'est totalement sarcastique, quand tu songes cela ! En conséquence, certains d'entre nous, pourraient ne pas reconnaître la véritable situation, les sentiments forts, sincères… Ceux qui surpassent tout, nous aident à tenir, à chaque seconde durant, au demeurant, quand elle se présente… C'est, sans nul doute plausible, à cause de ses grandes visions d'amour, ce concept, qu'on se permet de l'édulcorer... Qu'on les remanie à notre sauce, au fond de nos êtres... À n'en guère douter… Tout comme cela peut, parfois, semblait devenir le résultat inéluctable d'avoir été que trop détruit, déçus, jadis… À un point tel de s'en dresser des remparts, des murs de pierres ruisselées, lorsqu'il s'agit de donner son cœur, son âme... De l'amour à foison, ou encore, de le concevoir, certainement… Le fait est, que l'amour… Dire « je t'aime » est une affaire délicate… Magnifique, séduisante, passionnée, bien souvent… Mais fort bien complexe. Tu l'admettais… Une personne proche, qui plus est, peut vous avouer qu'elle vous aime, sans réellement le songer… Ou bien, une autre peut certainement vous chérir, vous respectez… Vous acceptez… Vous aimez profondément. Tel que vous êtes ; mais ne point se sentir prête, à vous le révéler, trouver le terrain d'entente idéale, pour vous… Faire des concessions… De réaliser le grand saut… L'amour, aussi beau, chatoyant, fusse-t-il, peut se montrer des plus effrayants, paralysants, sur l'instant, oui… De nombreuses personnes restent sur leurs gardes, jusqu'à-ce que l'autre lève son voile carmin… Qu'elle demeure certaine de ce qu'elle ressent, au fond de son être, de sa frêle silhouette… Cela parait bien plus simple, plus évident... La meilleure des solutions à nos orbes vitreux… D'une certaine manière, afin de mieux s'y préserver… Pour ne plus avoir à souffrir, à être blessé, plus que nécessité… Le souci étant, que, lorsque vous êtes pris à tenter de savoir, par vos propres moyens, si cette dernière vous aime sincèrement… Aussi profondément que vous, vous ne pouvez plus répondre présent, demeurait totalement objectif, dans cette relation… Au lieu de vous unir, de vous avouer, mutuellement, la seule, l'unique… La folle vérité… De rester connectés, soudés, face à l'adversité, vous vous sentez coincer dans la stratosphère… Piéger entre deux hémisphères… Baigner, inlassablement, dans quelques liqueurs amères… Retenu prisonnier de ses parois de verres, se reflétant aux dépens de vos esprits torturés… De ces viles pensées furibondes, qui vous inquiètent, vous travaillent, plus que de raison… Ces effroyables pensées, produisant des rubans de peurs incandescentes, des insécurités foudroyantes… Rôdant, tels des spectres ailés, à la lisière de nos subconscients… Nous empêchant, finalement, d'obtenir l'amour que l'on désire tant, follement… Au fond, vous le savez pertinemment… Il n'y a point de solutions, de remèdes miracle… C'est à vous et vous seuls de percer ce mystère voilé, bien enfoui… Ce qui casse les tabous… Il suffit, simplement, de prendre le courage nécessaire, de se le révéler… D'expliquer nos sentiments… Que la situation demeure sous de doux auspices… De tomber sur la bonne personne, également... Celle qui tentera, tout autant, de saisir l'essence même de vos propos, de ressentir la même chose. Il est vrai… De prendre patience, de vous écouter, de vous rassurer. De vous soutenir, autant que faire se peut… D'où le fait, qu'à tes orbes bleutés, quand tu avoues, que ce serait envers et contre tous, contre vents et marées, c'est bel et bien le cas… L'amour que tu portais envers ton cher et tendre Ryan… Celui qu'il partage tout autant, de son côté, surpasse tout… Avec lui, tu te sentais heureuse, épanouie... Enfin, rassurée… Accepter… Aimer, pour tout ce que tu demeurais, tout ce que tu représentais. Il est vrai… Tu te sentais littéralement pousser des ailes, irrémédiablement capable de déplacer des montagnes… D'être là pour lui, pour son fils, notamment… Parce qu'il avait réussi, par un simple regard échangé, un langoureux baiser passionné… De tendres mots et secrets révélés… Non sans nulles hontes ou peurs, de montrer une facette fragile, de sa charmante et parfaite personnalité… Rebouchant tes nombreux heurts, de ton âme damnée… Te comblant, bien plus que tu n'osais l'avouer… Parce que, petit à petit, il t'aidait à ressortir de ce trou noir et béant, dans lequel, sciemment, tu avais glissé… Il calmait tes soupçons, tes peurs lancinantes… Chassant la noirceur que tu avais connue, il y a maintes années, désormais… Et que tu te sentais d'autant plus armée, préparer à lui retourner la pareille. Sans nulles conditions… Tu lui offrais ta vie, ton amour, ton âme. Ton corps… Tu lui donnais tout. Parce qu'il demeurait bien la seule personne, en ce bas-monde de chimère, monde de misère, dans lequel tu te méconnais, qui ne craignait cela… Que toi aussi, à son égard, tu ressentais la même chose… Alors, oui… L'amour… Avouer « je t'aime » , c'est compliqué… Mais, quand on vous aime profondément, sincèrement - d'un amour indestructible, puissant… De cela, vous finissez, bien malgré vous, par le savoir… C'est une évidence... Et, pour tout le monde, se trouvant dans votre existence, votre vue enchantée, vous connaîtrez un sentiment de paix, de sérénité… Quand quelqu'un vous aime réellement, sa façon d'être, son comportement, à votre propre égard, ne susciteront en vous-même, des sentiments d'insécurité, de craintes constantes… D'anxiétés, de mélancolies sidérées… De quiétudes vicieuses… Évidemment, si vous demeurez en bonne santé émotionnelle ! Si vous êtes enclin à ressentir tout cela… Tous ces forts sentiments… Peu importe lesquels ; dans quelles circonstances, elles sont présentées… Du moment que cela soit généré par vous… De ces épreuves, vous pourrez les surmonter… T'en mettais ta main délicate à couper… Si vous ne le croyez guère, vérifiez par vous-même, et voyez d'où le problème… L'origine de vos tourments, résidant sombrement, à la lisière de vos inconscients… Habituellement, lorsque de nos tripes, nous nous sentons mal à l'aise - comme si le tapis, vint à se retirer, vous faire trébucher, de vos frêles silhouettes… Promptement… Sans que vous n'en contrôliez plus votre chute déferlante, cela démontre que la relation que vous entretenez avec votre partenaire, ne se tient sur un terrain stable, qu'il ne peut être aussi puissant, équilibré que vous ne le songez… Et parce que, bien souvent, également, l'autre petite gens, n'est point certaine, non plus, de son côté, de ce qu'elle ressent… Ou ne se sent, tout simplement, point faite pour l'accepter, gérer tout cela… Par peur de mal faire, de blesser l'élu de son cœur… De franchir une nouvelle ligne, s'aventurer vers l'inconnu… Dans tous les cas, tu le certifiais, désormais : quand quelqu'un vous aime réellement, il le prouve, vous le montre, sans conditions… Et vous le savez pertinemment… Bien avant qu'il ne puisse parfois, vous l'avouer, même…


Bien que tu le ressentais réellement… Que tu ne craignais guère de tes forts sentiments, à l'égard de ton cher et tendre amant, l'avoir soufflé de cette manière… Presque d'un murmure hésitant, sur l'instant présent, t'avais, toi-même, pris au dépourvu, il est vrai… Point que tu ne t'étais sentie prête à lui démontrer, le lui prouvait, mais bien parce que, même si c'était délibérément le véritable coup de foudre entre vous, à première vue, cela pourrait se vouloir précipiter ! C'est comme si, d'un certain côté, tu pouvais tout aussi bien lui dire que t'était prête à passer ton existence, tout entière, à ses côtés… D'ensemble, aménager… Par un simple coup de tête, te passer la corde au cou… Oui, en vous voyant, cela pourrait presque tourner au ridicule, faire totalement cliché ! Que tu te montrais, sans nul doute plausible, impulsive, insouciante de ce que tu pouvais aisément provoquer… Comme si tu n'avais cure des risques que cela prenait… Que tu pouvais aisément le braquer… Voir, te faire prendre pour une personne, totalement naïve, une belle idiote balafrée ! Que cela se vouait à tes propres risques et périls, qui plus est… Que, de ton âme livrée, le séduisant, charismatique, envoûtant, parfait jeune homme à la magnifique carrure imposante, musclée à souhaits, était en son droit de te mettre au supplice, te broyer… De te jeter, te mettre à la porte… Ne plus jamais, Ô grand jamais, à l'avenir, demander à te revoir, à sa vue chatoyante, enchantée… Oui, tu le consentais, tu avais sauté dans le vide, sans méditer que plus encore… Sans avoir pris de parachute, pour te sauver, comme qui dirait… Et, c'est en prenant, bel et bien, conscience de tout cela, que l'embarras te prit en traître, que tu te sentais piégée… À écarquiller les yeux - se changeant presque en soucoupes… Comme un lièvre, pris dans les phares d'une voiture… Les joues rougies, devenant pivoine… Point seulement causé par l'effort, que vous veniez de pratiquer charnellement, un peu plus tôt encore, mais bien, parce que, même si tu ne le regrettais, un seul instant, au demeurant, tu te sentais quelque peu coupable, à l'idée de le braquer, de le froisser, de quelque manière que cela soit… Parce que ce n'était encore que tout frais, pour vous deux… Avant même de faire des projets, de vous établir... De vous prendre par la main, regarder dans la même et seule direction, comme qui dirait… Car, tes attentes inespérées… Le fait de désirer aimer et être aimé, en retour, n'était peut-être point ce que le ténébreux, bienveillant, sexy chef des urgences, consentait… Voulait, tout autant ? Peut-être que pour l'heure, il désirait simplement ne point se questionner, se poser… L'envie irrépressible de s'amuser, sans pour autant poser les barrières, quelques contraintes, se faisaient ressentir, qui sait ? Et voilà, que, tout bêtement, tu sentais ton palpitant en déroute. Prêt à imploser… Tu allais presque barrer de tes mains délicates, ton doux visage, pour ne guère rencontrer le sien… Afin qu'il ne puisse te juger… Des excuses sincères, tu étais là, pratiquement, à les lui présenter… De rattraper la situation, te faire aisément pardonner… Passer outre, de lui avoir dit tes puissants sentiments… Lui révéler, qu'il n'était obligé de se sentir contraint de te les retourner, tout autant, de son côté… De tout cela, tu allais t'exécuter… Mais, avant même que tu puisses le faire, d'emblée, voilà que le charmant, romantique, sensuel, petit brun, s'était mis à rouler… T'entraînant, sciemment, dans son sillage affriolant, pour se retrouver, à nouveau, au-dessus de ton être, de ta frêle silhouette. Dans le rôle du dominant, qui faisait bien tout son charme… Te plaisait étrangement... Dans lequel tu ne voyais là d'objection certaine, pour brocher, marmonner dans ta barbe imaginaire… Tandis que tu le vis t'adresser un mignon petit rictus, sincère. Plongeant, ainsi, ses orbes bleutés, chatoyantes, dans les tiennes… Comme pour y décelait probablement, si tu ne t'amusais à ses propres dépens, tandis que tu ne faisais qu'enfoncer ta tête, dans la taie du moelleux oreiller… Comme si, bien malgré toi, tu voulais te fondre dans la masse, le décor, pour ne point avoir à confronter un quelconque semblant de malaise. Tu le confessais… À mesure que tu découvrais ses fins traits s'approcher… Profitant de ce fait, pour te voler un doux baiser langoureux, passionné. Néanmoins, que la pression retombait délicatement, par son geste tendre, affectueux, qu'avec ferveur renouvelée, tu lui retournais… Prenant, pratiquement, une grande inspiration… Posant ta main, doucement, sur sa douce joue de nacre. Te collant, que plus encore, contre lui, pour le sentir davantage… Savourer la féerie, la passion du moment… Désirant restait prisonnière, de sa folle emprise - alors qu'il te rendait totalement folle à lier… Ceci dit, qu'il en profitait, pour te faire languir, de son côté, en déposant un furtif baiser sur ta mâchoire, qui te firent autant lâcher un soupir lascif, de tes lèvres légèrement maquillées, que, dans la foulée, tu mordillais… Fermant tes iris mi-clos, sur tes paupières ténébreuses… Soufflant son nom, presque d'un murmure suppliant… Comme pour lui faire savoir, que cela ne te déplaisait point… Bien au contraire ! Mais, que tu étais prise dans les rouages de l'indécision, mélangés à ceux de la séduction… Que cela marchait totalement… Que ton sensuel, romantique, exquis, sexy apollon, de tes songes nuits d'étés, pouvait faire ce qu'il désirait de toi… Qu'à jamais, tu lui appartiendrais... « Ça tombe bien, parce que, moi aussi, Ivy, je t’aime. » Achevait-il, d'une voix posée, cristalline… Suave, sincère, qui plus est… Se fendant, bien malgré lui, d'un franc, mignon petit rictus, qui te chamboulait irrémédiablement… Te décontenancer, te mettait, agréablement, sur le bas-côté… Vous contemplant, mutuellement, avec désir et tendresse. Alors que tu avais l'âme en flamme… Que des frissons parcouraient ton échine... Te coupant presque le souffle… Peut-être parce que tu n'attendais rien de tout cela… Que ce dernier te le retourne, tout autant… Sincèrement… Sans nul doute plausible, car tu te savais parfaitement, que tu ne le méritais… Que tu n'avais plus pour habitude, certaine, de te faire accepter, aimer pour ce que tu représentais réellement… Que tu t'étais, bien malgré toi, réduite à l'idée que tout cela… Ce bonheur idéal… De vivre ton joli conte de fées… De le réaliser, le concrétiser… De le toucher, le goûter, à nouveau… Qu'un ange tombé du ciel, pour t'arracher à tes sombres, tes pénibles tourments… Tu y avais pleinement, catégoriquement, renoncer… Une bulle effervescente de mélancolie, de fieffée filouterie, tu t'étais entourée… De jouer les actrices, jouer cette vile tocade, tu t'étais, au fil des années trépassé, soigneusement ficelé… Les remparts de pierres, les briques rouges, pour protéger ton petit cœur saignant, tu les avais construits, comme un bouclier… Une sombre, solennelle forteresse, tout autour… Sous peine de ne plus guère te faire avoir, de t'amadouer… Qu'on se joue, utilise de tes faiblesses, pour délibérément t'achever… Que ton monde de chimère, ton monde de misère se désaxait, se détachait de son droit chemin, il est vrai… Dans cette torpeur lancinante, tu t'y es complu, oui… De cette magnifique, douce révélation, tu ne t'y étais préparé… Tellement point, que quelques larmes de joie, d'émotion certaine, roulaient désormais, sur tes joues de nacres… Sans que tu puisses les retenir, les conservées, plus longtemps… Tu te sentais émue, comblée… Des petits morceaux de toi, ton bel et séduisant amant, te prenait. Et, avec volupté, désir et passion reprise, de plus bel, tu consentais à le laisser faire, à lui donner… Il t'aimait, tu l'aimais… Vous vous emboîtiez parfaitement. Tout semblait à sa place constante. C'était l'homme idéal, l'amour de ta vie… Le coup de foudre, qui te redonnait force et courage, de lutter contre tous… Contre tes maigres forces… Parce que tu te sentais bien, heureuse… Épanouie, protéger… Que cela faisait bien longtemps, que tu ne t'étais sentie comme cela… Et pour trouver grâce à ses orbes bleutés… Lui exprimer, lui montrer, au quotidien, ton affection, ton respect infini… Ton amour sincère et puissant, à son égard... Lui prouver ton entière gratitude, tu le ferais, sans nulles craintes, sans la moindre petite hésitation, seulement. Il n'y avait rien de plus beaux, de plus forts, que ce qu'il avait consenti à t'offrir, sans ménagement… C'était vous, votre amour, et c'est tout… Le reste n'était qu'abstrait, indigne de tout intérêt… Vous étiez bien, là, soigneusement allongés… Dans les bras l'un de l'autre… La joute lasse de ce monde, semblait suspendue, aussi bien que les lignes usées, qui retracent votre apogée, les lignes du temps… Seuls, vous comptiez réellement… Pris dans les rouages de la passion… Avec toute l'envie irrépressible… L'affection, le respect mutuel… Arrivant machinalement, à hauteur de la salle de séjour, de la chaleureuse cuisine, où, dans un premier temps, tu y redécouvrais, en souriant comme une vile idiote, ta robe de soie, sur le carrelage chauffé. La remettant… La refermant soigneusement, de ses rubans scintillants, cristallisés… Cependant, que, sans devoir mettre le boxon, comme qui dirait… De ne faire comme si tu étais chez toi, qui plus est… Tu te mis à regarder dans le frigidaire du séduisant, attentionné, sensuel, petit brun, afin de dresser une liste… Ce que tu pouvais lui proposer de manger… Quitte à le rembourser de ses courses, si, d'aventure, cela le gênait… Tu finis alors, par trouver, sortir doucement, quelques poêles cuivrées, de leurs placards de bois soufflés, lorsque tu découvrais finalement, le jeune, charismatique médecin, te suivre - arrivait à ta hauteur, après quelques longues minutes, au demeurant... « Hey, sexy ? Ça te dirait une petite omelette, des petits fruits frais ? » Le questionnais-tu, lui soufflais-tu, d'une voix suave, cristalline, en prenant grand soin de poser l'un de ses biens, sur sa plaque chauffante, sans toutefois l'allumée… Afin de savoir si cela lui disait… Car tu désirais seulement, lui faire plaisir, trouver grâce à ses orbes bleutés, il est vrai… Tandis que tu te risquais à te retourner, croiser son doux regard envoûtant… Enroulant tendrement, tes bras autour de sa nuque… Te collant irrémédiablement contre lui, afin de mieux sentir son doux contact, son irrésistible, imposante musculature. Lui adressant un mignon petit rictus… Prenant sagement ton mal en patience, pour connaître son souhait ; de savoir ce dont il avait réellement envie… Dans tous les cas, sans le moindre ménagement, d'un simple claquement de doigts, s'il le valait, tu t'exécuterais, avec envie et bonheur. Pour sûr !

Ryan Kane
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# Mer 6 Mar - 14:11
I LOVE YOU!
Cinq ans d’abstinence, cinq ans ou je n’ai eu aucun rapport sexuel, cinq ans ou ma vie personnelle tournée autour de mon fils, cinq ans ou mon travail prenaient une grande partie de mon énergie. Cinq ans c’est long. Après le départ de la mère de Jackson, je ne voulais pas de plan d’un soir, je voulais trouver quelqu’un avec qui, je me sentirais bien, et dont Jackson ne serait pas un problème. Je cois bien, j’en suis sûr qu’Ivy est cette personne, au-delà du coup foudre, notre relation à tout pour réussir. D’ailleurs physiquement parlant, c’est l’accord parfait, et vue ma fin de journée de a veille et cette nuit, il n’y aucun doute que j’y suis pris énormément de plaisir, et vue ses gémissement et ses parole, je crois bien que elle aussi.

Je me réveille avant elle, la regardant dormir paisiblement, inscrivant au fond de ma mémoire chaque courbe de son magnifique corps, frôlant du bout de mon index chaque parcelle de sa beau. Les rayons d’or du soleil, jouant sur son être, puis tout doucement elle se réveille, je lui fais un sourire, je la regarde et sourire un peu plus à sa remarque :

« Bonjour belle au bois dormant »

Puis un petit baiser tout tendre. Je plonge mon regard dans le siens, à la fois séducteur et empreint de douceur. Je fais oui de la tête quand elle me demande si j’ai put dormir un peu. A l’entente de ses paroles sur son envie de prendre encore du bon temps me fit éclater de rire. Je sentis rapidement une de ses mains, se saisir de mon entre jambe, me procurant un grand plaisir, mais celle-ci, n’allait pas jusque bout, rappelais à l’ordre par nos estomacs. Je reste donc sur ma faim. Encore un baiser et sa réflexion me payer en nature, e arquer un sourcil, puis elle se lève, totalement nu et quitte la chambre, je ne boude le plaisir de la vue. Puis je finis par me lever une petite douche rapide j’enfile un boxer et la rejoins à la cuisine. Je m’approche d’elle alors qu’elle avait déjà sortit une poêle. Mais elle l’a dépose vite et passe ses bras autour de ma nuque. Elle me propose une omelette :

« Tout ce que tu veux, cela fait bien longtemps que quelqu’un n’est plus cuisiné un petit déjeuner, en général c’est juste un café et moi qui le prépare pour Jackson »

Je lui vole un petit baiser, et me libère de son étreinte afin qu’elle de remette aux fourneaux je lui sort en plus des œuf du bacon, puis une carafe de jus fruit pressé de la veille, Jackson aime pas les boissons en brique à par du jus de pomme ce que je lui explique, je sort deux verres, deux s et couverts, puis me met à la préparation du café et sort de grande tasse, même si son omelette va être divine, je peux pas faire sans café. Je sors tout ce qu’on peut rêver, céréale, lait, petit brioche, pain, beurre, pate à tartiné et confiture, je en sais pas ce qu’elle aimerait prendre :

« Désolé j’ai pas de viennoiserie fraiche, je peux descendre aller en chercher si tu veux ? »

Sincèrement je pense que vu tout ce que j’ai sorti elle va y trouver son bonheur sans e faire sortir. Ont finie par s’installer à table et savourer la délicieuse préparation. Effectivement c’est trop bon, avec un sourire j’avale les derniers morceaux. Puis je regarde Ivy l’air grave, le moment est venu d’aborder un sujet délicat :

« Ivy, toi et moi on va où ? J’ai un fils. Il est pour moi la personne la plus importante de tout l’univers. Je ne veux lui faire rentrer dans sa vie une personne qui ne compte pas rester, le coup d’un soir non merci. Je te dis ça car je sais que tu es marié, je ne veux pas être un briseur de ménage. Tu en où dans ton couple ? »

Ca peut paraître cavalier de parler de cela, de bon matin, juste après une unique nuit ensemble, mais vu ce qui c’est passée, je crois avoir compris que tout comme moi elle n’avait plus rien fait depuis un moment et qu’elle s’est abandonné a moi entièrement sans retenue.



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Statut Civil : Femme mariée. Âme écorchée, tourmentée par les années passées, rôdé aux désillusions néfastes, permanentes, aux déceptions simultanées, imminentes. Tu te sens trahie par l'infidélité désinvolte, inlassablement répéter par ton imbécile de mari, pour le moins violent à ton égard... Tu te sens rejetée, mal-aimée... En parallèle, tu cherches désespérément à te reconstruire, à penser un peu à toi. Mais tu ne désespères pas... Un jour, tu trouveras ton âme sœur, qui sait ? L'amour te tombera dessus, sans que tu ne t'y attendes réellement... En attendant, tu profites simplement de l'instant présent.
Emploi : Designer d'intérieur en chef. Désir insatiable de contrebalancer ce passé chaotique, à travers une large palette de chaudes couleurs, sur les meubles tamisés. Dont l'obscurité menace de te submerger. À défaut d'effacer le mal que tu as pu causer et qui hante depuis, tes pensées embrouillées... Tu ne pourras jamais réaliser ton rêve le plus cher, il est vrai... Tu n'es qu'un pion sur l'échiquier, une simple vis, au sein d'une machinerie, bien plus grande que tu ne l'es...
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# Mar 2 Avr - 19:21



Vêtue du seul vestige, que tu avais porté la veille… T'attelant dans la spacieuse cuisine, où tu venais d'analyser, parcourir de tes orbes bleutés, son frigidaire, afin de lui demander son précieux avis, si une omelette, lui ferait envie, voilà que ton cher, séduisant, romantique apollon à la carrure magnifiquement imposante, musclée, se pointait, arrivait à ta hauteur. Te contemplant dans un silence qui n'était troublé que de par vos respirations lentes, régulières et presque unies ; à mesure que tu passais finalement, tes frêles bras autour de sa nuque. De souffler, de le questionner, sur le sujet... « Tout ce que tu veux, cela fait bien longtemps que quelqu'un n'est plus cuisiné un petit-déjeuner. En général, c'est juste un café, et moi qui le prépare pour Jackson. » Te retournait-il, d'une voix cristalline, posée. Des plus mélodieuses à souhait, cependant, que tu haussais quelque peu les sourcils, perplexe, intriguée… Te sentant des plus stupéfaites, pantoises, il est vrai… Comment, diable, cela était-il plausible ? Toi qui avais pour coutume d'entendre les experts, se trouvant dans les journaux, les magazines de nutritions… Les médecins avouaient que le petit-déjeuner se voulait des plus importants repas, de toute la journée. Qu'il était fortement recommandé de ne point vraiment le manquer. Certes, tu pouvais aisément saisir l'essence même, que, pour ta douce et tendre moitié, le temps le fuyait… Que tous les matins, cela devait être la course à l'échalote, la course contre-la-montre, comme qui dirait ! Et cela te désolait, plus que de raison, de le découvrir, dans cet état-là… Naturellement, il avait la cafétéria au sein de l'hôpital, mais tu te doutais pertinemment, que ce ne devait être le genre de ton charmant, envoûtant et parfait Ryan, de s'établir, s'attarder davantage, dans ce petit coin de détente... De bien se nourrir, recharger les batteries, pendant que de nombreux patients attendaient, angoissés, leurs sorts… Tu le consentais… Tu allais devoir remédier à cela ! Quitte à lui faire une petite boxe-lunch, s'il le faille ! Naturellement, si ce dernier le désirait, te laissait une petite place dans son existence salvatrice, ainsi que de son tendre fils… Tout bonnement, dans sa vie de famille… Bien qu'au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu n'étais ce genre de jeune femme à t'imposer… À découdre, pour n'atteindre que le simple statut de pièce rapportée ! Tu serais prête à bien des choses : soulever des montagnes… Lutter contre vents et marées, pour les préserver… Trouvé grâce à leurs iris chatoyants, il est vrai… Sans te permettre, toutefois, de les blesser, de quelque manière que cela soit… De les piéger, qui plus est... « Vraiment ? Cela me surprend, je te l'avoue, sexy… Ne dis-on pas, justement, que c'est l'un des repas les plus importants de la journée ? Qu'il est peu judicieux de le louper ? » Lui rétorquais-tu, d'une voix suave, chantante, bien que surprise, tout autant… Avant même de te marquer d'une légère pause, seulement… Lui adressant un mignon petit rictus, à mesure que tes billes bleutées louchaient entre les siennes, ainsi que ses fines lèvres… Dont l'envie irrépressible, irrémédiable de lui voler un doux, délicat baiser, se faisait ressentir… Tandis que tu te risquais à effleurer ses cheveux scintillants, légèrement, ébouriffer. De lui caresser, délicatement, sa douce joue de nacre, de tes petits doigts de fées... « Hum, hum… Nous allons devoir remédier à cela, docteur Kane... » Ajoutais-tu, finalement… Souriant toujours, comme une idiote balafrée… Avant même que ton attentionné, avenant, charismatique et parfait amant, puisse lire dans tes pensées… T'arrachant de ta rose torpeur flamboyante, sidérée… Te volant un furtif, mais délicat baiser, qu'avec passion, un plaisir certain, tu répondais, lui retournais… Néanmoins, que ta douce et tendre moitié en profitait pour se libérer, délicatement, afin de t'aider dans ta tâche ; sortant de conteneur glacé, des œufs, du bacon… Un tendre geste, dont tu lui exprimais ta gratitude, dans la volée… Prenant, par la même occasion, un jus de fruits, fraîchement pressé… Dignement contenu, dans une carafe, aux fins motifs cristallisés… Néanmoins, que ton éloquent, sublime Ryan, te révélait que son innocente, charmante progéniture adorée, le préférait à ceux qui demeuraient dans des briques cartonnées, fragilisées… À l'instar du jus de pomme, qui faisait exception… Une douce révélation, qui ne manquait guère de te faire lâcher un léger éclat de rire. Avant même de lui révéler, que ce cher petit, avait de bons goûts, déjà, pour son âge ! Te faisant songer, que, toi aussi, quand tu n'étais point plus haute que lui, à cet apogée doré… Dans l'âge et l'innocence de cette jeunesse florissante, qui t'attendait, tu avais demeuré de la team « bouteille authentique » aux frais breuvages pressés… Et sans la moindre once de pulpe, s'il vous plaît ! Il n'y avait meilleur que cela, qui plus est ! Et tandis que le débat était dynamiquement lancé… Que tu préparais sagement l'omelette, les petits morceaux de viandes - verser dans deux petits ramequins, quelques fruits, délicatement coupés… Non sans te jouer les fins cordons bleus, te valoir comme une cheffe étoilée de renommée, tu avais d'usage certain, de vêtir une soignée, parfaite présentation, dans les assiettes de porcelaines, cependant, que, du côté de ton tendre, passionné chef des urgences, une magnifique table, y était harmonieusement dessinée… Ayant même sorti le grand jeu, de quoi rassasier vos estomacs… Combler vos papilles, au travers de céréales craquelées… Du pain moelleux, finement coupé en fines tranches, une brioche dorée, accompagner de quelques pots de confitures, deux grandes tasses de café fumant… De quoi passer un doux moment, rien qu'à vous deux, au demeurant… Mon Dieu, qu'il était parfait ! « Désolé, je n'ai pas de viennoiserie fraîche… Je peux descendre aller en chercher, si tu veux ? » A ces quelques paroles, sagement, balancer… Ces délicates attentions, qui te touchaient, plus que nécessité, tu ne pus t'empêcher de secouer la tête, frénétiquement. Lui répondant par la négative, tandis que tu apportais vos assiettes, sur la table de bois soufflée… Avant même de t'autoriser à lui déposer, une fois de plus, un tendre baiser, sur ses fines lèvres, dans la volée… Posant délicatement, tes mains fines, sur sa large poitrine bombée. Comme pour lui insuffler un quelconque semblant de confort, de réconfort. « Tu n'as vraiment pas à t'excuser, mon chou. Tout est absolument parfait. Tu es parfait ! » Consentais-t, à lui avouer, presque d'un léger murmure, tout en te fendant d'un mignon petit rictus. Avant même de te permettre d'un léger mouvement de recul, pour l'admirer tendrement, passionnément ; t'attardant sur chaque trait délicat de son doux visage envoûtant, pénétrant… De sa carrure magnifiquement musclée, imposante à souhaits - de chaque trait et forme, parfaitement proportionnés, dont tu retenais gracieusement, dans ta mémoire, fort bien vive, délicieusement en alerte… À n'en guère douter ! Tu serais presque tenté de t'amuser à lui sortir un jeu de mots plutôt salace, mais tu ne savais comment il réagirait face à cela… D'autant plus que cela briserait la féerie du moment… Alors que ton bien-aimé, avait fait en sorte que ce bel instant, n'en demeure point moins tendre, romantique, divin… Quelle vile créature, serais-tu, pour te permettre une chose pareille ? Au lieu de quoi, tu tentais de te rattraper, subtilement. L'air de rien… Le remerciant chaleureusement, tendrement, de se montrer aussi charmant, romantique, attentionné… D'avoir quasiment tout sorti, tout préparer. Juste pour vous, pour vous faire plaisir, plus que nécessité… Cela faisait fort bien longtemps, qu'on avait pris ce genre de peine, de partager une matinée, un moment féerique, coincer à jamais dans la stratosphère… De te supporter, le temps d'un déjeuner… Point même, tu ne vivais cela, à ce jour, avec Monty… Si ce n'est que vous viviez, quelques fois, en décalé… Vous, qui n'étiez plus guère si amoureux, transis, raccordés… Et les secondes défilaient, s'égrenaient, bien rapidement, à travers ce sablier, qui marquait votre romance dorée, chatoyante… Tandis que vous vous assistiez ensemble… Que cette journée débutait, bel et bien, paisiblement… Vous échangiez, de temps à autre ; dégustiez soigneusement, le mets alléchant… Si ce n'est que tu te fendais d'un mignon petit rictus… T'appuyant de ta main délicate, de ton coude, pour le toiser silencieusement… D'observer le séduisant, charmant, parfait, petit brun, terminer de consommer les derniers morceaux d'omelette. Te sentant des plus heureuses, ravies… Voir, enchantées de réaliser, combien cela lui plaisait. Même si cela ne paraissait que bien simpliste, comme menu, certes ! Néanmoins, le fait de découvrir, réaliser, qu'il y eut de nombreux matins, où ton cher et tendre amant, n'avait pu se poser… Prendre le temps, de s'attabler, de déguster… De courir à droite, à gauche, pour être dans le timing parfait… Entre Jackson, son emploi… Sa vie de famille à gérer, et ce, vite fait bien fait, comme qui dirait… Sans avoir l'once même de souffler, se détendre, ne serait-ce qu'un seul petit instant… Tu pouvais aisément concevoir, qu'il y avait de quoi craquer ! Surtout, tu te questionnais… Comment diantre, il y arrivait… Seul ? Comment diable, aucune jeune femme, ne l'avait attiré dans les mailles de son fin filet ? De l'accepter, l'aimer irrémédiablement, lui et son charmant fils ? Alors qu'ils semblaient des personnes merveilleuses, avenantes. Attentionnées, charmantes. Magnifiques, extraordinaires. Tout simplement, parfaites ! Et tandis que tu étais dans tes pensées embrouillées, que tu portais la tasse, à tes lèvres nudes, c'est ainsi, que tu découvris, la mine, de ce sublime, tendre chef des urgences, se durcir, délicatement. Te toisant à son tour. L'air contrit. Comme si, bien malgré toi, quelque chose clochait… Comme si, bien malgré toi, une peur s'engendrait à l'est… Que votre flamboyante toile, s'assombrissait, s'effilochait… Avais-tu, seulement, commis un désobligeant méfait, dont, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu avais inconsciemment provoqué ? « Ivy, toi et moi, on va où ? J'ai un fils. Il est pour moi la personne la plus importante de tout l'univers. Je ne veux lui faire rentrer dans sa vie, une personne qui ne compte pas rester. Le coup d'un soir, non merci… Je te dis ça, car je sais que tu es marié. Je ne veux pas être un briseur de ménage… Tu en où dans ton couple ? » Se risquait-il d'achever, de te questionner, d'un ton, qui se vouait serein, posé. Bien qu'on y décelait, dans la volée, une légère pointe de crainte. À n'en guère douter… Une bombe dégoupillée, qu'il avait légitimement balancée, tu le consentais ! Une question qui manquait presque de t'étouffer, avec ton chaud breuvage, sur l'instant présent, tant tu ne l'avais réellement sentie venir, au demeurant… Bien que cela ne brisait en rien, la nature forte, sincère de tes sentiments, à son égard... Que tu ne te sentais prise de ses paroisses de verres, qui t'avait tant fait suffoquer, depuis maintes années… Cependant, ce revirement de situation te désarçonnait quelque peu… Non point parce que tu avais cherché ton bel apollon, à mieux l'amadouer, enfouir ta foudroyante duperie… La sombre vérité, que tu subissais, depuis maintes années, désormais… Évidemment que non… Tu ne t'amuserais guère à ses propres tourments… Hier, quand tu lui avais révélé, que tu l'aimais follement, ce n'était que pure vérité éclatante. Pour lui, pour son cher fils, tu te sentais encline à tout plaquer, à tout sacrifier. Juste pour eux… Pour combler ce vide indélébile, cette blessure viscérale, qui demeurait à la place du cœur - guérir les blessures du passé, pour devenir une famille unie, soudée comme jamais… De mettre ses peurs lancinantes entre parenthèses, afin de prendre le risque d'être heureux. De se faire accepter, aimer, pour ce que vous représentiez, tous trois. Après toutes ces années de souffrances irascibles, d'épreuves sidérées… Ne le méritiez-vous point, tout cela ? « Ryan, je… Je comprends parfaitement, ce que tu peux ressentir… Et pour ton fils, autant que pour toi. Crois-moi... » Consentais-tu à lui souffler, presque d'un murmure… Avant même de te marquer d'une légère pause, seulement… De poser le mug, délicatement… Tu inspirais profondément, afin de rassembler toutes tes forces, tout ton courage nécessaire, pour lui expliquer tes raisons, ta vérité… La plus louable de tes intentions, de tes sentiments. Pour lui. Pour eux… Tu le lui devais bien, après tout… Après tout ce qui venait de se passer, hier, cette nuit… Non ? « Je n'ai nulles intentions de troubler, de briser la vie, l'équilibre... La famille, que vous êtes... Que bien malgré toi, tu as forgé avec Jackson, et je ne désire encore moins de jouer avec vos sentiments… Tu n'as aucune raison d'avoir peur pour lui, pour toi… De songer, que tu joues les trouble-fêtes, envers… Mon couple… Bien au contraire... » Lui révélais-tu, sans ménagement. Sans la moindre rancune, la moindre crainte… La moindre petite amertume, au demeurant, qui te ferait, sans nul doute plausible, serrer les dents… À mesure que tu te risquais à approcher ton doux visage, du sien. De te noyer dans l'intensité de ses orbes bleutés… Tout autant que tu posais délicatement ta main sur la sienne. Comme pour lui assurer un semblant de confort, lui montrait qu'il n'y demeurait nulle supercherie, de vile tocade, que tu montais derrière tout cela... « Je ne cherche pas à te cacher la vérité, mais… À dire vrai, cela fait bien longtemps, qu'avec mon mari, cela ne va plus, qu'il n'y a plus de sentiments du tout… En réalité, j'ai déjà fait toutes les démarches pour le divorce. Il suffit, simplement, d'avoir sa signature, pour clôturer tout cela, officiellement… J'essaie seulement, de trouver le bon moment, pour que ça se fasse avec le plus de douceur possible... » Ajoutais-tu, le plus discrètement plausible - d'une voix, que tu tentais, la plus sereine, plausible… Cela paraîtrait que trop sombre, trop futile d'aborder ce sujet délicat, que plus en détails… Ryan n'avait point à découvrir tout l'envers du décor, ce qui se tramait derrière ce rideau de voile carmin… Ce qui se tramait, derrière ton existence salvatrice, Ô combien tourmentée, destructrice… Tu n'étais là pour épancher ton âme meurtrie… Surtout, qu'avec lui, tu désirais simplement être heureuse, épanouie comme jamais… Te faire une place dans la vie de sa chère et douce progéniture, faire un bon de chemin, au côté de ton bel et parfait amant, il est vrai… Les préserver, envers et contre tous. Contre vents et marées… De devenir, qui sait, une figure maternelle, pour ce petit bout ? D'aimer, quoi qu'il fût, son père, si loyal et dévoué ? De vivre, tous les trois, votre joli conte de fées ? Si naturellement, le charmant, romantique médecin, tout autant, le souhaitait ? « Hier, quand je t'ai dit que je t'aimais, Ryan, je le pensais. Sincèrement. Mes sentiments demeurent toujours inchangés, depuis, et… Ce que je m'efforce de te dire, c'est que… Je ne serais pas cette personne, juste de passage… J'ai vraiment envie d'apprendre à vous connaître tous deux, de vous protéger… De faire tout ce qui est en mon pouvoir, pour que vous soyez heureux, que vous ne manquiez jamais de rien. Que vous soyez comblés… De vous accepter, vous aimez réellement, pour tout ce que vous représentez. Je… Je ne dis pas, que ce sera toujours évident, mais… Mes intentions, mes sentiments à ton égard, à votre égard, seront toujours sincères et louables... » Oui, dit comme cela, c'était comme si tu te vendais… Cela pourrait même se vouloir, un tant soit peu cliché… Et pourtant, tout ce que tu lui avouais, ne demeurait que plus puissants, plus véridiques, encore… La veille, quand tu t'étais pleinement offerte à lui… Corps et âme... Que tu la lui livrais, sur le pâle billot, ce n'était que vérité… Libre à lui, de faire de toi ce qu'il désirait… Quitte à te mettre au supplice, te broyer... « J'ai envie de faire ce bout de chemin avec vous. Qu'on soit heureux, si, toutefois, tu veux bien me faire une petite place, parmi vous ? » Achevais-tu, finalement… Cherchais-tu seulement, à trouver ou non, son approbation… Si ce que ce séduisant, charismatique, bienveillant, parfait apollon à la carrure magnifiquement imposante, musclée désirait… S'il se sentait prêt, tout comme son fiston, à prendre quelques risques, faire quelques concessions… De t'accepter, de t'aimer, autant que tu l'aimais follement en retour… De vous lier à jamais. Tous trois… De vous respecter, vous chérir… Vous soutenir, quoi qu'il fût. Face à l'adversité… De vivre votre passion, votre histoire idyllique… Façonnée à votre image, votre façon… D'être la famille idéale, rêvée. Même si elle en deviendrait comme toutes autres, des recomposées… Et ton palpitant cognait, tambourinait dans ta cage thoracique, au point d'imploser ; en attendant patiemment son avis, son important verdict… La balle était désormais de son côté…


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# Lun 8 Avr - 13:11
I LOVE YOU!
J'écoute avec attention et intérêt les paroles d'Ivy. Aucune ne m'échappe. Comme on dit, je n'en perds pas une miette. Il faut dire que ses réponses à mes questions vont avoir un impact sur l'avenir de notre relation. Évidemment, elle dit les mots qu'il faut. Je pose alors sur elle un regard doux, bienveillant, intense, brûlant de désir. J'ai envie de la sentir au creux de mes bras. Qu'on s'offre encore et encore l'un à l'autre comme cette nuit torride.
 
 
S’il n'y avait pas cette table entre nous, je crois que je lui aurais sauté dessus. Heureusement, la bonne odeur de l'omelette me rappelle à ma place et à l'écoute de mon estomac qui crie famine. Bouché après boucher, les talents d'Ivy ravissent mon palais. Espérant que le jus d'orange pressé du matin lui plaise à elle. Bizarrement, le simple fait de partager ce petit-déjeuner avec elle me transporte de joie. Une fois le repas fini et la vaisselle dans la machine, je lui pose une question :
 
"J'ai envie qu'on retourne dans la chambre et toi ?"
 
Mon regard espiègle et mon sourire taquin en disent long sur la suite du programme que j'envisage :
 
"Je suis de repos aujourd'hui, et libre jusqu'à seize heures."
 
Mais la chambre est trop loin. Je soulève la jeune femme et la dépose sur la table et l'embrasse fougueusement et décide que la table n’est pas si mal pour accueillir un de nos ébats, qui se poursuit par un autre dont le couloir est témoins, avant de retrouver une nouvelle fois la chambre, évidemment entre chaque ébat, je suis obligé de faire une pause, c'est grâce à ces pauses qu'on atteint la chambre.
 
Après une énième partie de galipettes, à bout de force, je m'endors. Je me réveille quelques heures plus tard, pas loin de midi, ma belle dort encore, sa tête posée sur mon torse. D'ailleurs, cette dernière m'a laissé un peu de salive sur mes pectoraux, la demoiselle bave en dormant. La pluie qui tombe se fait plus forte et ne semble pas prête à stopper. Doucement, sans la réveiller, je sors du lit, m'habille et quitte la chambre. Et après un bref passage dans la salle de bain, pour effacer toute trace de ce liquide buccal, je passe dans la cuisine. Cette fois, c'est moi qui me mets aux fourneaux et lui fais une démonstration de mes talents culinaires. Je ne sais pas si c'est la nourriture en fin de cuisson qui la réveiller, mais cette dernière réapparaît au bon moment, elle a mis un de mes t-shirts qui lui va jusqu’aux cuisses de la fac de médecine. Elle est ravissante, un rien lui va :
 
"Bien dormi ? Tu as faim ? Spaghetti bolognaise ça te tente ?"
 
Okay ce n’est pas de la grande cuisine, mais quand une beauté comme Ivy est chez moi, l'alimentation n'est pas ma préoccupation première. Après cinq ans d'abstinence, ou j'ai bien mangé, un repas rapide n'est pas un souci. Pendant que je prépare le tout et qu'on mange, on parle. On apprend à se connaître un peu mieux. Je lui parle de ma vie, de Jackson et de sa mère. De ma famille, bref, je lui parle de tout ce qui est important :
 
"Il va venir un moment où je devrais parler de toi à Jackson et vous présenter l'un et l'autre, y aller en douceur, mais pas tout de suite."
 
Oui, je veux voir où cette relation va nous conduire et si c'est du sérieux, en parler avec Jackson, puis une fois qu'il a digéré l'info, on passe à la présentation. Je sais que les enfants ont une faculté d'adaptation extraordinaire, mais là, c'est gros.
 
Pour le coup, je trouve que mon plat est bien réussi. Je ne suis pas peu fière. Le problème, c'est que mon fils ne me dit jamais quand il aime beaucoup, il ne manifeste que son rejet d'un aliment ou d'un plat. Je montre à ma belle encore d'autres photos de mon fils, lors de nos vacances en bord de mer avec son papi ou sa mamie, ce qui rare, ces derniers ayant divorcé, il voit beaucoup son papi. Mon père. Il est le directeur de l'hôpital.
 
Puis petit à petit, Ivy et moi abandonnons les photos, mes lèvres revenant inlassablement vers ses lèvres et une fois de plus, c'est nu que nous retrouvons la chambre. Cette fois, c'est différent, je l'observe. Imprimant dans ma mémoire le moindre parti de son corps, chaque courbe, puis je décide de lui faire une nouvelle fois l'amour, mais plus passionnément que les fois précédentes, je mets tous mes talents dans le domaine dans cet ébat. Après avoir donné le meilleur de moi-même, et selon moi très performant, je m'endors.
 
Je me réveille vers trois heures de l'après-midi, Ivy toujours lovée contre moi tout doucement, je la réveille, je dois prendre une douche et récupérer Jackson et elle aussi a des choses à faire :
 
"J'aimerais qu'on prenne cette douche ensemble, mais je ne vais pas te le demander, car, niveau timing ça ne va pas le faire."
 
Pourtant, j'en ai envie, mais c'est une mauvaise idée. Je prends une douche rapide. Puis laisse la place à la jolie blonde. Je remarque que ma belle a retiré les draps, je les mets dans la machine avec mon boxer et autres vêtements et lance le programme, je sors de nouveaux habits que j'enfile, et mets dans mon lit des draps propres. Entre temps Ivy a pris sa douche et remis ses vêtements de la veille :
 
"Tiens voici mon numéro. Je ne te mets pas la pression, règles tes affaires avec ton mari et appelle moi, j’espère ne pas attendre trop longtemps."
 
Je lui dépose un petit bisou sur son front. On prend l'ascenseur main dans la main. On se sépare en bas de l'immeuble par un tendre baiser. La pluie est toujours présente. L'école de Jackson n'est pas très loin, quand j'arrive la cloche sonne à peine et les enfants ne sont pas encore sortis, décor qui change cinq secondes plus tard avec des cris de joie en fond sonore. Je vois mon petit gars et lui me sourit et court vers moi en criant comme un dingue :
 
"Papaaaaaaa !!!" 

Je le prends dans mes bras et le serre contre moi, heureux de le revoir, je ne l'avais pas vu depuis hier matin. Je lui prends son sac et puis sa petite main et on prend le chemin du retour, il a un flot de paroles incroyable. Il me parle de la journée d'hier, de sa soirée et de sa journée présente :
 
"Et toi ? Z’est bizarre, regarde les albums, ils z’ont pas ranger."
 
Oui, il voit tout, je l’ai complètement oublié. Mais changeant de sujet avant qu'il en vienne à poser des questions :
 
"Va te laver les mains, je te sers ton goûter et après tes  devoirs."
"Mais, ze n'est pas de devoirs z'en aurais quand ze zerait dans l'école des grands !"
 
Oui petit souci d'élocution. Il me regarde puis éclate de rire et va se laver les mains en rigolant. Il doit croire que je lui fais une blague ou le taquine gentiment. Une fois de retour, je lui donne des tartines et du jus de fruits :
 
"Tu zais. Z'ai des zamoureuses est on fait l'amour tous les jours l'amour. Mais z'ai plus de bonbons..."
"Pourquoi ? Quel rapport ?"
"Un bonbon c'est un bisou zur une zou, deux bonbons. Deux bisous."
"Ok donc un bisou sur la joue, c'est faire l'amour ?"
"Ben oui !"
 
Puisse-t-il croire cela longtemps. Quand il sera la vérité. J'aimerais voir sa tête. Et quand ses hormones vont le travailler, je vais lui ressortir cette confidence amusante. Alors que je prépare le repas, lui ayant fini son goûter se cale devant la télé quand il revient vers moi avec une boucle d'oreille :
 
"Z'ai trouvé ça ! Z'ai a qui ?"
" Merci, c'est à une décoratrice."
"C'est quoi une décotratrice ?"
"Décoratrice. Ben elle décore des maisons."
"Comme pour Noël ou une fête, cool !"
"Non mon fils, ce n’est pas genre de décoration…"
 
Il retourne devant la télé sans essayer d'en savoir plus, heureusement. Le repas est prêt, la table est mise, il est presque dix-neuf heures. C'est alors qu'on tape à la porte. C'est qui à cette heure-ci? Jackson tourne la tête pour découvrir qui est notre visiteur inconnu. J'ouvre la porte et découvre une personne trempée dégoulinante :
 
"Ivy ?"
 

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Statut Civil : Femme mariée. Âme écorchée, tourmentée par les années passées, rôdé aux désillusions néfastes, permanentes, aux déceptions simultanées, imminentes. Tu te sens trahie par l'infidélité désinvolte, inlassablement répéter par ton imbécile de mari, pour le moins violent à ton égard... Tu te sens rejetée, mal-aimée... En parallèle, tu cherches désespérément à te reconstruire, à penser un peu à toi. Mais tu ne désespères pas... Un jour, tu trouveras ton âme sœur, qui sait ? L'amour te tombera dessus, sans que tu ne t'y attendes réellement... En attendant, tu profites simplement de l'instant présent.
Emploi : Designer d'intérieur en chef. Désir insatiable de contrebalancer ce passé chaotique, à travers une large palette de chaudes couleurs, sur les meubles tamisés. Dont l'obscurité menace de te submerger. À défaut d'effacer le mal que tu as pu causer et qui hante depuis, tes pensées embrouillées... Tu ne pourras jamais réaliser ton rêve le plus cher, il est vrai... Tu n'es qu'un pion sur l'échiquier, une simple vis, au sein d'une machinerie, bien plus grande que tu ne l'es...
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# Mer 17 Avr - 17:09


Des sentiments sincères révélés… Le regard brûlant de passion, de ton bien-aimé, se posant sur toi, dans lequel, avec délectation, tu t'y plongeais… Un éclair de lubricité, de convoitise s'engouffrant dans l'habitacle, c'est pourtant, avec patience et plaisir partagé, que vous terminiez le repas… En espérant de toute ton âme, en partager, bien plus, à l'avenir, à ses côtés, de même qu'avec son cher fiston… Bien qu'à cet instant, il n'y avait que vous deux qui subsistait… Ainsi la vaisselle rangée, voilà que le charismatique, sexy apollon arrivait à ta hauteur, sentant son souffle chaud y mourir sur ton cou, où de doux frissons parcouraient ton échine... « J'ai envie qu'on retourne dans la chambre et toi ? » Te questionnait-il, d'une voix suave, séduisante… Presque d'un murmure… T'adressant un mignon petit rictus malicieux, un regard emplit de folles convoitises, qui ne put t'empêcher de te mordre la lèvre inférieure, délicatement, te rendait folle à lier… « Humm… Cela tombe merveilleusement bien, parce que moi aussi, sexy... » Plaidais-tu, d'un ton aguicheur, qui ne laissait place au doute, à ce qui pouvait se produire entre vous… Te risquant à passer tes petits doigts, dans sa crinière… Avant même d'entourer tes frêles bras autour de sa nuque. Te collant davantage, contre ton bel amant, afin de mieux le sentir… T'amusant à effleurer ses fines lèvres des tiennes, que tu désirais tant capturer… Néanmoins, que tes jambes devenaient coton… Et puis merde… Pourquoi diable se contenter de retourner dans la chambre ? Tu le désirais, lui… Là, maintenant… Ici même... « Je suis de repos aujourd'hui et libre jusqu'à seize heures. » C'était parfait, tu ne pouvais demander mieux que cela… Car, toi non plus, tu n'avais rien prévu de plus… « Humm… Rien que pour toi, mon chou, je pense pouvoir dégager tout ce temps, sans le moindre souci. Rien que pour toi... » Consentais-tu à lui rétorquer, toujours de cette touche de désir… Voir, presque d'humour… Bien que tu demeurais sérieuse, sincère dans tes propos… Après tout, en ce qui concerne ton emploi, du moment que tes tâches étaient réalisées, avec soin et vigueur, dans le temps imparti… Que tes collègues se relayaient, accomplissaient le devoir qui leur incombait… Ayant délibérément mis de côté, ton futur ex-époux, qui pouvait rompre votre sérénité ? Nuls ne se vouaient plus primordial, que ton bien-aimé... Et, sur l'essence même de ses mots, vous vous laissiez emporter dans un sommeil sans rêves, que le temps semblait se figer… Que pourtant, les heures, rapidement, s'écouler, tu ne t'aperçues que Ryan s'était levé, avait quitté la chambre, silencieusement… Tandis que passer plus de midi, tu te surpris à immerger ; tâtonnant son emplacement - à la recherche de ton amant, sans le trouver… Et bien que tu eusses du mal à rouvrir tes iris, les plissant, pour t'acclimater à la pénombre… Que la pluie ruisselait sur la ville, tu te surpris à te redresser, t'arrachant quelques vertiges, causer par la vivacité de ton geste… Tu tentais de reprendre ton calme, passant une main dans ta crinière… Réalisant que tu demeurais seule dans la pièce… Inspirant, tu en profitais pour te mettre debout, te dirigeant vers la commode, à la recherche d'un vêtement à emprunter, de ton romantique apollon ; dénichant, finalement, un tee-shirt, qui avait fait son temps… Que tu enfilais rapidement, avant de regagner la cuisine, où une douce clarté te fit cligner tes orbes, apparemment, pour t'y refaire - néanmoins, que tu découvrais ce dernier, qui s'activait, pour préparer un mets fort bien classique, mais dont l'odeur enivrante de la sauce tomate, te fit crier famine... « Bien dormi ? Tu as faim ? Spaghettis bolognaises, ça te tente ? » Te questionnait ton bien-aimé, d'une voix suave, cristalline. Visiblement attendri de te découvrir ainsi… Portant fièrement son tee-shirt d'étude de médecine… Te faisant découvrir son menu alléchant, dans la foulée… Alors que tu te fendis d'un petit rictus… Cela semblait bien simpliste, quand on y songe, et pourtant, le fait d'avoir préparé la table, ne pouvait que te toucher… Surtout, cela te mettait davantage en joie, à l'idée qu'il y en aurait de nombreux à venir, comme celui-ci… Avec son petit bonhomme, ou encore, juste en petit couple, qui se respecte… Un avenir radieux, que d'aventure, tu chérissais… Rien que de doux souvenirs à partager, dans la plus stricte des intimités... « Mon Dieu, oui, je te remercie, mon chou ! J'ai merveilleusement bien dormi ! Et toi ? » Consentais-tu à lui retourner, avec tendresse, à mesure que le beau brun approuvait d'un léger signe de tête… Tandis que, de ton côté, tu te marquais d'une légère pause - de lui voler un doux baiser, de te coller contre lui… Entourant sa taille de tes bras, le temps de quelques instants… De te hisser sur la pointe des pieds, afin de lui déposer des petits baisers sur son cou… Alors que la cuisson se terminait… « Tu veux nous refaire la scène de la Belle et le Clochard, mon amour ? » Lui soulignais-tu, amusée… Laissant s'échapper un petit rire, cependant que tu te défis de son emprise ; qu'il se retournait, croisant vos regards… Avant même que tu ne te risques à caresser sa douce joue... « À dire vrai, des spaghettis, cela me convient parfaitement, mon chou ! C'est même vraiment touchant, adorable à toi, de nous avoir préparé cela ! Merci. » Lui confessais-tu, en le toisant amoureusement, avant même d'apporter, à ses côtés, les deux cocottes, de vous attabler… Après vos ébats, des féculents, c'est parfait pour se requinquer ! C'est ainsi, en découvrant ses talents de cuisinier, que vous conversiez ; que tendrement, ton charmant Ryan, te faisait découvrir son existence, ses expériences… Ponctués de bonheurs, tout autant que d'épreuves accablantes… Notamment, concernant son ex-femme… Sur le divorce de ses parents, de son innocent fils, qui demeurait son essentiel, son univers… Tandis que, de temps à autre, tu le questionnais sur ses ressentiments, ses souvenirs et regrets… Car tu désirais connaître tous ses aspects de sa personnalité, tous ses secrets… Car, de ses aléas de la vie - de sa vie de famille, son cher Jackson… Sans prétentions ou obligations, tu voulais leur apporter amour, protection et soutien… Te faire une place… De tenir, à jamais, cette promesse… En prenant le temps qu'il faille… Vous montrant patients, si ton bel amant le désirait ? Tandis que de son côté, ce dernier te retournait toutes ces questions, te concernant… Avec tes parents, tes passions… Les personnes qui comptaient… Comme Max… Que malgré la violence subie en silence, avec lui, tu le partageais ; avant de les reporter sur son charmant fiston, que tu finirais par rencontrer, par connaître officiellement… Tu trépignais à l'idée de pouvoir le voir ! Sans user d'artifices, tu ferais tout pour te faire apprécier, pour trouver grâce à leurs égards, leur faire plaisir... « Il va venir un moment où je devrais parler de toi à Jackson et vous présenter, l'un et l'autre… Y aller en douceur… Mais, pas tout de suite... » Achevait le séduisant apollon, d'une voix mélodieuse, attendrie… Espérant que tu comprendrais, patienterais… Un sentiment protecteur, que tu trouvais légitime, que tu consentais ! Après tout, ce ne serait aussi aisé d'apprendre à trouver vos marques, dans un premier temps ! Tu ne voulais les piéger, les blesser, non plus ! « Ne t'en fais pas, je comprends tout à fait… Comme tu l'as dit, il faudra y aller délicatement, sans forcer… Et je dois t'avouer, que, même s'il me tarde de le connaître, ton petit cœur, je ne voudrais surtout pas que cela le braque… Que toute cette situation le gêne, le froisse davantage… Ou encore, qu'il songe, qu'il soit délaissé… Moins… Aimé, par son cher et tendre papa… Du moins, ce n'est pas le but recherché, heureusement ! Il ne manquerait plus que ça... » Lui rétorquais-tu, en laissant s'échapper un rire embarrassé. Écarquillant tes billes, à mesure que tu serrais les dents d'amertume… Passant une main dans ta crinière dorée. Ne sachant que riposter… Non, en effet, tu ne demeurais parfaite, n'avais eu la chance de devenir mère, de ton côté… Néanmoins, tu ne t'amuserais à blesser, forcer la main à son petit gars… Toi-même, à sa place, tu concevais que ce ne serait aussi aisé de l'accepter, et… Prendre risque de briser l'âme de Ryan, dans la volée… Si malencontreusement, l'ex-femme de ton délicat, parfait amant, s'était amusée à leurs dépens… De les avoir abandonnés lâchement… De l'avoir cocufié… Les pauvres… Non, de cela, très peu pour toi ! Tu ne t'abaisserais à cela ! Tu l'avais juré : de les préserver, les aimer, tu le ferais… Seul vous, votre bonheur, vos familles subsisteraient… C'est dont, entre deux albums photos, que tu découvrais en détail, les attendrissants moments de joies, de bonheurs en famille… Que tu contemplais, attendrie, son innocent garçon, en compagnie de son papa, de ses grands-parents, lorsqu'ils furent encore ensemble… Un moment qui eût l'air de rendre nostalgique ton bien-aimé… Dont, des pages plastifiées, vous les tourniez, tout en savourant le mets du beau brun, qui, dans la foulée, te souffler que son petit bout ne faisait réellement savoir, quand il appréciait sa cuisine, en général… Hormis le fait de rejeter un aliment, l'assiette, quand cela lui déplaisait… Une réaction que tu te permis de souffler : de savoir, si en adoptant un comportement pédagogue, ou encore, d'exploiter sa créativité, pourrait fonctionner, pour apprécier, éveiller sa curiosité ? Niveau goût, notamment ! Car tu avais appris, il y a quelques bonnes années de cela, que, parfois, cela incitait les enfants à découvrir de nouvelles saveurs, à apprécier, partager un moment familial, unique… Tout en restant éveillés, ludiques ! Et notamment, pour avoir testé cela, avec ta douce et tendre nièce par alliance, le fait d'avoir un peu cuisiner avec elle, de lui avoir créé ses personnages favoris, avec la nourriture, cela avait plutôt bien marché, rencontrer son petit succès ! Même, si le faille, tu serais enchantée de pouvoir mettre cela à exécution, à l'avenir, avec Jackson, si le romantique, parfait médecin, n'y voyait d'objection ? Et alors que vous terminiez le repas… Qu'une fois encore, la vaisselle fût rangée… Que les quelques albums défilaient ; que pour ta part, tu en dessinais les contours de son beau fiston, attendrie, voilà que ton sexy apollon en profitait pour sceller tendrement, ses fines lèvres contre les tiennes… Que tu prolongeais son baiser avec ferveur… Laissant s'évanouir un soupir de plaisir… Caressant sa joue de nacre, avant même de le contempler ; tandis que vos doigts délicats, s'entremêlaient… Que ce dernier ne procède à vous dévêtir de vos tissus… Néanmoins, que vous regagnez, une fois de plus, sa chambre... Assommés, vous ne vous rendiez compte que les heures avaient défilées… Sonnant les quinze heures, ton séduisant, parfait Ryan te réveillait, effleurant tes cheveux, délicatement… Alors que l'instant vous faisait saisir, qu'il fallait vous lever, vous préparez à vous quitter… Ton âme se resserrait à cette idée… Craignant ce moment, tu te blottissais davantage contre lui... « J'aimerais qu'on prenne cette douche ensemble, mais je ne vais pas te le demander, car, niveau timing, ça ne va pas le faire... » Te soufflait ton bien-aimé, d'une voix suave, bien qu'on y décelait une pointe de regret… Tandis que tu te surpris à afficher une petite moue… Laissant s'échapper un soupir, à peine perceptible… Qu'un étrange éclat de lubricité se reflétait dans tes billes… Te sentant tout aussi tenter par cette idée passionnée, de partager une douche ensemble… Ce n'était raisonnable… Vous aviez des obligations à tenir… Qu'autant, l'un comme l'autre, vous deviez vous en accommoder… Et l'idée de le froisser, de lui faire perdre son temps… Ce n'était ce que tu envisageais... « Ne t'en fais pas, mon chou, je comprends parfaitement… Même si je dois t'avouer, que je n'aurais clairement pas dit non à cela, également ! Bien au contraire, même ! Mais… Tu as raison, au niveau du temps, cela risque d'être sacrément serré, pour chacun de nous deux, et… Sache que mon intention n'est de t'en faire perdre, de t'agacer, qui plus est… Notamment, je suis certaine que nous pourrons bientôt remédier à cela... » Consentais-tu à lui souligner, lui adressant un léger clin d'œil complice… Que, tôt ou tard, vous vous rattraperez ! Tu l'observais, s'aventurer dans la salle d'eau, refermait la porte… Soupirant de ton côté, avant de te lever - de retirer les draps de sa literie, de mettre le tout en retrait, afin que cela ne puisse gêner ton bel amant… Avant de t'engouffrer dans le salon, pour y récupérer ta robe, tes effets… Retrouvant rapidement la chambre, voilà que tu remarquais le charmant, petit brun ressortir, laissant la place de te préparer, à ton tour… Tu te fendis d'un petit rictus, lui volant un furtif baiser… Comme pour le remercier, tandis que tu t'enfermais, finalement, dans la pièce… De démarrer l'eau chaude, à mesure que ce dernier s'affairer des draps délaissés, de terminer de se préparer… D'y inscrire son numéro de téléphone, sur un bout de papier… Et tandis que les secondes s'égrenaient, que tu en profitais pour en finir avec ta toilette… De te vêtir ; ressortant rapidement, pour arriver à hauteur de ton charmant apollon, qui te donnait le tout, alors que tu te sentais curieuse, intriguée... « Tiens, voici mon numéro. Je ne te mets pas la pression… Règle tes affaires avec ton mari et appelle-moi. J'espère ne pas attendre trop longtemps... » Achevait le divin médecin, d'un ton cristallin, apaisant… Te déposant un tendre baiser sur ton front ; dont tu te surpris, machinalement, à fermer tes paupières, mémoriser cet instant… Alors que, de tes bras, tu les plaquais sur les siens, pour le retenir… Pour que vous restiez, ne serait-ce qu'encore un peu… Tes jambes devenaient coton, tu ne désirais te séparer de lui... « Je te remercie. Pour ta douceur, ta compréhension. Ta tendresse. Pour tout… Tu ne peux savoir à quel point cela compte… Combien tu comptes pour moi… Et je te promets que je m'occupe de lui, de tout cela, le plus rapidement possible… Et que je reviendrais toujours vers toi. » Lui révélais-tu, tendrement. Capturant ses fines lèvres. Posant une main sur sa joue de nacre, tandis que l'autre y trouvait appuie, entre sa clavicule, sa large épaule... Néanmoins, que le temps venait… De sortir de l'appartement… Et c'est dans ce silence, que vous jouiez de vos doigts, les entrelaçant tendrement, bien que tu te sentais attristée… Putain, tu n'avais point envie de le quitter… Point maintenant, ni jamais… Tu te sentais épanouie, comblée à ses côtés… Cela paraissait absurde de constater, déjà si tôt, que cela pouvait être l'homme de ta vie… Pourtant, le coup de foudre, il ne fallait s'y tromper… C'était ton âme-sœur, tu le complétais… Ce serait envers et contre tous, contre vents et marrées… Et tandis que les portes s'ouvraient, que ton tendre Ryan t'ouvrait la porte de l'immeuble de verres, te suivant derrière… Presque instinctivement, avec tendresse, vous vous embrassiez… Alors que tu posais tes mains en coupes, contre ses douces joues… Parce que tu désirais en abuser encore un peu… Et le voile pluvieux, vous enveloppez, le temps de quelques minutes… Alors que vous vous sépariez, que tu regagnais, finalement, ton véhicule. T'y enfermant, te protégeant, mais dont tu te sentais presque étrangère, tellement tu fus dépaysé, désorientée ; tellement ces quarante-huit heures avaient été féeriques… Mais le devoir vous incombait… La clef du moteur vibrant, coupant tes pensées, voilà que tu prenais la route, prêtait une attention particulière au filet grisâtre, qui déferlait abondamment sur le pare-brise… Prenant l'intersection, pour y rejoindre ta demeure, où cet homme violent t'attendait… Qui sait ?

✶⸻【 ...PENDANT CE TEMPS, CHEZ LES APPLEWHITE... 】⸻✶

L'entrée refermée, derrière ton tracé… Les clefs déposées sur la porte murale… Les escarpins rangés, c'est en passant une main dans ta chevelure, en te mordant la lèvre inférieure ; te repassant la veille, une partie de la journée, passée aux côtés de ton bien-aimé, que tu atteignais votre chambre conjugale, afin de te changer, te mettre à ton aise… Pour ranger quelques effets personnels, te mettre aux fourneaux, pour l'arrivée de Montgomery… Afin de t'apprêter, de préparer le terrain, concernant la demande de divorce, lorsque, tu découvrais dans la literie, ce dernier, en compagnie de sa maîtresse attitrée… Lui au-dessus d'elle, qui ne pouvait s'empêcher de retenir ses forts gémissements de plaisir, les paupières fermaient sur ses billes - concentrée dans leurs ébats... Une scène qui ne put t'empêcher d'entrouvrir tes lèvres, d'écarquiller tes iris ahuris, éberluées... Se changeant en soucoupes, tandis que tu demeurais ébahit, assommée, sur l'instant… Si ce n'est que les mots restés coincés dans ta trachée… Jadis, tu aurais pu prendre peine de te laisser aveugler par ta jalousie maladive, ta haine… De damner ton idiot de mari… D'intervenir, dans ce brûlant moment… Te sentant des plus meurtries, tourmentées par cet homme, que tu avais tant chéri, respecter… Aimer, pour tout ce qu'il avait représenté… Mais tu le confessais, cela ne t'atteignait plus guère, désormais… Tu restais là, aussi raide qu'une planche de bois soufflée, oui, parce que tu ne t'étais attendu à les trouver ici, dans ce propre lit, où tu avais rempli tes engagements, tes obligations de femmes mariées… Lui, qui avait tenté de te reconquérir la veille… Oui, il fut un temps, où tu te serais effondrée… À présent, cela finissait par te lasser, t'éreinter... Cela ne te surprenait… Pourquoi continuer à jouer cette tocade, à continuer ainsi… D'encaisser les coups, quand, toi-même, tu t'étais donnée, abandonner dans les bras d'un autre - un homme romantique, bienveillant, dont les forts sentiments, demeuraient réciproques, qu'il te respectait ? Alors qu'à cet instant, tu n'avais cure de tout cela… Que tu désirais le retrouver… En finir une bonne fois pour toutes, avec celui qui t'avait retenu prisonnière, dans son clapier… Ce ballon noir, qu'il t'avait vendu, t'avait empêché d'atteindre ce bonheur… S'accrochant à tes doigts délicats, t'empêchant de décoller, fuir à sa vue indignée… Tu le certifiais, la roue avait tourné… Ce n'était plus qu'un sombre souvenir, une simple pensée, que tu avais crue aimé… Quelle idiote tu faisais… Toi qui venais de saisir l'essence même, de cet acte désobligeant : à savoir, pourquoi diable, il ne t'avait rappelé, ne t'avais laissé de messages sur ton répondeur… Lui qui te l'aurait fait amèrement regretter, par la suite… Aurait tout tenté, pour savoir où tu t'étais réfugié, durant tout ce temps… S'il savait... « Ivy ? Que fais-tu là ? » Te rétorquait le beau brun, en te toisant, stupéfait… Se sentant embarrassé… Se marquant d'une pause, de glisser sur le bas-côté… Se figeant, alors que tu t'étais éclairci la gorge, pour montrer que tu demeurais présente… Cependant, que la malheureuse, tentait, de son côté, de se vêtir de ce drap… À mesure que tu posais ta sacoche, où figurait ta tablette de travail, quelques papiers et ustensiles… Où les papiers du divorce attendaient que tu daignes les sortir, pour les balancer au regard désœuvré de ton rustre d'époux... Ex-futur époux... C'était doublement parfait ! Lui qui venait de se faire prendre la main dans le sac, tel un enfant, il ne pouvait plus t'en réchapper ! Tu allais te poser en maître conquérant, gagner la partie ! Lui couper l'herbe sous le pied ! « Moi ? Et bien, comme je suis chez nous, que c'est notre maison, je pense que j'y ai le droit de venir, comme je l'entends… Tu ne crois pas ? » Lui retournais-tu, en fronçant les sourcils… Te réprimant presque de ricaner, sarcastique… Te donnant l'air méprisante, détachée… Néanmoins, que tu te retournais nonchalamment, t'aider de tes coudes, pour t'appuyer contre la coiffeuse ; les jaugeant, t'attardant sur chaque trait de leurs visages crispés, comprimés… Tandis que la fameuse Beryl, esquiver ton regard… Se questionnant, certainement, si le moment n'était venu de s'éclipser... Se sentant de trop, dans cette pièce... « Ce n'est pas plutôt à elle, que tu devrais poser cette question ? » Continuais-tu dans ta lancée… Bien que tu demeurais sereine, anormalement apaisée… C'en était déstabilisant, effrayant… Bien que cette révélation, ne laissait le temps à ta dite moitié, de se justifier, de se rhabiller… Arrivant, tant bien que mal, à ta hauteur… Se risquant à te raisonner, t'apporter un semblant de réconfort… Que ce n'était ce que tu croyais… À force, le tombeur, tu le connaissais... « C'est bon, ne t'embête pas, va ! Tu peux rester, t'amuser autant que tu veux avec elle, si ça te chante ! Je suis simplement venu chercher quelques affaires, parce que figure-toi que je m'en vais, Montgomery… Définitivement... » Lui révélais-tu sèchement, à mesure que tu le vis presque trébucher… Pris par la stupeur, l'émoi... Fronçant les sourcils, à son tour… Songeant que tu t'amusais à ses dépens… Il n'en était rien, cependant… Tu semblais totalement impassible… Tu désirais seulement en finir… Au diable ces mensonges… Tu n'avais plus la force de les empêcher… Plus maintenant… Cet homme t'était devenu étranger... À cette idiote, tu le lui laissais... « Tu veux dire… ? » La jeune femme, à la longue chevelure emmêlée, s'exécutait pour se lever, vous rejoindre… Entourant ses courbes, autour de ses draps… Vous contemplant, crédule… Se mettant derrière son amant… Ne sachant si tu leur faisais ou non, une mauvaise blague… Une réaction, qui te fendit d'un petit rictus, non sans joie, sur l'instant ; tandis que tu sortais le dossier, la demande de divorce… Tendant ce bout de papier à ce misérable scélérat… Il n'avait plus le choix… Tu ne le laisserais plus te tourmenter… De tirer sur les ficelles, amusé… Quand l'amour n'y est plus, que l'amour s'en va... « En effet, il est tout à toi ! » Rétorquais-tu, envers cette dernière, sans daigner lui adresser un regard… Sortant de ta mallette, un stylo… Incitant ta dite, tendre moitié, à signer… De vous libérer de cette promesse, ce conte, qui n'était devenu qu'un sombre cauchemar, durant maintes années… Après tout, en l'amenant ici, cela te faisait comprendre que Monty ne changerait… Qu'en continuant à rester à ses côtés, tu resterais malheureuse, subirais son courroux… Qu'il ne s'absoudrait à se montrer clément, n'aurait cure de tes sentiments… Qu'il te cocufierait par-dessus le marché… De son emprise, tu désirais l'en réchapper, te sentir libre, à nouveau… De retrouver les bras de ton bien-aimé… De connaître, officiellement, son charmant fiston… « C'est bon, Montgomery… Juste signe, s'il te plaît… Après cela, je vous laisserai tranquille, faire votre vie comme tu l'entends… Je ne m'opposerai à rien, je ne te demanderai rien… Je te le promets… Je n'ai plus la force de me battre, de nous retenir… Je crois qu'on en a déjà suffisamment fait les frais, qu'on a bien soufferts, tous les deux, et… Je crois bien que cela fait un moment, que tu le sais… Qu'il n'y a plus d'amour… Que ça ne marche plus… N'est-ce pas ? » Consentais-tu à lui souffler, d'une voix apaisante, presque mélancolique… Car désormais, tous ces souvenirs, cette rancœur s'envolaient… Parce que tu remarquais les épaules de ce bel anglais s'affaissaient, encore indécis… Bien que le devoir, la pression qui vous avait incombé, retombait… Qu'il éprouvait ou non des sentiments pour Beryl, qu'elle demeure présente ou pas, cela t'importait plus… Vous pourriez continuer à vous manger le museau, jusqu'à-ce que le devenir de ce monde vous engloutisse… Devant elle, qui plus est… Mais à quoi bon, si ce n'est que cela ne le mettrait que plus en tort… Que tu serais prête à lui montrer son véritable visage ? Pour ta part, tu te sentais prête à tout oublier… Peut-être point pardonner, mais laisser couler… Toi, qui désirait seulement prendre tes clics et tes clacs, ne jamais refaire de come-back… Cela se montrait peut-être soudain, violent… Que cela l'amenait à se blâmer, qui sait ? Mais qu'importe ? Toi, la souffrance, les regrets, t'en pouvais plus, tu déclarais forfait… À quoi bon te retenir, t'étouffer, quand lui-même pouvait faire ce qu'il désirait, de son côté ? Sans que tu sois blessée, plus que nécessité… Non, tu ne le fliquerais plus jamais, ne le raisonnerait… C'est dont, dans un dernier soupir, lasse, que le séduisant, imposant apollon s'exécutait, poser sa patte sur le papier. Vous délivrant, finalement… Alors que les non-dits, les mots restés coincés dans sa trachée… Se sentant assommé, interdit… À mesure que la demoiselle, qui l'avait servi de maîtresse officielle… Ce statut, à tes orbes bleutés, s'effacer… De même que la hache de guerre… Tu aurais pu te permettre de provoquer : de leur avouer que cela n'avait point était des plus complexes… Mais tu craignais de rajouter de l'huile sur le feu… Que cet homme, qui demeurait ton ex-mari, désormais, ne se ravise… Qu'il déchire, empourpré, ce morceau de papier… Le rendant caduc… Et que, de cette fierté, tu dusses la ravaler… Que tous ces efforts, ces semaines seraient vaines… C'est pourquoi, en toute humilité et discrétion, tu te fis toute petite… Que, sans leur adresser le moindre mot, le moindre regard, de ton dossier, tu le rangeais… Que sans t'attarder plus que de coutume, tu prenais quelques effets personnels ; la stricte nécessité… Avant même de sortir de cette propriété, sans même te retourner… De t'engouffrer dans cette pluie déferlante, glacée, sans saisir l'essence même de ce que tu deviendrais… Où le vent te mènerait…

✶⸻【 ...DANS LES TREFONDS DE BOWEN... 】⸻✶

Le véhicule en panne, impossible de redémarrer… Les affaires de rechanges en mains, bien chargées… Un talon aiguille de tes escarpins, brisés, voilà que tu déambulais, telle une âme en peine, dans les ruelles ruisselantes d'abondantes flaques glacées… Ta tenue de soie te collant à ton être, ta chevelure plaquée contre ton doux visage… Dont tes iris tentaient de se repérer, dans la brume déferlante, c'est ainsi que tu t'arrêtais, le temps de quelques instants, pour t'y retrouver… De trouver un abri… D'étudier, qui sait, s'il pouvait y avoir un hôtel, un endroit chaud où passer la nuit, qui commençait à bien tomber, lorsque promptement, tu découvrais un kiosque à journaux, dont tu t'approchais, intriguée ; de même qu'un bus, s'arrêtant à hauteur, au feu rouge qui clignotait... Entrouvrant les lèvres, plissant tes paupières, pour mieux en contempler la une des magasines de finances, tu t'aperçus, bel et bien, qu'il s'agissait d'un jeune homme, à l'allure charismatique, éloquente, mais fort sérieuse… Dont les traits délicats, les billes océaniques t'envoûtaient… Un visage qui te songeait bien familier… Non… Il ne pouvait s'agir de lui : Max… Ton cher et tendre cousin… Il était resté à Londres, n'avait bougé… C'était impossible, tu rêvassais… Il ne se passait un seul instant, sans que tu eus te questionner, de désirer prendre de ses nouvelles… En vain, le temps vous avait cruellement manqués ; il te manquait affreusement… Néanmoins, tu devais halluciner… Peut-être que le froid transit te prenait… Il ne pouvait s'agir de lui… Si ? Ton visage se poser, pantoise, sur le bas-côté du bout de papier, réalisant le patronyme affiché... Max Davenport, la coqueluche, la figure emblématique, convoitée d'Ottawa. Il demeurait bien ici, tu ne divaguais… Tu ne savais que riposter… Ton âme semblait cogner dans ta cage thoracique, au point d'imploser… Tu semblais heureuse, agréablement stupéfaite, qu'il ait posé valises, s'était établi dans les contrées de la ville, oui, tout autant que tu te questionnais, que cela te troublait… Que diantre faisait-il là ? Pour quelles raisons, il s'était envolé de son chaud foyer ? Allait-il bien ? Et sa famille… Qu'était-elle devenue ? Cela faisait maintes années, que vous vous étiez perdus de vue… Point faute de l'avoir désiré, pourtant… De prendre de ses nouvelles, ce qu'il devenait… Si tout se passait bien dans son existence salvatrice… S'il était heureux, épanoui comme jamais ?! Pour autant, les âges du temps avaient bien trépassés… Involontairement, vous vous étiez éloignés, à ton plus grand regret… Pour autant, tu t'en fis la promesse : maintenant qu'il demeurait à New York, tu ferais tout ce qui est en ton pouvoir, pour reprendre contact avec lui… De le prendre dans le creux de tes bras, avec tendresse. De vous rattraper, vous chérir… Comme jadis… En espérant de toute ton âme, qu'il y consentirait, se souviendrait de toi... Tu ne pouvais t'empêcher de cligner des yeux... Te sentant assommée, bien que, machinalement, tu en acheter le magasine immaculé… Tu demeurais tellement stupéfaite, que tu ne t'apercevais que le feu était passé au vert, que le moteur vrombissait… Le véhicule chauffé, reprenant sa folle route, bien rapidement, voilà que des gouttières, la pluie accumulée en trombe, giclait violemment… T'envelopper, toute entière, de son manteau furibond… T'aspergeant, plus que nécessité… Qui ne put t'empêcher de lâcher un cri de stupeur, te pétrifiait d'effroi… Tu demeurais aussi figée, raide, qu'une simple planche de bois… Te sentant glacée, alors que des frissons parcouraient ton échine... Non, décidément… Si tu ne bougeais, tu attraperais la mort ! C'est pourquoi, en laissant s'échapper un léger soupir… Reprenant, progressivement, tes esprits, tu repris la route, à ton tour ; tenter de te retrouver dans les tréfonds de la ville… Et c'est là, au détour d'une intersection… Alors que la purée de pois recouvrait le paysage, une partie du bâtiment de verres, que tu le reconnus : l'appartement de Ryan… Sans méditer à deux fois, comme qui dirait… Tant bien que mal, tu trottinais, avec tes effets personnels, te frayais difficilement un étroit passage - t'engouffrant à l'intérieur, quand tu t'aperçus qu'un couple était sorti, bien rapidement, distraient par leurs affaires… Te laissant l'accès, sans saisir l'essence même de ton intention… Machinalement, sans même te contempler dans le pâle reflet, de la cage métallique, qui te menait  jusqu'à ton bien-aimé, tu soufflais, haleter, bien difficilement, pour recouvrer tes esprits embrouillés… Tentant de calmer les ardeurs lancinantes de tes grelottements, de tes frissons, qui ne faisaient qu'entrechoquer, que plus encore, ta mâchoire crispée… Si ce n'est que tu tremblais légèrement… Pour autant, à peine, tu eus le temps de te remettre de tes folles émotions, que les portes de l'ascenseur rouvraient, te faisant atteindre la porte blindée de ton cher et tendre Ryan, où, de sa claire sonnette, tu appuyais, te révélant, après quelques longues minutes égrenées, le doux visage envoûtant, mais stupéfait, de ce dernier… Tandis que ses orbes bleutés s'écarquillaient, se changeant pratiquement en soucoupes, tu le concevais... « Ivy ? » Te questionnait le séduisant, charmant apollon, sur le même ton de la stupeur… Alors qu'une douce odeur alléchante prônait, se dégager de l'habitacle… Te faisant saisir l'essence même, que tu arrivais, qui sait, au mauvais moment - l'importuner davantage, au moment de passer à table… Une chose, qui t'embarrassait, te faisait serrer les dents d'amertume… Effectivement, ce n'était point dans tes intentions de troubler sa sérénité, de débarquer, comme cela, promptement… Cela ne te ressemblait... « Ryan, je... » Avouais-tu d'une voix pâle, chevrotante… Encore saisie par le froid, l'humidité… Avant même de te marquer d'une légère pause, seulement… Laissant s'échapper un soupir embarrassé, de te mordre la lèvre inférieure… Ne sachant que riposter… Tu tentais vainement de te calmer... « Je suis sincèrement navrée de débarquer comme ça, à cette heure-là, mais… Je viens de quitter mon… Mon ex-mari, et… Je ne savais pas où aller, je... » Tu n'eus le temps nécessaire de terminer, que tu remarquais le doux visage innocent de son petit blondinet, qui passait sa tête, en retrait… Retenue derrière la musculature imposante, de ton tendre, parfait amant… Alors que tu te décomposais, sur l'instant… Oh merde, oui… Son petit trésor, il était bien présent… Il demeurait là, à ses tendres côtés, alors que toi, tu te pointais involontairement, comme une fleur… Et point une fleur épanouie, éclatante, comme qui dirait ! Toi qui lui avais fait la promesse dorée de patienter sagement, avant d'arriver aux présentations, c'était bel et bien raté ! Merde… Pour le coup, tu avais vraiment merdé ! « Je, heu… Je suis sincèrement désolée ! Je suis stupide, tu… Tu es avec ton fils… Je vous dérange… Je n'aurais pas dû... » Balbutiais-tu, tremblante, penaude… Ne sachant plus où poser ton regard, tellement tu te sentais idiote, une vile scélérate… Tu t'apprêtais à lui présenter, une fois encore, tes plus humbles et sincères excuses, à l'idée de l'avoir dérangé, d'avoir frappé à sa porte, avec l'espoir vain, que, peut-être, il t'accueillerait… Juste pour une simple nuit, qui sait ? Que tu te ferais toute petite, il est vrai… Mais tu ne pouvais le lui demander comme cela… C'était un moment qu'il devait partager avec son charmant et délicat fiston… Tu n'avais ta place, toi, la vile créature, la pièce rapportée… Tu t'apprêtais à lui tourner le dos, lui avouer que tu partais, que tu ne souhaitais l'importuner… De tourner les talons… Du moins, de ce qui t'en restait, lorsque, promptement… Pour ne point faire davantage dans le cliché, tu fis involontairement tomber tes effets, ta valise… Le talon aiguille brisé, qui atterrissait devant la semelle de ton séduisant, exquis, parfait, petit brun… Alors que tu présentais tes excuses les plus sincères, t'abaisser, pour ramasser le tout… Ne pouvant croiser son doux regard… Merde, tu avais vraiment l'envie de te terrer, de te planquer dans un trou de souris et ne plus jamais, Ô grand jamais, en ressortir… Idiote, naïve que tu demeurais…

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Penny Dreadful
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